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    On l’appelle Jeeg Robot
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    CaMéo Gironde
    CaMéo Gironde

    4 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 14 mars 2018
    Jeeg Robot, pour les non-initiés au manga japonais, est le personnage principal de la série animée “Steel Jeeg�, très appréciée au Pays du Soleil levant. Et si notre héros italien se fait appeler ainsi, ce n’est pas lui qui en a décidé, mais Alessia, une jeune femme un peu chamboulée qui viendra par sa tendresse changer le destin de Enzo, un mec bien… mais un peu à la ramasse.

    Après quelques actions aux yeux de tous (mais surtout ceux de Youtube), la notoriété de ce “super-criminel� devient problématique. Il attire vite l’attention des autres “super-méchants� de Rome, tout particulièrement celle de Fabio – “Le Gitan� – un psychopathe en mal de reconnaissance qui essaie d’entrer dans les petits papiers de la Camorra, mafia italienne de renom. Mais la rencontre entre Enzo et Fabio ne se déroule pas aussi bien que ce dernier l’espérait.

    Si On l’appelle Jeeg Robot ne cherche pas, vous l’aurez compris, à chambouler la trame classique du film de super-héros, c’est précisément dans ce cadre-là qu’il parvient à nous surprendre. Jouant de certaines figures imposées et emboîtant subtilement son récit dans une réalité politique faisant jour de problématiques actuelles (ou en tous cas contemporaines), il nous autorise à y lire des messages forts : l’attente mystique d’un sauveur, le pouvoir des nouveaux médias, la propagation des infos néfastes versus la censure des bienfaits… et bien évidemment la rédemption du sauveur (car comme le dit Oncle Ben dans Spider-Man « un grand pouvoir implique de grandes responsabilités »).

    Premier film de super-héros italien, On l’appelle Jeeg Robot a tous les ingrédients d’un bon blockbuster américain – des Batman version Burton ou Nolan, aux Spider-Man de Sam Raimi, et autres Deadpool – à cela près qu’il n’en est pas un ! Sa touche en plus, c’est bien entendu le charme et la désinvolture d’une écriture très italienne, héritée des plus belles prouesses de cinéastes de premier plan comme Daniele Luchetti (Mon frère est fils unique) ou Michele Placido (Romanzo Criminale), et de l’âge d’or de la comédie populaire. A la fois film fantastique, polar mafieux et thriller haletant, on n’avait pas ressenti un tel vent de fraîcheur depuis The Dark Knight.

    Au delà d’être un film d’action qui fonctionne parfaitement sur les codes d’un genre déjà bien rôdé, la folie du Gitan, l’humour de Jeeg, la touchante bizarrerie d’Alessia et la virtuosité d’écriture créent l’originalité et font de On l’appelle Jeeg Robot la prouesse super-héroïque qu’il nous manquait en Europe.
    Audrey L
    Audrey L

    632 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mars 2018
    Un film cru, qui n'hésite pas à enchaîner les scènes de violences bestiales, avec des acteurs en grande forme, mais l'histoire de vengeance et des gangs est peu intéressante si vous n'êtes pas fans de ce genre de film. Le film entame alors son rythme de croisière qui est très lent après un début explosif, et seule la fin viendra nous relancer dans l'action pure. Malheureusement pour le (anti-)héros, on le trouve bien fade au point que le méchant sadique (qui explose la tête de ses partenaires à coups de téléphone mobile... grande séquence !) est plus sympathique à regarder. Film italien modeste oblige, pas beaucoup d'effets spéciaux ni de fonds verts, tant mieux (cela nous fait des vacances par rapport aux blockbusters qui n'usent que de cela maintenant....). Si vous avez regardé la bande-annonce auparavant, vous n'aurez pas de surprise car tout y est dévoilé, aussi je vous conseille de l'éviter pour garder tout le panache de ce petit film de super-anti-héros. Pas aussi attachant que je l'espérais vu les retours dithyrambiques qui avaient suivis sa sortie au cinéma, mais certainement un très bon film pour ceux qui aiment l'action pure et les séquences de défoulement sadique d'un méchant très charismatique.
    Robrex
    Robrex

