Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
38 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Cette victoire des « super-enfants » et des explorateurs de tout poil suffit déjà amplement à toiser d’autres meutes bien moins téméraires et à conjurer, pour un bref moment d’enchantement, le cynisme de l’époque.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un conte dont la splendeur et le foisonnement esthétiques n’ont d’égal que la férocité politique.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Wes Anderson réussit une grande œuvre esthétique d’une rare beauté. Elle est habitée d’un sens en phase avec son temps qui lui donnera la pérennité, synonyme de modernité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
À la richesse de son imagination (....), Anderson ajoute un humour irrésistible, une poésie tout en finesse, un réjouissant ton caustique.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Wes Anderson signe une splendide fable fantaisiste, à la fois dérangeante et humaniste.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Libération
par La rédaction
De fait, ce film virtuose d’animation stop-motion (...) reflète l’habituelle maniaquerie ébouriffante du réalisateur, mais s’étoffe tout à la fois d’une poignante épopée picaresque, d’un brûlot politique, et d’un manifeste antispéciste où les chiens se taillent la part du lion.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
"L’Ile aux chiens" est un régal visuel de tous les instants. On pourrait se perdre à l’infini dans ce Japon réinventé qui fourmille de détails, d’idées de mise en scène, d’hommages discrets ou tonitruants à la culture nippone - notre préféré restant la mise en scène de la légende façon théâtre Kabuki.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Télé Loisirs
par Claire Picard
Touchant, drôle et poétique, ce film est à la fois une ode humaniste, une allégorie politique et un appel à la révolte.
Voici
par La Rédaction
Une fable d'anticipation politique, dans laquelle on reconnaît la patte réjouissante du réalisateur : drôle, émouvante, mélancolique, débordante d'imagination créative, et truffée de références.
BIBA
par Lili Yubari
Au-delà du récit d'aventures, ce film d'animation en stop motion, beau comme du théâtre kabuki miniature, raconte aussi le drame des populations en exil.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Une malle au trésor tordante et émouvante qui ravit les mirettes.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Wes Anderson réussit à retranscrire avec brio son univers singulier, dans ce film de marionnettes des plus ambitieux et magnifié par un casting vocal cinq étoiles.
Culturopoing.com
par Justin Kwedi
Une fable foisonnante, touchante et ludique pour une grande réussite de plus de Wes Anderson.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un film d'aventures captivant et une fable politique et écologique bien menée.
L'Humanité
par Dominique Widemann
Un film d’animation qui offre un terrain idéal aux savoir-faire de son auteur, avec des acteurs très en voix.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Ce plaidoyer antispéciste en faveur de l'impureté et de la désobéissance civique a la robe soignée mais le poil dru.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
Un conte ancien et moderne, éternel, qui dresse un pont entre le cinéma insulaire d’Anderson qui menaçait un jour d’être englouti et le monde extérieur, celui d’un public ébloui et reconnaissant.
Le Figaro
par La Rédaction
Le Texan observe toujours ses personnages avec un regard généreux et amical.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Avec son habituel humour à froid et son goût pour les univers aussi poétiques que décalés, le réalisateur choisit l’animation (élégante et originale) pour nous conter une fable au poil sur l’intolérance de notre monde et la force de l’amitié.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Journal du Geek
par Henri Lahera
Anderson livre un film techniquement impeccable. Sa maîtrise du stop-motion atteint des sommets et lui permet d’offrir des plans superbes (...). Hommage à la culture japonaise, ce long-métrage au ton plus sérieux tisse une allégorie politique qu’on aurait voulue encore plus engagée.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Monde
par Mathieu Macheret
La plus grande beauté de L’Ile aux chiens réside toutefois dans son rendu plastique, ayant la richesse d’une grande symphonie de formes et de matières.
Le Parisien
par La Rédaction
Un film poilant, mordant, et qui a un chien fou !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
À partir d’un canevas classique (quête initiatique et aventures burlesques), Wes Anderson tisse un récit sans schématisme, d’une beauté plastique et d’une acuité psychologique remarquables.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Anderson n’est peut-être pas le plus politisé des cinéastes, mais la vulgarité, la bêtise, la malhonnêteté ne sont pas de son monde. C’est dire si le spectacle que lui offre notre époque semble le dégoûter. Et combien "L’Ile aux chiens" est bel et bien le reflet fidèle et aiguisé de notre présent.
Mad Movies
par Alexandre Poncet
"L'Île aux chiens" demeure une expérience sensorielle assez rare, servie par un réalisateur en phase avec son sujet, et soutenue par un casting de voix globalement exceptionnel.
