AlloCiné
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Votre avis sur Mon maître d'école ?
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Un très beau film qui redonne espoir en l'école de la République.
Je le conseille fortement. On ne s'ennuie pas une seconde.
Le portrait de cet instituteur passionné et de ces élèves est d'une formidable authenticité.
Je le conseille fortement. On ne s'ennuie pas une seconde.
Le portrait de cet instituteur passionné et de ces élèves est d'une formidable authenticité.
Une petite pépite en ce début d'année, un film bourré d'émotions tout en simplicité et authenticité avec un personnage haut en couleurs Mr Burel l'instituteur de St Just-et-Vacquières.
On peut y voir non seulement la vie à l'école mais aussi celle du petit village dont Mr Burel est maire.Le tout est réjouissant et pleins de bons sentiments.
On peut y voir non seulement la vie à l'école mais aussi celle du petit village dont Mr Burel est maire.Le tout est réjouissant et pleins de bons sentiments.
Une belle histoire sans sentimentalisme excessif, un bon moment à partager à plusieurs qui sait trouver le ton juste
De l'émotion, de la tendresse, de l'amusement, de la passion, ce film est tout simplement magnifique et nous replonge en enfance. Bravo à ce maitre d'école que l'on aurait tous aimé avoir comme instituteur !
C’était un pari risqué que de suivre son instituteur durant une année. Armée de deux caméras, Émilie Thérond s’est lancée dans la (folle ?) aventure de suivre son ancien maître d’école, M. Burel, pour sa dernière année d’enseignant. Ce qui est fâcheux, c’est que son travail souffre de la comparaison avec Être et avoir, modèle du genre en la matière. Thème similaire, cible identique, chronologie analogue, 2016 est une année bien tardive pour voir apparaître ce documentaire.
En s’invitant dans cette classe de CE2/CM2, on pense avant tout que le dispositif scénique de l’auteur va être invisible. Cela pour laisser libre cours à la spontanéité des élèves. Tout faux, trop de regards caméra gâchent ce naturalisme. Même chose, on ne devrait pas voir la réalisatrice, ni l’entendre. En adoptant cette mise en scène, la femme tronque l’angle qu’elle a choisi et l’objectif visé. Veut-elle décrire la dernière année d’un maître d’école pas comme les autres ? Ou créer une sorte d’autobiographie filmique ? Bancal, le récit délivre des pistes brouillées.
Le charme du maître sauve quelque peu le film. On sent chez lui un véritable humanisme et le goût constant de bien faire. Mais une personnalité attachante n’a jamais fait un bon documentaire. Le propos scénaristique s’avère trop personnel et ne touchera certainement pas assez le spectateur. Peu d’anecdotes croustillantes et trop de banalités parsèment un film qui n’arrive pas à se trouver. La bande son de Yodelice (bien trop sucrée pour ce genre d’œuvre) ne vient que confirmer cette perte d’inspiration. Bien trop présente, la guitare de Maxim Nucci tente vainement de combler la vacuité contemplative de Mon maître d’école.
Ajoutées à cela, les images d’archives et certaines voix off (qui sortent de nulle part) arrivent comme un cheveu sur la soupe et cassent le rythme du film, pas toujours fluide. Les retours dans le passé sont en effet maladroits. Alors que Mon maître d’école devrait promouvoir l’art du présent, le film se trompe de direction et opte pour une nostalgie pompeuse et dégoulinante de bons sentiments. Au lieu de multiplier les pistes creuses, cela aurait pu être fascinant de ne se concentrer que sur cette dernière année, charnière pour les élèves (la plupart vont passer de l’école au collège) et l’instit’ (qui part à la retraite).
La fin, qui ne rattrapera pas l’ensemble, est trop émouvante et dévalue le propos du film, censé être positif. Les yeux et l’attitude de M. Burel montrent à quel point il ne veut pas quitter son poste. Poignant, on sent ici que c’est toute sa vie qui prend un tournant. Mais au lieu d’entrevoir une porte de sortie et un avenir constructif (pour lui et les enfants), Émilie Thérond reste sur son départ à la retraite et laisse le public avec cette touche d’amertume. Mal venue pour ce genre documentaire.