    24 abonnés 940 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 mai 2018
    Un film plutôt bon. D'habitude je m'y connais pas trop en film Italien, je connais pas trop la culture cinématographique Italienne, mais là, je reconnais que "On l'Appelle Jeeg Robot" est un bon film, mais pour moi, je dirais pas que c'est un film de super-héros, mais plutôt pas loin d'un film anti-super-héros, même c'est pas du même niveau que "Deadpool" par exemple. Vraiment, ce film m'a limite bluffé, je m'attendais vraiment à tomber sur un archétype de film de super-héros, et au final, pas du tout. C'est un film avec un scénario assez simpliste, mais avec des rebondissements imprévisibles et des scènes d'action vraiment fortes. A noter que j'ai vu le film en VO, ce qui m'a permis un peu d'apprendre l'Italien (on va dire), alors je sais pas ce que vaut la VF, si elle est mieux ou pas. En tout cas, je me suis laissé embarqué par ce film. Les acteurs jouent bien, notamment Claudio Santamarria qui interprète à fond son rôle. Llena Pastorelli qui surjoue un peu mais qui est pas trop mauvaise non plus, mais pour moi, la palme d'or revient à Luca Marinelli qui est excellent et qui vers la fin joue un méchant charismatique et délirant. Y'a des scènes violentes et vulgaires par-ci par-là, des moments drôles et dramatiques bien gérés et, comme je disais, des scènes de combat dantesques. Mais après, ça reste un film prenant et divertissant, mais pas non plus très marquant. Donc, si vous voulez jeter un coup d’œil à ce film, allez-y, c'est plutôt bon, mais pas un grand film non plus. En tout cas, bravissimo au réalisateur !!
    Estonius
    Estonius

    3 322 abonnés 5 452 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 février 2018
    Un doigt de super-héros, de la violence tarantinesque, des mafieux, une nana bipolaire complètement à l'ouest (mais charmante), un méchant complètement allumé (très important le méchant, Hitchcock disait que pour qu'un film soit réussi, le méchant devait être réussi) qui en plus est un youtubeur compulsif, mélangez et ça peut donner n'importe quoi ! Sauf qu'ici c'est très bon, le scénario est un peu tordu mais ce n'est pas très grave, les amateurs de super-héros purs et durs vont détester, ben oui, ici on est dans un autre monde, on est dans les faubourgs de Rome, pas sur Xandar ! Les acteurs sont tous au top aussi bien Claudio Santamaria, le gentil, Luca Marinelli, l'affreux que la belle Ilenia Pastorelli, la foldingue, et remarquablement dirigés. On est scotché et la longue scène finale avec son final granguignolesque vaut son pesant de cacahuètes (malgré qu'elle soit trop longue). Et dire que c'est son premier long métrage à Mainetti, il promet, le mec !
    RedArrow
    RedArrow

    1 662 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 janvier 2018
    On l'appellera aussi et surtout un très bon film !

    Imaginez une surprise italienne qui, plutôt que de renier ce style très européen où se mêle un univers violent rempli de personnages déjantés à un certain ancrage dans la réalité, le ferait fondre dans l'ossature archétypale d'un film de super-héros et secouerait le tout dans un shaker avec quelques litres de Danette à la vanille en guise d'accompagnement !
    Voilà, vous avez une vague idée de ce à quoi ressemble "On l'appelle Jeeg Robot" et c'est bien cette force d'utiliser les codes super-héroïques dans un contexte ne leur correspondant absolument pas qui fait tout le sel du film de Gabriele Mainetti.

    Les origines des pouvoirs, la découverte qui en découle, le choix éternel de les utiliser pour le bien ou le mal, un événement dramatique pour trouver la bonne voie, l'inévitable affrontement final contre un super-vilain,... Tous ces passages obligés du film de super-héros se retrouvent dans "On l'appelle Jeeg Robot" mais sont ici placés au sein du monde cruel et semi-réaliste des petites frappes du banditisme italien qui leur donne une toute autre perspective que l'angle habituel des blockbusters habituels US par exemple.
    Voir Enzo, un voyou sans envergure et à la limite de la misanthropie totale être amené à embrasser un destin de super-héros n'est la chose la plus habituelle des standards du genre, d'autant plus que, pour renforcer son côté hybride, le film lui colle deux obsessions plus qu'étranges : les films X et la Danette (oui !). Ce sera d'ailleurs une des mimiques les plus astucieuses du long-métrage : mixer constamment une déviance adulte à un détail plus puéril et pousser le côté incongru du résultat jusqu'à un certain paroxysme pour créer des ressorts aussi bien cartoonesques que dramatiques. Cela se révélera bien évidemment très amusant avec le grand méchant du film "Le Gitan", un petit gangster déjanté qui se rêve parrain (car obsédé par la célébrité du fait d'un passé de star de la télé-réalité) et fan un peu trop jusqu'au-boutiste de variété italienne, ou ses compères affublés de surnoms ridicules mais cela ajoutera aussi une réelle profondeur avec Alyssa, la voisine d'Enzo, réfugiée dans un comportement infantile (c'est elle la fan du dessin animé japonais "Jeeg Robot") pour échapper à un passé terriblement douloureux, elle deviendra peu à peu la clé de voûte du destin de ce curieux super-héros en devenir et leur relation à la fois tendre et conflictuelle sera une lueur d'humanité véritablement émouvante qui traversera l'ensemble du film.