Marianne
par Olivier de Bruyn
Une fable politique mordante.
Ouest France
par Christophe Narbonne
Un contenu gentiment polémique, des trouvailles, un design de qualité... Du grand Wes Anderson.
Positif
par Adrien Gombeaud
(...) dans son joli théâtre de marionnettes, Anderson rend un hommage pétillant à un archipel merveilleux, aussi réel que rêvé.
Première
par Eric Vernay
Truffé d'idées visuelles, d'action, d'humour et nimbé de mélancolie, le film puise dans sa noirceur une joie contagieuse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Rolling Stone
par Sophie Rosemont
Une épopée merveilleusement réalisée sur (et avec !) nos fidèles compagnons à quatre pattes.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Entre douceur et violence, « L’île aux chiens » déploie une subtile narration, pleine d’humour et d’épines, où se dessine sans mal le sort des réprouvés du monde.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Une fable singulière poétique, drôle et cruelle à la fois.
Télérama
par Louis Guichard
Ségrégation, maltraitance, corruption : avec cette fable animalière inventive, le cinéaste américain réussit un film politique haletant et foisonnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une aventure canine pleine de fantaisie, au sous-texte politique savoureux.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
IGN France
par Sylvain Trinel
L'Île aux chiens n'est sans doute pas le film le plus original de Wes Anderson, il n'en demeure pas moins complètement dingue.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
La Croix
par Stéphane Dreyfus
À l’instar de cette traductrice des allocutions de Kobayashi, doublée par Frances McDormand en VO et Isabelle Huppert en VF, le film regorge d’idées originales qu’estompe hélas le perfectionnisme de Wes Anderson. Cette méticulosité, à l’image des masques parfaits mais impassibles des personnages humains, finit par étouffer l’émotion de cette comédie sentimentale célébrant la fidélité des liens d’amitié.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Transfuge
par Frédéric Mercier
Moins véloce et fluide dans sa conduite du récit que "The Grand Budapest Hotel", "L’île aux chiens" est un film que l’on passe son temps à admirer sans jamais avoir la distance, les échelles ni le temps nécessaire pour pouvoir l’aimer.
Critikat.com
par Damien Bonelli
Rien, chez Anderson, n’est donc laissé au hasard, et la minutie obsessionnelle qui fonde son style trouve ici un nouvel aboutissement, qui est aussi sa limite.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cahiers du Cinéma
Cette victoire des « super-enfants » et des explorateurs de tout poil suffit déjà amplement à toiser d’autres meutes bien moins téméraires et à conjurer, pour un bref moment d’enchantement, le cynisme de l’époque.
CinemaTeaser
Un conte dont la splendeur et le foisonnement esthétiques n’ont d’égal que la férocité politique.
Franceinfo Culture
Wes Anderson réussit une grande œuvre esthétique d’une rare beauté. Elle est habitée d’un sens en phase avec son temps qui lui donnera la pérennité, synonyme de modernité.
L'Express
À la richesse de son imagination (....), Anderson ajoute un humour irrésistible, une poésie tout en finesse, un réjouissant ton caustique.
La Voix du Nord
Wes Anderson signe une splendide fable fantaisiste, à la fois dérangeante et humaniste.
Libération
De fait, ce film virtuose d’animation stop-motion (...) reflète l’habituelle maniaquerie ébouriffante du réalisateur, mais s’étoffe tout à la fois d’une poignante épopée picaresque, d’un brûlot politique, et d’un manifeste antispéciste où les chiens se taillent la part du lion.
Paris Match
"L’Ile aux chiens" est un régal visuel de tous les instants. On pourrait se perdre à l’infini dans ce Japon réinventé qui fourmille de détails, d’idées de mise en scène, d’hommages discrets ou tonitruants à la culture nippone - notre préféré restant la mise en scène de la légende façon théâtre Kabuki.
Télé Loisirs
Touchant, drôle et poétique, ce film est à la fois une ode humaniste, une allégorie politique et un appel à la révolte.
Voici
Une fable d'anticipation politique, dans laquelle on reconnaît la patte réjouissante du réalisateur : drôle, émouvante, mélancolique, débordante d'imagination créative, et truffée de références.
BIBA
Au-delà du récit d'aventures, ce film d'animation en stop motion, beau comme du théâtre kabuki miniature, raconte aussi le drame des populations en exil.
Bande à part
Une malle au trésor tordante et émouvante qui ravit les mirettes.
CNews
Wes Anderson réussit à retranscrire avec brio son univers singulier, dans ce film de marionnettes des plus ambitieux et magnifié par un casting vocal cinq étoiles.
