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    On l’appelle Jeeg Robot
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    132 critiques spectateurs

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    psychiio
    psychiio

    40 abonnés 101 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 avril 2017
    En 2015, Gabriele Salvatores signait un assez bon "Garçon Invisible", qui marquait, pour le pays, une première intrusion dans la SF.
    "Jeeg Robot" est construit sous la forme d'un parcours initiatique. D'abord raconté comme une histoire de gangsters, le film met en avant une nouvelle vision de l'héroïsme. Et, au milieu du trafic de drogue, s'ajoute un style plutôt inattendu : les super-pouvoirs.
    Le costume d'Enzo est simple, et se résume à un pull à capuche noir uniquement. La source de ses super-pouvoirs ? l'eau sale du Tibre. Solitaire, il vit dans un appartement sordide et se nourrit de crème à la vanille. Quand il découvre sa force surhumaine, il défonce un distributeur de billets devant les caméras de surveillance, de sorte que la vidéo se met à circuler sur YouTube et à récolter des milliers de vues. Devenu malgré lui une célébrité, Enzo est recherché par la police, mais aussi par le Gitan, un chef de gang fou et ambitieux.
    Parmi ce déluge d'action et d'aventures, arrive un genre nouveau : l'amour. Alessia, fan de "Steel Jeeg" va être la première à croire aux super-pouvoirs d'Enzo, et c'est elle qui va le pousser à les utiliser pour faire le bien et aider les autres. Grâce à elle, notre héros, trop habitué à la solitude et aux DVD porno, va découvrir qu'il a aussi un cœur.
    Attachants, les personnages sont tous bien composés et interprétés, avec un caractère différent les uns des autres.
    Même si le film ne prendra pas la tête du box-office français, il est pourtant bien réalisé, pétri de bonnes intentions.
    Dans une ambiance et une société ultra réaliste, où le terrorisme règne, les super-héros sont mis de côté et laisse place à une réalité pure et dure.
    Intelligent, "Jeer Robot" s'avère être une nouvelle expérience cinématographique, bien loin de celle d'Hollywood ...
    DarkAkuma02
    DarkAkuma02

    57 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2017
    A Rome, un truand se jette dans le Tibre afin d'échapper à deux hommes qui le poursuivaient et se trouve exposé à des produits chimiques. Il se rend compte plus tard qu'il dispose d'une résistance et d'une force surhumaines, mais décide de les mettre à profit pour voler de l'argent.
    J'ai trouvé ce film étonnant, il s'agit d'une petite production faisant preuve de beaucoup d'ambition avec une approche personnelle du concept de super-héros. Ce long-métrage comporte plusieurs références à la culture pop, aux super-héros et aux mangas, mais ça ne m'a jamais semblé forcé et cela servait plutôt bien l'histoire. L'intrigue cumule les genres avec de l'action et de la violence très graphiques, des séquences plus intimistes ainsi que de la romance, ce qui la rend difficile à classer. Les personnages font preuve d'originalité avec un protagoniste finalement assez sobre dans ses expressions et d'autres qui surjouent, notamment l'antagoniste, mais cela apporte un certain équilibre au récit.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    183 abonnés 1 846 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 avril 2017
    Dans l'esprit d'un Incassable avec beaucoup moins de style, ce film est une assez belle représentation / hommage aux films de super héros et à l'animation japonaise. Le film est touchant, n'abuse pas d'effets spéciaux,présentent des personnages haut en couleur, pas trop caricaturés et crédibles. Une vraie surprise à découvrir
    Merci à UGC pour l'avant première en présence du réalisateur !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 avril 2017
    Vu en avant-première hier. Scotché par autant de talent ! Imagine qu'on croise Logan avec On l'appelle Trinita, Goldorak, Kill Bill, Léon, The Host de Bong, la banlieue de Rome et ses trafics, spoiler: l'ambiance d'un match de foot à Rome
    , 3 personnages trop bien campés ni totalement bons ni totalement mauvais, mais qui évoluent et une intrigue qui va jusqu'au bout... Et tu obtiens un excellent film ! Toutes ces influences étant parfaitement digérées par Gabriele Mainetti, mélangeant avec un dosage parfait violence réaliste et satire ou burlesque. Déconseillés aux moins de 12 ans.
    Freakin  Geek
    Freakin Geek

    246 abonnés 883 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mars 2017
    Loin d’être le film de super héros que l’on s’imaginait, On L’Appelle Jeeg Robot a plus des allures de drame plus proche des films italiens qui arrivent à franchir les frontières du pays ces dernières années que du véritable renouveau du film du super héros qu’il prétend être. La réalisation de Gabriele Mainetti manque clairement d’audace et de folie qui rappelleraient les mangas dont il dit pourtant s’inspirer. Difficile de comprendre ce qui a valu autant de récompenses à ce long métrage plus destiné au fond à ceux qui n’aiment pas les films de super héros qu’aux véritables fans du genre. [lire la critique complète sur le site]
    elriad
    elriad

    430 abonnés 1 858 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 novembre 2016
    Loin des films de la franchise Marvel, ce super anti-héros italien réussit l'exploit d'allier second degré, humour, action et psychologie, mafia, avec un duo de personnages irrésistible: un voyou raté au cœur tendre et une jeune femme fragile immature. Cela fonctionne à merveille et il y a fort à parier qu'une suite sortira bientôt...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 21 novembre 2016
    Une petite daube qui avait tout pour être un très bon film. Le réalisateur est bon, les effets spéciaux sont au top, le pitch est pas mal, seulement voilà, entre le méchant qui est dans l'excès total, la fille qui ne sert à rien en plus d'être lourdasse, le film se perd minutes après minutes et malgré un rebondissement prometteur la suite reste fade.