En s’invitant dans cette classe de CE2/CM2, on pense avant tout que le dispositif scénique de l’auteur va être invisible. Cela pour laisser libre cours à la spontanéité des élèves. Tout faux, trop de regards caméra gâchent ce naturalisme. Même chose, on ne devrait pas voir la réalisatrice, ni l’entendre. En adoptant cette mise en scène, la femme tronque l’angle qu’elle a choisi et l’objectif visé. Veut-elle décrire la dernière année d’un maître d’école pas comme les autres ? Ou créer une sorte d’autobiographie filmique ? Bancal, le récit délivre des pistes brouillées.
Le charme du maître sauve quelque peu le film. On sent chez lui un véritable humanisme et le goût constant de bien faire. Mais une personnalité attachante n’a jamais fait un bon documentaire. Le propos scénaristique s’avère trop personnel et ne touchera certainement pas assez le spectateur. Peu d’anecdotes croustillantes et trop de banalités parsèment un film qui n’arrive pas à se trouver. La bande son de Yodelice (bien trop sucrée pour ce genre d’œuvre) ne vient que confirmer cette perte d’inspiration. Bien trop présente, la guitare de Maxim Nucci tente vainement de combler la vacuité contemplative de Mon maître d’école.
Ajoutées à cela, les images d’archives et certaines voix off (qui sortent de nulle part) arrivent comme un cheveu sur la soupe et cassent le rythme du film, pas toujours fluide. Les retours dans le passé sont en effet maladroits. Alors que Mon maître d’école devrait promouvoir l’art du présent, le film se trompe de direction et opte pour une nostalgie pompeuse et dégoulinante de bons sentiments. Au lieu de multiplier les pistes creuses, cela aurait pu être fascinant de ne se concentrer que sur cette dernière année, charnière pour les élèves (la plupart vont passer de l’école au collège) et l’instit’ (qui part à la retraite).
La fin, qui ne rattrapera pas l’ensemble, est trop émouvante et dévalue le propos du film, censé être positif. Les yeux et l’attitude de M. Burel montrent à quel point il ne veut pas quitter son poste. Poignant, on sent ici que c’est toute sa vie qui prend un tournant. Mais au lieu d’entrevoir une porte de sortie et un avenir constructif (pour lui et les enfants), Émilie Thérond reste sur son départ à la retraite et laisse le public avec cette touche d’amertume. Mal venue pour ce genre documentaire.
Bon film sous forme de reportage. M.Bureau y est très attachant ainsi que ses élèves dans un cadre bucolique du sud de la France. Le problème pour moi a été le regard intrusif de la caméra dans cette petite classe qui entraîne un manque de naturel des élèves voir même de l'instituteur. Le moins que l'on puisse dire c'est qu'ils n'ont pas oublié la caméra. Dommage.
Film qui est une copie du film "être et avoir" de Nicolas PHILIBERT sortit en 2002. L'ambiance, le décor, l'implication du maître est exactement la même. j'ai eu l'impression de voir un remake. Dommage.
Ciné2909
C'est une belle initiative que celle d'Émilie Thérond qui dédie son premier documentaire à un homme qui laissera une grande empreinte au village de Saint-Just-et-Vacquières. Hommage donc à Jean-Michel Burel, enseignant attachant qui aura donc eu l'opportunité de suivre 2 générations d'élèves offrant à son départ un peu plus d'émotions. Oui on s'accordera tous à dire que l'homme suscite une certaine admiration mais on peut aussi regretter que la réalisatrice ne cherche pas aller plus loin que de poser ses caméras. Mon maître d'école se caractérise donc par sa simplicité pour ne pas dire sa légèreté s'accompagnant de quelques moments de flottement et ne laissant au final pas un grand souvenir.
Ti Nou
Ce documentaire est plus un portrait d’une personnalité passionnée qu’une peinture de l’école et de ses évolutions. Si cet enseignant et son abnégation méritent que l’on s’y attarde, le film manque de nuance et le milieu scolaire y apparaît idyllique, sans aspérité ni difficulté.
Cinéphiles 44
Portrait nostalgique d’un instituteur d’un petit village du Gard, lors de sa dernière année avant la retraite après avoir exercé depuis plus de trente ans, Mon maître d’école est un documentaire hommage à la profession. Emilie Thérond suit ici maître et maire de plusieurs générations qui savoure toujours autant de transmettre ses connaissances aux élèves. Mais pour lui l’école de la vie, c’est également laisser faire des erreurs et résoudre des conflits. Souvent drôle, ce documentaire se regarde avec affection, mais n’ira pas plus loin que de filmer un moment de vie.
