Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Critikat.com
par Ferhat Abbas
C’est d’ailleurs dans cette ambition que se dessine peut-être la plus belle générosité du film : inscrire les personnages dans un cadre filmique en perpétuel mouvement, grâce à des travelings nocturnes, qui deviennent peut-être les tentatives de Théo et Hugo pour repousser ensemble les limites psychologiques du cadre dans lequel pourrait les enfermer la maladie.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Cécile Rousseau
Film queer dégagé de toute pudibonderie, la tranche de vie de Théo et Hugo ne laisse pas un goût amer. Elle se dévore même à pleines dents.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
20 Minutes
par Caroline Vié
Les deux comédiens, épatants, n’hésitent pas à se dévoiler physiquement avant de laisser parler leurs sentiments.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Fadette Drouard
Le nouveau film du duo Ducastel et Martineau creuse le sillon de leur exploration des rapports amoureux et charnels. Entre Nouvelle Vague et Red Room, le film joue la carte du temps « quasi réel » et de la fausse légèreté. Une franche réussite : tous à bord !
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
La rencontre sexuelle intense de deux garçons, suivie par l’angoisse de la transmission du VIH. Un film remuant sur le désir.
Libération
par Clément Ghys
Cette audace, qui offre de subtils et délicats moments, fait pourtant aussi la fragilité du film. "Théo & Hugo" séduit moins par sa capacité à inventer des instants de cinéma que par le propos qui s’y déploie (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Bernard Génin
Grâce à deux comédiens totalement investis et étonnants de naturel, la passion de vivre triomphe, comme un défi au pessimisme ambiant.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un récit poignant au romantisme naïf auquel il est réconfortant de croire.
Sud Ouest
par Sophie Avon
"Théo et Hugo" pourrait ressembler à un catalogue des minorités souffrantes, c'est juste une œuvre émouvante et enjouée.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Jean-Noël Orengo
C'est un des intérêts du film, évoluer dans un monde qui a presque disparu des écrans et des pages : le sida (...) ; l'émerveillement devant la pure sexualité (...) ; la dialectique Paris-province aussi, pas la moins intéressante.
Télérama
par Frédéric Strauss
Tout en collant à la réalité, le film est un superbe exercice de mise en scène, et c'est là sa grande réussite. (...) Un hymne à la jeunesse de deux garçons d'aujourd'hui et à celle, éternelle, du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le film gay le plus important depuis L’inconnu du lac (…) une formidable proposition de cinéma alternatif.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Monde
par Thomas Sotinel
Ouvert par une magnifique séquence érotique (...), Théo et Hugo se transforme ensuite en fable prophylactique (l’un est séropositif, l’autre imprudent), puis en errance à Paris, entre Strasbourg-Saint-Denis et Stalingrad : de la puissance empreinte de grâce, on passe à un charme un peu convenu.
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
S'il n'échappe pas aux clichés du film LGBT, le film du duo Ducastel/Martineau émeut.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
L’ouverture de Théo et Hugo est ce que le film a de moins bateau. (…) La suite (près de 1 h 20) est plus banale.
Critikat.com
C’est d’ailleurs dans cette ambition que se dessine peut-être la plus belle générosité du film : inscrire les personnages dans un cadre filmique en perpétuel mouvement, grâce à des travelings nocturnes, qui deviennent peut-être les tentatives de Théo et Hugo pour repousser ensemble les limites psychologiques du cadre dans lequel pourrait les enfermer la maladie.
L'Humanité
Film queer dégagé de toute pudibonderie, la tranche de vie de Théo et Hugo ne laisse pas un goût amer. Elle se dévore même à pleines dents.
20 Minutes
Les deux comédiens, épatants, n’hésitent pas à se dévoiler physiquement avant de laisser parler leurs sentiments.
Bande à part
Le nouveau film du duo Ducastel et Martineau creuse le sillon de leur exploration des rapports amoureux et charnels. Entre Nouvelle Vague et Red Room, le film joue la carte du temps « quasi réel » et de la fausse légèreté. Une franche réussite : tous à bord !
Les Inrockuptibles
La rencontre sexuelle intense de deux garçons, suivie par l’angoisse de la transmission du VIH. Un film remuant sur le désir.
Libération
Cette audace, qui offre de subtils et délicats moments, fait pourtant aussi la fragilité du film. "Théo & Hugo" séduit moins par sa capacité à inventer des instants de cinéma que par le propos qui s’y déploie (...).
Positif
Grâce à deux comédiens totalement investis et étonnants de naturel, la passion de vivre triomphe, comme un défi au pessimisme ambiant.
Studio Ciné Live
Un récit poignant au romantisme naïf auquel il est réconfortant de croire.
Sud Ouest
"Théo et Hugo" pourrait ressembler à un catalogue des minorités souffrantes, c'est juste une œuvre émouvante et enjouée.
Transfuge
C'est un des intérêts du film, évoluer dans un monde qui a presque disparu des écrans et des pages : le sida (...) ; l'émerveillement devant la pure sexualité (...) ; la dialectique Paris-province aussi, pas la moins intéressante.
Télérama
Tout en collant à la réalité, le film est un superbe exercice de mise en scène, et c'est là sa grande réussite. (...) Un hymne à la jeunesse de deux garçons d'aujourd'hui et à celle, éternelle, du cinéma.
aVoir-aLire.com
Le film gay le plus important depuis L’inconnu du lac (…) une formidable proposition de cinéma alternatif.
Le Monde
Ouvert par une magnifique séquence érotique (...), Théo et Hugo se transforme ensuite en fable prophylactique (l’un est séropositif, l’autre imprudent), puis en errance à Paris, entre Strasbourg-Saint-Denis et Stalingrad : de la puissance empreinte de grâce, on passe à un charme un peu convenu.
Les Fiches du Cinéma
S'il n'échappe pas aux clichés du film LGBT, le film du duo Ducastel/Martineau émeut.
Cahiers du Cinéma
L’ouverture de Théo et Hugo est ce que le film a de moins bateau. (…) La suite (près de 1 h 20) est plus banale.