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Votre avis sur Venise n'est pas en Italie ?
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C'est le genre typique de comédie familiale française moyenne avec clichés, acteurs secondaires moyens et peu d'ambition scénaristique.
C'est le "Little Miss Sunshine" dont on aurait retiré toute la magie...
C'est le "Little Miss Sunshine" dont on aurait retiré toute la magie...
Comedie française réussi sur la thème de l’amour d’un adolescent avec une jeune fille très diffèrent de son milieu social. Le film est frais drôle ça joue super j’ai passé un bon moment.
Il y a tant de tendresse, d'amour, de sincérité et d'humanité dans ce film ! Alors oui , le spectateur part à Venise avec cette famille tuyaux de poêle bien vivante et amusante pour une belle raison d'amour et découvre le long du road movie l'amour qui transpire chemin faisant. C'est le monde des petites gens au cœur bien rempli débordant d'amour qui s'affiche comme socle solide face à la superficialité d'une bourgeoisie condescendante.... A ne pas rater
Aussi étrange que cela puisse paraître, le couple Bernard (Benoît Poelvoorde) Annie (Valérie Bonneton) ne m’a procuré aucune émotion. Là où j’ai commencé à ressentir, c’est à Venise même, la course effrénée d’Emile, sa détermination pour assister au concert a capté mon attention. J’étais de tout coeur avec lui. Pour le reste, les portraits sont taillés grossièrement et mille fois vus comme la classe sociale qui sépare les Chamodot des Desprès. Le père de Pauline est une caricature d’une caricature ! Quant à Bernard, il m’a irrité. Le rôle de Benoît Poelvoorde est assez ingrat ; ça passe ou ça casse. L’objectif était de me le rendre sympathique. Raté. Il n’est ni sympathique, ni antipathique. Un personnage qui m’indiffère et ne le fréquenterai pas ! Et puis la sempiternelle famille pauvre qui a plus de coeur que la famille riche et intellectuelle est aussi la caricature d’une caricature ! C’est un sujet éternel, je l’admets, mais comme les films d’amour, tout dépend du traitement, de ce qu’on en fait, de la nature des dialogues, des situations, des personnages et de leur vécu, de l’imagination du réalisateur. Tous les films d’amour ne sont pas excitants, loin de là ! Seule l’histoire d’amour d’Emile m’a intéressé et salue au passage l’interprétation de Hélie Thonnat.
Jeune adolescent, Emile n'a pas la vie facile. Ses parents, doux rêveurs, vivent dans une caravane et semblent penser que leur fils n'est pas beau s'il n'est pas teint en blond… Quand Pauline, la fille dont il est épris au lycée, l'invite à Venise, il voit enfin une raison d'être heureux. Oui mais quand son père à l'idée de partir tous ensemble, Emile sait que ça compliquera les choses. Cette comédie gentillette se laisse regarder. L'histoire est sympa, le casting est bon (Poelvoorde et Bonneton tout en sobriété) et attachant.
iceman7582
Une gentille petite comédie française. Le casting est bien senti et certaines répliques vont mouche ! A la fois tendre et piquant par moment, ce film se laisse regarder.
Un film très mimi avec une morale très amusante passez un bon moment et les artistes jouer bien et scénario amusant
Petite comédie divertissante et sans prétention, qui nous amène à suivre le road trip d'une famille, et où Poelvoorde y est impeccable.
Pas mal sans plus. Poelvoorde très bien dans le rôle du père de famille déjanté. Mais ne restera pas dans les annales du cinéma !
Une petite comédie à peine agréable à regarder, même Poelvoorde est à moitié à son niveau, et je pense que le problème vient du fait que le fil rouge du film est l'amourette d'un ado, qui n'a, comme acteur autant que comme personnage, pas les épaules pour porter le film au delà du souvenir banal.
On se laisse embarquer sans réfléchir dans ce voyage improvisé un brin loufoque...
C'est superbe, beau, triste et drôle comme une fable !
C'est superbe, beau, triste et drôle comme une fable !
Fêtons le cinéma
Comédie populaire sur le caractère « inclassable » et « fantasque » d’une famille modeste, similaire en somme aux affreuses Famille Bélier (Éric Lartigau, 2014) et Famille Hennedricks (Laurence Arné, 2024), Venise n’est pas en Italie tend un miroir à des spectateurs qu’il conforte dans leur droit à la singularité alors même qu’il respecte à la lettre le cahier-décharge publique du genre, et que sa prétendue irrévérence repose sur les propos déplacés – oh là là ! – de ses personnages. L’écriture schématique des personnages contraint le talentueux Benoît Poelvoorde à se caricaturer dans le rôle d’un père optimiste se promenant la bedaine à l’air et hurlant « A. I. E. (A Mwana) » dans l’espoir de susciter le rire ; les autres protagonistes ne valent pas mieux, le pire étant le regard porté sur Natacha, définie par ses formes généreuses, ou la réduction du premier amour à sa condition sociale. L’intérêt (relatif) du film réside néanmoins dans la crise de la parentalité qu’il représente malgré lui, père et mère se posant mille et une questions sur la meilleure façon d’élever leurs fils, partageant avec eux doutes et préoccupations :
spoiler:
le père urine à côté de son cadet, ce dernier se voit offrir l’amante de son aîné pour perdre sa virginité…
Blague ! Sans inviter au dialogue, Ivan Calbérac et son équipe créent une profonde gêne et se complaisent dans une niaiserie consensuelle rappelant à nos mémoires encore endolories le LOL que sortait, en 2009, Lisa Azuelos.
Blague ! Sans inviter au dialogue, Ivan Calbérac et son équipe créent une profonde gêne et se complaisent dans une niaiserie consensuelle rappelant à nos mémoires encore endolories le LOL que sortait, en 2009, Lisa Azuelos.
Audrey L
Une adaptation fidèle du petit roman comique qui nous embarque dans une drôle de famille qui tente une folle course à la montre pour arriver à temps au concert de la petite copine de l'adolescent-narrateur. Le casting est bon, les deux jeunes hommes semblent naturels en frangins "amour-désamour", Benoît Poelvoorde n'en fait pas trop pour parvenir à un papa décalé mais crédible et touchant, de même que Valérie Bonneton qui est bien plus agréable que dans le rôle quasi-similaire (la mère insupportable sur un road-trip) de Eyjafjallajökull. Évidemment les situations sont rocambolesques et grossies au centuple, certains personnages manquant même de profondeur (le motard, le père de la fillette...), et les gags ne sont pas tous d'une finesse cinq étoiles, mais on passe un sincère bon moment devant cette comédie farfelue. La petite note tragique à la fin vient renforcer la bonne impression que laisse le film, de même que la séquence finale
spoiler:
du chant en commun dans la voiture
qui conclue positivement un gag qui aurait pu être lourd sans cela, mais est donc réussi. On voyage plutôt agréablement aux côtés de ces gens foufous et sympathiques.
qui conclue positivement un gag qui aurait pu être lourd sans cela, mais est donc réussi. On voyage plutôt agréablement aux côtés de ces gens foufous et sympathiques.
Une bonne note pour le côté pittoresque des parents excellement interprétés par le couple Bonneton/Poelvoorde.
Vraiment super ce "Road trip" !!! Frais, amusant, émouvant aussi. Bonneton et Poelvoorde sont très attachants, et forment un tandem vraiment efficace. Incontournable pour passer un super moment!
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