D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
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5 étoiles bien méritées pour ce magnifique portrait d'un instituteur hors pair et exceptionnel.
On a tous rêvé d'avoir eu un maître d'école aussi professionnel, attachant, bienveillant .
C'est un joli portrait qu'a fait une ancienne élève de cet homme foncièrement bon.
Un documentaire plein de tendresse et de moments d'émotions.
Un bel hommage à cette belle personne qui pendant 40 ans a exercé le plus beau métier du monde.
Un regard nostalgique qui nous fait du bien.
On ne peut s'empêcher d'avoir une petite larme à la fin .
On a tous rêvé d'avoir eu un maître d'école aussi professionnel, attachant, bienveillant .
C'est un joli portrait qu'a fait une ancienne élève de cet homme foncièrement bon.
Un documentaire plein de tendresse et de moments d'émotions.
Un bel hommage à cette belle personne qui pendant 40 ans a exercé le plus beau métier du monde.
Un regard nostalgique qui nous fait du bien.
On ne peut s'empêcher d'avoir une petite larme à la fin .
Emouvant et sensible, cette image passéiste du maître d’école généreux et attachant stimulera la nostalgie de plusieurs générations, les écoliers des années 1960 à 1990. Cette chronique d’un temps révolu fonctionne plutôt bien et l’émotion arrive à nous surprendre, surtout vers la fin. Ce portait, filmé avec tendresse par une ancienne élève, nous parle d’un temps que les jeunes d’aujourd’hui ne connaitront jamais, tout au moins pas sous cette forme. Ce documentaire marie l'objectif, dépeindre la réalité d’une classe en milieu rural, et l'intime, la vie de ce passionné de l’école de la République. Un tantinet désuet mais probablement authentique, ce témoignage d’amour pour la mission éducative a de quoi nous réchauffer le cœur. Merci à Jean-Michel Burel d’avoir donné ses lettres de noblesse pendant toute sa vie à une profession parfois décriée, mais très souvent dévouée.
Alors c'est vrai c'est pas très bien filmé la caméra est tremblante les plans pas tous posés bref on sent la débutante.
Pareil au coupage ou parfois c'est un peu abrupte la post production n'a pas été faite avec beaucoup de moyens.
Oui mais voilà la qualité de réalisation n'est clairement que secondaire ici.
L'important c'est l'histoire de ce maître d'école qui personnellement m'a fait beaucoup penser au mien.
Un personnage touchant prenant soin de ses élèves en essayant de leur inculquer certaines valeurs importantes pour lui.
C'est vraiment prenant et touchant comme film ce professeur à vraiment beaucoup de mérite et il peut être fier que l'une de ses anciennes élèves est décidé de faire un film sur sa dernière année.
Cela prouve la grandeur du monsieur
Pareil au coupage ou parfois c'est un peu abrupte la post production n'a pas été faite avec beaucoup de moyens.
Oui mais voilà la qualité de réalisation n'est clairement que secondaire ici.
L'important c'est l'histoire de ce maître d'école qui personnellement m'a fait beaucoup penser au mien.
Un personnage touchant prenant soin de ses élèves en essayant de leur inculquer certaines valeurs importantes pour lui.
C'est vraiment prenant et touchant comme film ce professeur à vraiment beaucoup de mérite et il peut être fier que l'une de ses anciennes élèves est décidé de faire un film sur sa dernière année.
Cela prouve la grandeur du monsieur
Couscous
Un film authentique, incroyablement touchant et saisissant. Cet enseignant enseigne la vie à sa manière et nous montre une facette cachée que l'on ne voit pas souvent chez un maître, l'attachement pour ses élèves. Le tout peut paraître simple mais c'est radicalement efficace, pour sa dernière année en tant que maître on ressent de plus en plus son émotion et sa tristesse quant il devra quitter sa '' maison ''. Quelle surprise.
Une grande leçon d'humanité et de tendresse nous est donnée par ce maître d'école. Une leçon que devraient apprendre nos ministres de l'éducation et ceux qui les entourent pour revenir à l'essentiel de la pédagogie...
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