    À l'heure où Marvel et DC règnent en maître sur le genre super-héroïque en faisant disparaître le nombre de propositions US plus atypiques ("Super", "Defendor" ou même "Kick-Ass"), "On l'appelle Jeeg Robot" fait figure d'exception, un OFNI venu d'Italie qui fait un bien fou en redéfinissant le mythe du super-héros dans une réalité où le héros humain, lui, n'a pas grand chose de super. Évidemment, à l'image de son méchant supra-caricatural, le trait est grossi à l'extrême dans la violence et l'humour noir pour ne pas oublier de livrer un excellent divertissement au passage mais l'intelligence dont fait preuve "On s'appelle Jeeg Robot" pour remanier des codes dont on croit tout connaître dans un monde quand même pas si loin du nôtre lui octroie indiscutablement le caractère de petite pépite du genre.
    bsalvert
    bsalvert

    405 abonnés 3 576 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 décembre 2017
    Film particulier d'un héro qui n'a pas que de bonnes intentions (capable d'assouvir ses pulsions au détriment de l'autre). Un bilan mitigé.
    PLV : un voyage ailleurs
    landofshit0
    landofshit0

    274 abonnés 1 745 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 décembre 2017
    Quand on a pas d'idées qu'est ce que l'on fait? On recycle,c'est ce que fait le réalisateur de Jegg robot tout en voulant faire croire que le film a une approche différente du genre superhéros. Pour cela il fait se mélanger les genres,enfin non en fait il ne mélange rien,car j'allais presque dire qu'il mélange la romance et le film de gangsters,mais non tout ça est déjà dans les films Marvel et DC. Et pour ce qui est du parcours du personnage il est fort classique,il ressemble en tout point de vue à ceux des héros marvel. Puisque l'on retrouve ici un loser qui lors d'une course poursuite va tomber sur un bidon radioactif ce qui va lui donner des supers pouvoirs. Ce petit bonhomme dont tout le monde se fout va changer sa vie,il va y avoir de la romance et de la justice. Bon il n'y a rien de bien neuf derrière tout ça,alors oui ça se passe en Italie avec la mafia,mais sinon quelle est la différence avec les autres films qui ont un sujet identique? Aucune. Le super héro ne balance même pas des pizzas à la tronche de ses adversaires,non il se bastonne en donnant de vulgaire coups de poings avec sa super force,mais quelle banalité tout de même.Balancé des pizzas aurait eu plus de gueule tout de même.

    Ce fameux Jegg Robot regarde du porno à longueur de journée,mais ça n'est pas suffisant pour en faire un personnage décalé,d’ailleurs c'est plutôt dans les poncifs du genre. Si tu veux faire un personnage décalé,il faut le faire seul,crados,qui picole,qui consomme du porno etc... bon l'angle d'attaque est carrément usé et le réalisateur ne fait absolument rien pour renouveler tout ça,non il le fait de façon convenu,bien trop convenu même. Il ne joue avec aucun code du genre mais il ne fait qu'appliquer la formule liée au genre,dommage.Et deux heures c'est long,surtout le démarrage. Car si on voit bien que le personnage se retrouver modifié il met un sacré moment avant de s'en rendre compte et puis même deux heures c'est bien trop pour ce que le film raconte.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 13 décembre 2017
    Un vrai régal, une baffe pour spectateur averti, le film a un parti pris clairement violent et choquant. Super histoire, jeu d'acteurs incroyable - Luca Marinelli notamment - des scènes d'anthologie - spoiler: le gitan qui massacre le clan de Nunzia en se filmant pour youtube par exemple -
    et Rome comme vous ne l'avez jamais vue (et espérez ne jamais la voir).
    Moi qui suis d'origine italienne, j'avais peur d'un film mal doublé aux relents de pizza et de musique kitsch à la toto cutugno surtout que l'affiche m'a laissé perplexe mais je vois que nos amis transalpins ont su merveilleusement évoluer !!!
    Bravissimo !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 8 décembre 2017
    On est un peu passé à côté de ce film très original qui n'exploite pas les codes habituels des films de super héros en proposant un héro qui n'en est pas un justement. Une étonnant et réussi mélange de violence grandiloquente, de poésie (ah, la scène de la grande roue), de drôlerie borderline et d'émotion. Il y a ici quelque chose de profondément européen dans la façon de laisser la place aux acteurs (ce que les américains et leur blockbusters ne savent pas faire... et toc !!) Les acteurs sont parfait, et on se laisse prendre par ce cinéma original et décalé. Une jolie réussite.
    Mind H.
    Mind H.