Culturopoing.com
Une fable foisonnante, touchante et ludique pour une grande réussite de plus de Wes Anderson.
Femme Actuelle
Un film d'aventures captivant et une fable politique et écologique bien menée.
L'Humanité
Un film d’animation qui offre un terrain idéal aux savoir-faire de son auteur, avec des acteurs très en voix.
L'Obs
Ce plaidoyer antispéciste en faveur de l'impureté et de la désobéissance civique a la robe soignée mais le poil dru.
La Septième Obsession
Un conte ancien et moderne, éternel, qui dresse un pont entre le cinéma insulaire d’Anderson qui menaçait un jour d’être englouti et le monde extérieur, celui d’un public ébloui et reconnaissant.
Le Figaro
Le Texan observe toujours ses personnages avec un regard généreux et amical.
Le Journal du Dimanche
Avec son habituel humour à froid et son goût pour les univers aussi poétiques que décalés, le réalisateur choisit l’animation (élégante et originale) pour nous conter une fable au poil sur l’intolérance de notre monde et la force de l’amitié.
Le Journal du Geek
Anderson livre un film techniquement impeccable. Sa maîtrise du stop-motion atteint des sommets et lui permet d’offrir des plans superbes (...). Hommage à la culture japonaise, ce long-métrage au ton plus sérieux tisse une allégorie politique qu’on aurait voulue encore plus engagée.
Le Monde
La plus grande beauté de L’Ile aux chiens réside toutefois dans son rendu plastique, ayant la richesse d’une grande symphonie de formes et de matières.
Le Parisien
Un film poilant, mordant, et qui a un chien fou !
Les Fiches du Cinéma
À partir d’un canevas classique (quête initiatique et aventures burlesques), Wes Anderson tisse un récit sans schématisme, d’une beauté plastique et d’une acuité psychologique remarquables.
Les Inrockuptibles
Anderson n’est peut-être pas le plus politisé des cinéastes, mais la vulgarité, la bêtise, la malhonnêteté ne sont pas de son monde. C’est dire si le spectacle que lui offre notre époque semble le dégoûter. Et combien "L’Ile aux chiens" est bel et bien le reflet fidèle et aiguisé de notre présent.
Mad Movies
"L'Île aux chiens" demeure une expérience sensorielle assez rare, servie par un réalisateur en phase avec son sujet, et soutenue par un casting de voix globalement exceptionnel.
Marianne
Une fable politique mordante.
Ouest France
Un contenu gentiment polémique, des trouvailles, un design de qualité... Du grand Wes Anderson.
Positif
(...) dans son joli théâtre de marionnettes, Anderson rend un hommage pétillant à un archipel merveilleux, aussi réel que rêvé.
Première
Truffé d'idées visuelles, d'action, d'humour et nimbé de mélancolie, le film puise dans sa noirceur une joie contagieuse.
Rolling Stone
Une épopée merveilleusement réalisée sur (et avec !) nos fidèles compagnons à quatre pattes.
Sud Ouest
Entre douceur et violence, « L’île aux chiens » déploie une subtile narration, pleine d’humour et d’épines, où se dessine sans mal le sort des réprouvés du monde.
Télé 7 Jours
Une fable singulière poétique, drôle et cruelle à la fois.
Télérama
Ségrégation, maltraitance, corruption : avec cette fable animalière inventive, le cinéaste américain réussit un film politique haletant et foisonnant.
aVoir-aLire.com
Une aventure canine pleine de fantaisie, au sous-texte politique savoureux.
IGN France
L'Île aux chiens n'est sans doute pas le film le plus original de Wes Anderson, il n'en demeure pas moins complètement dingue.
La Croix
À l’instar de cette traductrice des allocutions de Kobayashi, doublée par Frances McDormand en VO et Isabelle Huppert en VF, le film regorge d’idées originales qu’estompe hélas le perfectionnisme de Wes Anderson. Cette méticulosité, à l’image des masques parfaits mais impassibles des personnages humains, finit par étouffer l’émotion de cette comédie sentimentale célébrant la fidélité des liens d’amitié.
Transfuge
Moins véloce et fluide dans sa conduite du récit que "The Grand Budapest Hotel", "L’île aux chiens" est un film que l’on passe son temps à admirer sans jamais avoir la distance, les échelles ni le temps nécessaire pour pouvoir l’aimer.
Critikat.com
Rien, chez Anderson, n’est donc laissé au hasard, et la minutie obsessionnelle qui fonde son style trouve ici un nouvel aboutissement, qui est aussi sa limite.