Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Emouvant et sensible.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
20 Minutes
par Delphine Bancaud
Ce film est aussi une jolie illustration de l’école rurale, où des enseignants parviennent à faire sauter certaines barrières.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Positif
par Michel Cieutat
Un documentaire qui marie parfaitement l'objectif et l'intime, au travers du filtre de la tendresse.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Une bouffée de tendresse qui fait du bien.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le feel-good documentary aux émotions intactes, a marqué le comédien François-Xavier Demaison, qui a produit cette initiative en cours de route et touchera aisément les spectateurs curieux de voir ce qui se passe entre les mursde cette éducation nationale décidément plurielle.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Portrait charmant d’un maître à l’ancienne, le documentaire s’attache aux pas et aux tracas de quelques enfants, sans s’arrêter vraiment sur l’un d’entre eux, sans trouver l’équivalent du Jojo qui avait tant touché dans le film de Nicolas Philibert. Plus ouvert sur les élèves, "Mon maître d’école" aurait peut-être dépeint de manière moins révérencieuse cette belle figure de l’école laïque.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Fiches du Cinéma
par Ghislaine Tabareau
Portrait du maître d'école d'un village de 250 habitants, filmé avec tendresse par une ancienne élève, ce documentaire oscille entre pédagogie positive et émotion. Une image rassurante de l'école républicaine.
Première
par Christophe Narbonne
Le nouvel Être et Avoir ? À quelques nuances près, oui. Les nuances ? Une absence de réel point de vue et un didactisme souligné à la craie grasse modèrent cet éloge vibrant, et sans aucun doute sincère, de la laïcité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Nicolas Didier
Au-delà de la simple chronique, le film réserve des moments de vie qui en disent plus long que les propos recueillis du maître ou le commentaire off. Ainsi cet exercice de lecture au pied du monument aux morts, lors des cérémonies du 11 Novembre : un condensé d'école publique républicaine.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Si on s'attache à ce personnage investi, généreux, jovial, ce doc n'a toutefois pas la densité et la classe de "Etre et avoir".
Le Monde
par Mathieu Macheret
Cette petite pastille oecuménique (...) n'a d'autre intention que de stimuler la nostalgie du spectateur, et fige la figure de l'instituteur dans une image d'éternité qui relève du chromo.
Le Parisien
Emouvant et sensible.
20 Minutes
Ce film est aussi une jolie illustration de l’école rurale, où des enseignants parviennent à faire sauter certaines barrières.
Positif
Un documentaire qui marie parfaitement l'objectif et l'intime, au travers du filtre de la tendresse.
Télé 7 Jours
Une bouffée de tendresse qui fait du bien.
aVoir-aLire.com
Le feel-good documentary aux émotions intactes, a marqué le comédien François-Xavier Demaison, qui a produit cette initiative en cours de route et touchera aisément les spectateurs curieux de voir ce qui se passe entre les mursde cette éducation nationale décidément plurielle.
La Croix
Portrait charmant d’un maître à l’ancienne, le documentaire s’attache aux pas et aux tracas de quelques enfants, sans s’arrêter vraiment sur l’un d’entre eux, sans trouver l’équivalent du Jojo qui avait tant touché dans le film de Nicolas Philibert. Plus ouvert sur les élèves, "Mon maître d’école" aurait peut-être dépeint de manière moins révérencieuse cette belle figure de l’école laïque.
Les Fiches du Cinéma
Portrait du maître d'école d'un village de 250 habitants, filmé avec tendresse par une ancienne élève, ce documentaire oscille entre pédagogie positive et émotion. Une image rassurante de l'école républicaine.
Première
Le nouvel Être et Avoir ? À quelques nuances près, oui. Les nuances ? Une absence de réel point de vue et un didactisme souligné à la craie grasse modèrent cet éloge vibrant, et sans aucun doute sincère, de la laïcité.
Télérama
Au-delà de la simple chronique, le film réserve des moments de vie qui en disent plus long que les propos recueillis du maître ou le commentaire off. Ainsi cet exercice de lecture au pied du monument aux morts, lors des cérémonies du 11 Novembre : un condensé d'école publique républicaine.
Studio Ciné Live
Si on s'attache à ce personnage investi, généreux, jovial, ce doc n'a toutefois pas la densité et la classe de "Etre et avoir".
Le Monde
Cette petite pastille oecuménique (...) n'a d'autre intention que de stimuler la nostalgie du spectateur, et fige la figure de l'instituteur dans une image d'éternité qui relève du chromo.