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"Okja" décrit intégralement notre monde au cours d’un récit empreint de moralité, porteur d’un enseignement clairement subversif. Son pur message, puisqu’il a l’audace d’en délivrer un de façon distincte (...) pourra être reçu sur son versant antispéciste, marxiste, radicalement humaniste, ou tout cela ensemble, et il aura toujours raison : il se livre totalement à l’interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Beau film de monstre, donc, en ceci qu’il en invente un de toutes pièces pour, comme toujours, tendre un miroir à l’humanité sous l’angle de ses contradictions et de sa vanité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
"Le film de Bong Joon-ho se situe quelque part entre Steven Spielberg (E.T.), Hayao Miyazaki (Mon voisin Totoro) et Terry Gilliam (L'Armée des douze singes)."
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Si l’idée n’est pas neuve (…) elle acquiert ici une pertinence renouvelée, hommes comme animaux apparaissant chaque jour davantage comme victimes d’un système barbare dissimulé derrière le masque souriant du Spectacle. Mais le masque, précisément, tombe dans le dernier mouvement, et la fable mignonne se fait soudain cri déchirant, où il ne s’agit plus que de sauver ce qui peut l’être : presque rien, et au fond pratiquement tout.
Malgré une conclusion un peu trop surlignée pour émouvoir, Okja est un film familial plaisant, joliment mis en scène et avec une pointe d'exotisme qui, sans valoir tout le charivari qui l'entoure, confirme l'utilité de Netflix en matière de production cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Quand Bong Joon Ho revient sur la relation tendre qui lie la petite fille et le cochon géant, son seul ami, nous avons vite les yeux embués de larmes et envie de crier «Okjaaaaa» avec elle.
Tantôt fable enchanteresse, tantôt film d'anticipation d'une violence décomplexée, "Okja" surprend de part ses plans virtuoses, son scénario finement ciselé et son message humaniste.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
CinemaTeaser
Une proposition de cinéma totale, aussi drôle que bouleversante, humaine que politique, effrayante qu'exaltante.
Libération
"Okja" décrit intégralement notre monde au cours d’un récit empreint de moralité, porteur d’un enseignement clairement subversif. Son pur message, puisqu’il a l’audace d’en délivrer un de façon distincte (...) pourra être reçu sur son versant antispéciste, marxiste, radicalement humaniste, ou tout cela ensemble, et il aura toujours raison : il se livre totalement à l’interprétation.
20 Minutes
Produit par et uniquement pour la chaîne Netflix, ce beau film aurait pu devenir le blockbuster qui fédère tous les publics cet été…
Critikat.com
Beau film de monstre, donc, en ceci qu’il en invente un de toutes pièces pour, comme toujours, tendre un miroir à l’humanité sous l’angle de ses contradictions et de sa vanité.
L'Obs
"Cette farce végane et anticapitaliste représente ce que Hollywood ne sait plus produire : un grand film de divertissement, familial et politique."
Le Figaro
"Le film de Bong Joon-ho se situe quelque part entre Steven Spielberg (E.T.), Hayao Miyazaki (Mon voisin Totoro) et Terry Gilliam (L'Armée des douze singes)."
Le Journal du Dimanche
L’humanité l’emporte dans ce film qui milite pour une prise de conscience, de quoi oublier quelques longueurs.
Les Inrockuptibles
Si l’idée n’est pas neuve (…) elle acquiert ici une pertinence renouvelée, hommes comme animaux apparaissant chaque jour davantage comme victimes d’un système barbare dissimulé derrière le masque souriant du Spectacle. Mais le masque, précisément, tombe dans le dernier mouvement, et la fable mignonne se fait soudain cri déchirant, où il ne s’agit plus que de sauver ce qui peut l’être : presque rien, et au fond pratiquement tout.
Paris Match
Malgré une conclusion un peu trop surlignée pour émouvoir, Okja est un film familial plaisant, joliment mis en scène et avec une pointe d'exotisme qui, sans valoir tout le charivari qui l'entoure, confirme l'utilité de Netflix en matière de production cinématographique.
Paris Match
Quand Bong Joon Ho revient sur la relation tendre qui lie la petite fille et le cochon géant, son seul ami, nous avons vite les yeux embués de larmes et envie de crier «Okjaaaaa» avec elle.
Rolling Stone
Tantôt fable enchanteresse, tantôt film d'anticipation d'une violence décomplexée, "Okja" surprend de part ses plans virtuoses, son scénario finement ciselé et son message humaniste.
Studio Ciné Live
Ce film de monstre très "comics trip" impressionne par sa démesure.
Voici
[...] destiné à être regardé en petit format, Okja est pourtant un vrai moment de cinéma... spectaculaire.
Cahiers du Cinéma
L’aisance indéniable du cinéaste n’empêche pourtant pas une impression de molle étrangeté dégagée par le projet lui-même.