    2 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 décembre 2017
    Excellent jeu d'acteur, film magnifique sur le plan émotionnel au début on pourrait croire a un film de super héros mais c'est beaucoup plus que ça. enfin jusqu'au 75% du film, la fin aurait du être plutôt dans le film, la fin est vraiment mauvaise. J'enlève 1 point pour ca.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    312 abonnés 2 965 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 4 décembre 2017
    d'abord, un scénario rocambolesque, des personnages déjantés, pas mal de second degré. puis l'histoire prend du sens, de l'épaisseur même et devient un hommage évident aux super-héros tels superman. il faut se laisser une chance de découvrir ce film plutôt original, un peu dans la lignée de colossal (2016). et puis il y a la belle carte postale de rome!
    Acidus
    Acidus

    717 abonnés 3 708 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2017
    A rebours des films de super-héros américains (et maintenant russes) ultra-formatés, "On l'appelle Jeeg Robot" fait figure de bouffée d'air frais. Pourquoi? Tout simplement parce que son réalisateur et ses scénaristes, qu'ils n'essayent pas de faire une oeuvre consensuelle. Ce long métrage italien ne s'embarrase pas (ou très peu) des conventions inhérents aux films de super-héros Marvel et DC mais joue au contraire la carte de l'audace. Il joue avec les codes tout en les cassant et les déformant pour en faire une oeuvre iconoclaste. Il n'a pas peur de nous montrer du sang (voire un sein) et d'être un brin amoral et c'est bien ce piment qui manque aux blockbusters hollywoodiens aujourd'hui. Il ya bien quelques lieux communs et des passages plus prévisibles (notamment sur la fin) mais "On l'appelle Jeeg Robot" fait du bien et montre qu'on peut encore faire original en parlant de personnages avec des super-pouvoirs.
    raphaelK
    raphaelK

    16 abonnés 401 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 novembre 2017
    JEEG ROBOT redistribue les règles du film de super-héros. Il brouille les cartes, apporte un sang neuf, injecte une réalité sociale oubliée, distille une ambiance inédite. Et maintient un humour noir sans jouer sur la pathos ou la misère. Bref, un film essentiel, ne ressemblant au final pas vraiment à d’autres sur le marché. Et un superbe final, parfaite d’image de digestion d’oeuvres populaires, redistribuant, digérant ses influences pour apporter au spectateur une vision inédite. Où le constat montre que le budget n’est pas un obstacle (il est ici assez bas), mais que seuls les idées, l’écriture,le talent créent les opportunités et livrent la perle que personne n’attendait. Gabriele Mainetti a apporté à ce projet toute la folie, la violence et la passion nécessaires pour lui donner une ampleur inédite. Cru, charnel, brutal, poétique, déviant, LO CHIAMAVANO JEEG ROBOT appelle l’exaltation de la nouveauté, comme son final du haut du Colisée, archétype de l’ancien temps - que surplombe l’avenir. Le cinéma italien vient de prendre un sacré coup de neuf.
    Philippe R.
    Philippe R.

    3 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 octobre 2017
    Quantin Tarantino peut être assez fier de cette version italienne, un triller mène tambour battant du début à la fin ! bien joué entre autre par des comédiens peu ou pas connu en France ou aux États-Unis, parenthèse pour la tête sur le pont !
    a voir.
    pfloyd1
    pfloyd1

    128 abonnés 2 106 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 octobre 2017
    Belle surprise dans ce mélange des genres ! C'est bien la première fois que je découvre un film de mafieux et de Fantastique/science fiction et ça tient la route, on frôle même le Marvel ! L'histoire se veut "sérieuse", noire, délinquance, règlements de compte entre mafieux, on est pas là pour voir les 4 Fantastiques, sauf que le personnage principal; looser, mauvais se découvre des pouvoirs extraordinaires après avoir "gouté " aux produits radioactifs.
    Rien n'est drôle, on reste dans la série noire mais le film prend une tout autre tournure. Le caïd de la bande des vilains, quant à lui fait penser à un super méchant de chez Marvel, tout en restant cruel. Un bon mélange des genres réussi, à voir !
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