Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Positif
par Bernard Génin
C'est bien un enfer que peint "Paradis", où Kontchalovski, soudain en proie au pessimisme le plus noir, observe à la loupe ces gens qui balayent d'un revers de la main ce qu'ils osent qualifier de "points de détail", les yeux braqués sur l'objectif qu'on leur a fixé.
L'Obs
par Jérôme Garcin
Il y a du médecin légiste chez ce cinéaste octogénaire, qui pratique désormais son art comme une autopsie. Sur un cadavre qui bouge toujours.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Jules, Olga, Helmut. Trois destins précipités dans la folie du nazisme. Trois attitudes face au mal filmées, avec efficacité et sobriété, par Andreï Konchalovsky.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Un lion d'argent à la Mostra de Venise a salué cette fresque méditative qui plonge au plus intime de la conscience.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Une peinture de l'ignominie au réalisme glaçant.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Transfuge
par Nathalie Dassa
La démarche froide de Konchalovsky évite tout aspect mélodramatique laissant l'horreur de l'Holocauste envahir ce Paradis criminel et corrompu.
Culturopoing.com
par Lola Tuffery
Obnubilé par la prouesse technique, Andreï Konchalovsky en oublie l’émotion, empêchant le message existentiel de se déployer entièrement.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Parti pris captivant, reconstitution saisissante, on hésite entre le malaise et l’admiration face à ce film esthétisant mais sûrement pas aimable.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Première
par Frédéric Foubert
L’aspect rétro, qui donnerait presque le sentiment que le film a été tourné dans l’immédiat après-guerre, crée une impression étrange, flottante, naviguant entre esthétique “datée” et devoir de mémoire intemporel.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Ces destins croisés (...) se perdent au fil de l'alternance des flash-back et des interrogatoires/confessions qui cassent le rythme du film et créent une distance avec le spectateur.
Critikat.com
par Benoît Smith
[Kontchalovski] ne semble travailler l'ambiguïté de ses personnages que comme une matière abstraite ; il prétend leur faire soulever des questions sur leur nature humaine, mais s'empresse d'apporter des réponses, pour certaines contestables.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) d’un côté, la mise en scène de cette fable, située en grande partie dans un camp d’extermination nazi, est sobre et cohérente (...) ; mais, de l’autre, comment peut-on évoquer cette période en refusant de conférer le rang de personnage à une seule des victimes de l’extermination des juifs d’Europe, à moins qu’on ne l’accorde à cette figure de kapo juif ?
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Un rappel au courage et à la lâcheté ordinaires, au message essentiel mais manquant parfois de finesse.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Humanité
par Vincent Ostria
Pourquoi Konchalovsky a-t-il soudain décidé de régler leur compte aux collabos français et aux nazis allemands ? On l’ignore, mais, mis à part le fait que ce film pseudo-réaliste en noir et blanc, émaillé d’interviews des personnages, sonne faux, il aborde trop légèrement des sujets graves.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Positif
C'est bien un enfer que peint "Paradis", où Kontchalovski, soudain en proie au pessimisme le plus noir, observe à la loupe ces gens qui balayent d'un revers de la main ce qu'ils osent qualifier de "points de détail", les yeux braqués sur l'objectif qu'on leur a fixé.
L'Obs
Il y a du médecin légiste chez ce cinéaste octogénaire, qui pratique désormais son art comme une autopsie. Sur un cadavre qui bouge toujours.
La Croix
Jules, Olga, Helmut. Trois destins précipités dans la folie du nazisme. Trois attitudes face au mal filmées, avec efficacité et sobriété, par Andreï Konchalovsky.
Le Figaro
Un lion d'argent à la Mostra de Venise a salué cette fresque méditative qui plonge au plus intime de la conscience.
Rolling Stone
Une peinture de l'ignominie au réalisme glaçant.
Transfuge
La démarche froide de Konchalovsky évite tout aspect mélodramatique laissant l'horreur de l'Holocauste envahir ce Paradis criminel et corrompu.
Culturopoing.com
Obnubilé par la prouesse technique, Andreï Konchalovsky en oublie l’émotion, empêchant le message existentiel de se déployer entièrement.
Le Journal du Dimanche
Parti pris captivant, reconstitution saisissante, on hésite entre le malaise et l’admiration face à ce film esthétisant mais sûrement pas aimable.
Première
L’aspect rétro, qui donnerait presque le sentiment que le film a été tourné dans l’immédiat après-guerre, crée une impression étrange, flottante, naviguant entre esthétique “datée” et devoir de mémoire intemporel.
Studio Ciné Live
Ces destins croisés (...) se perdent au fil de l'alternance des flash-back et des interrogatoires/confessions qui cassent le rythme du film et créent une distance avec le spectateur.
Critikat.com
[Kontchalovski] ne semble travailler l'ambiguïté de ses personnages que comme une matière abstraite ; il prétend leur faire soulever des questions sur leur nature humaine, mais s'empresse d'apporter des réponses, pour certaines contestables.
Le Monde
(...) d’un côté, la mise en scène de cette fable, située en grande partie dans un camp d’extermination nazi, est sobre et cohérente (...) ; mais, de l’autre, comment peut-on évoquer cette période en refusant de conférer le rang de personnage à une seule des victimes de l’extermination des juifs d’Europe, à moins qu’on ne l’accorde à cette figure de kapo juif ?
Les Fiches du Cinéma
Un rappel au courage et à la lâcheté ordinaires, au message essentiel mais manquant parfois de finesse.
L'Humanité
Pourquoi Konchalovsky a-t-il soudain décidé de régler leur compte aux collabos français et aux nazis allemands ? On l’ignore, mais, mis à part le fait que ce film pseudo-réaliste en noir et blanc, émaillé d’interviews des personnages, sonne faux, il aborde trop légèrement des sujets graves.