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    FaRem
    FaRem

    8 613 abonnés 9 509 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 novembre 2016
    Je n'ai pas tous les noms en tête, mais j'ai l'impression que de plus en plus de pays s'aventurent dans l'univers des super héros parfois avec réussite ou pas, parfois d'une manière décalée ou sérieuse et parfois pour un jeune public ou plus large. Après la bonne surprise "Invisible Boy", l'Italie accueille un nouveau superhomme à la différence qu'ici, on a plus affaire à un antihéros en la personne d'Enzo, un homme antisocial accro aux yaourts et aux pornos... Ce n'est pas le seul à être différent puisque tous les personnages sont dans cet esprit un peu décalé avec la fille totalement dans son monde et les méchants bons à rien qui sont vraiment des bras cassés. Le réalisateur ancre son histoire dans la réalité et ne cherche pas à faire quelque chose de trop "gros" ce qui est une bonne chose. L'histoire est classique (découverte des pouvoirs, utilisation, arrivée des problèmes, l'acte de bravoure, etc.) mais elle se laisse suivre avec plaisir grâce à des personnages attachants et une bonne intrigue à la fois bien rythmée et teintée d'humour. Le film est complet, il y a de la dérision, de la romance, de l'émotion, de l'action, et même des scènes un peu plus gore ce qui donne un ensemble efficace et très divertissant.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 11 novembre 2016
    Le réalisateur a mis 5 ans pour réaliser ce film (mais 1 an et demi seulement pour obtenir les droits du dessin animé japonais éponyme) car le cinéma de genre est réputé difficile en Italie. C’est pourquoi, il a aussi produit le film. Bien lui en a pris car il a été vu par 5 millions de spectateurs en Italie. Il a même raflé 7 prix Donatello (équivalent du César français). C’est l’histoire d’un petit voyou, Enzo, qui à la suite d’une poursuite, tombe dans le Tibre à Rome, plus exactement dans un fût de produits radioactifs coincé sous une barge. De retour chez lui, il s’aperçoit avoir une force herculéenne et une grande capacité de cicatrisation. Il décide d’utiliser ce pouvoir, d’abord, pour des rapines spoiler: (il descelle un distributeur de billets de banque)
    puis, sous l’influence de la fille d’un compagnon de galères (passionnée par le dessin animé japonais, Jeeg Robot et qui le prend pour ce super-héros), pour lutter contre un malfrat qui souhaite terroriser Rome. L’idée de départ est bonne, à savoir, prendre le contre-pied des superhéros américains Marvel en l’humanisant mais, malgré de bons effets spéciaux, le film manque de rythme à cause de la romance entre Enzo et la jeune fille, autiste mais au grand cœur. Pour le réalisateur, c’est la partie la plus importante du film ! C’est le 2e film italien de ce type (super héros) mais il n’arrive pas à la hauteur du « Garçon invisible » (2014) de Gabrielle Salvatores et qui était plus inventif et plus drôle.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 31 octobre 2016
    Vu aux utopiales hier, excellent film ! Bon scénario, acteurs crédibles, surprenant avec un peu d'humour, à voir absolument
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 30 octobre 2016
    Vu ce jour aux Utopiales de Nantes.
    Le personnage principal n'est clairement pas un super héro comme les autres. Il est plus un délinquant qui hérite de pouvoirs. Il les utilise tout d'abord pour combler ses besoins immédiats mais n'y trouve pas son compte. Son amour pour une femme lui fait découvrir une facette de lui-même qu'il ne connaissait pas encore. Il devient enfin un super héro.
    Ce film est plus terre à terre et plus réaliste qu'un Marvel avec en prime un peu humour.
    Une bonne surprise. Merci aux organisateurs de l'avoir programmé.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 355 abonnés 4 167 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 octobre 2016
    Lorsque le cinéma italien a des airs Boolywoodiens, c’est une véritable bouffée d’air frais qu’on se prend dans le visage. Jeed Robot raconte l’histoire d’un homme recherché, on se sait pourquoi, par la police. Pour se cacher, Enzo va plonger dans les eaux crasseuses d’un port. Il tombe alors dans un tonneau radioactif et réalisera bientôt qu’il est doté d’une force surhumaine et de capacités régénératives. En face de lui, un méchant égocentrique cherche à créer le buzz en provoquant un acte malveillant. Jeeg Robot raconte le combat entre les deux hommes mais aussi la rencontre avec une jeune femme restée gamine dans sa tête pour qui Enzo va tomber amoureux. Jeeg Robot est un film de super anti-héros à prendre au second degré. L’humour plane perpétuellement sur le film d’action. C’est alors qu’on se pose parfois la crédibilité des personnages secondaires. L’exagération est-elle voulue ou leur jeu est-il vraiment mauvais. Car Gabriele Mainetti nous étonne à chaque moment. Ses plans sont maîtrisés et la mise en scène est captivante, mais surtout, la cinéaste trouve toujours le moyen de conclure ses séquences par des situations comiques. Ainsi, notre personnage principal au physique abrupte et ses fesses molles, braque des distributeurs de billets pour se payer des Danettes et des DVD pornos. Jeeg Robot est un film qui réinvente le genre super-héros en se jouant de lui en mettant en scène un outsider pour notre plus grand plaisir.
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