Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
CNews
par La Rédaction
Film de super-héros à mille lieues du genre hollywoodien, "On l’appelle Jeeg Robot" mêle avec ingéniosité la romance, le film de mafia et le drame social. La mise en scène est maîtrisée de bout en bout, et les personnages échappent au manichéisme.
CinemaTeaser
par Frédéric Ambroisine
Flamboyante déclaration d'amour au cinéma de genre, "On l'appelle Jeeg Robot" est bien plus qu'un énième film de super-héros.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Critikat.com
par Nicola Brarda
Si "On l'appelle Jeeg Robot" montre d'indéniables limites dramaturgiques, on garde surtout en tête l'originalité de l'univers qu'il parvient à construire et le plaisir parodique qui en résulte. C'est de ce regard d'adulte porté sur l'enfance que surgit sa dimension touchante (un peu), mais surtout jubilatoire et régressive (beaucoup).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Pierre Guiho
En inventant un personnage nouveau à la fois contemporain et mythique, Gabriele Mainetti dépoussière le genre et lui ouvre de nouveaux horizons.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Filmsactu
par La Rédaction
Une origine story destroy à l'humour noir et à la violence explosive qui n'a rien à envier aux productions américaines. Bien au contraire.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une variation originale sur le thème du super-héros, vu ici à l’italienne, où l’humour parodique, la violence gore et la satire sociale se conjuguent pour créer un nouveau genre : le manga spaghetti.
Le Parisien
par Michel Valentin
Ne vous arrêtez pas au titre fort peu vendeur. Plus que de Jeeg Robot, il est ici question d'un être humain avec ses faiblesses et sa soudaine force qui le pousse vers la rédemption.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
Un détonnant mélange d'humour, d'action et de drame auquel il est impossible de résister.
Ouest France
par Laurent Beauvallet
Il y a de vrais moments forts, sanguinolents ou touchants.
Rolling Stone
par Jessica Saval
Conte violent au réalisme hilarant, "On l'appelle Jeeg Robot" est une véritable bouffée d'air frais dans le petit monde des super-héros.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Sur un tel canevas, où la bassesse côtoie la violence, et le désespoir l'exploitation, le premier long-métrage de Gabriele Mainetti part donc de bien bas, et il faut beaucoup d'enthousiasme et d'imagination au réalisateur pour faire s'envoler, un temps, une intrigue qui nous plonge dans les bas-fonds les plus glauques qu'on ait pu voir (...).
L'Express
par Eric Libiot
Deux heures, d'accord, c'est un chouïa long - dix minutes en moins n'auraient pas nui. Mais il y a chez Mainetti une affection pour le film de genre qui fait plaisir à voir. Loin des yes men des studios ou des auteurs chichiteux, il sait que la mythologie infusée par son scénario raconte le monde d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Nicolas Schaller
Un joyeux antidote aux productions Marvel aseptisées qui aurait gagné à plus de concision.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Malgré quelques longueurs, cette fable foutraque possède un certain charme.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le réalisateur Gabriele Mainetti transpose avec fantaisie l’univers des super-héros en bord de Tibre.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Phénomène en Italie, “On l’appelle Jeeg Robot” passe le film de super-héros à la moulinette du réalisme italien. Malgré des séquences amusantes, on regrette un manque de rythme et des personnages qui versent dans la caricature.
Première
par Sylvestre Picard
Vous avez reconnu sans trop faire d’efforts le pitch le plus bateau et le plus usé de toute l’histoire des pitchs de films de superhéros : sauf qu’ici le fleuve s’appelle le Tibre et que la bagarre se déroule dans une banlieue prolo de Rome. Ce simple décalage spatial rend le film très excitant.
Télérama
par Frédéric Strauss
Si tout n'est pas tenu de bout en bout, ce cocktail délirant a beaucoup de charme.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
Armé de ses propres moyens d'expression, Gabriele Mainetti dégoupille un film de super-héros divertissant, drôle par moments, et bien réalisé, qui pèche seulement par un léger manque d’originalité en terme de structure.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
En plongeant dans les eaux du Tibre, un criminel entre en contact avec une substance radioactive qui lui confère des pouvoirs surnaturels. Beaucoup de bestialité et bien peu de poésie.
Le Figaro
par La Rédaction
Une version transalpine de Deadpool, les blagues en moins. Si même les Italiens se mettent à faire des films de super-héros, où va le monde?
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
CNews
Film de super-héros à mille lieues du genre hollywoodien, "On l’appelle Jeeg Robot" mêle avec ingéniosité la romance, le film de mafia et le drame social. La mise en scène est maîtrisée de bout en bout, et les personnages échappent au manichéisme.
CinemaTeaser
Flamboyante déclaration d'amour au cinéma de genre, "On l'appelle Jeeg Robot" est bien plus qu'un énième film de super-héros.
Critikat.com
Si "On l'appelle Jeeg Robot" montre d'indéniables limites dramaturgiques, on garde surtout en tête l'originalité de l'univers qu'il parvient à construire et le plaisir parodique qui en résulte. C'est de ce regard d'adulte porté sur l'enfance que surgit sa dimension touchante (un peu), mais surtout jubilatoire et régressive (beaucoup).
Culturopoing.com
En inventant un personnage nouveau à la fois contemporain et mythique, Gabriele Mainetti dépoussière le genre et lui ouvre de nouveaux horizons.
Filmsactu
Une origine story destroy à l'humour noir et à la violence explosive qui n'a rien à envier aux productions américaines. Bien au contraire.
Le Dauphiné Libéré
Une variation originale sur le thème du super-héros, vu ici à l’italienne, où l’humour parodique, la violence gore et la satire sociale se conjuguent pour créer un nouveau genre : le manga spaghetti.
Le Parisien
Ne vous arrêtez pas au titre fort peu vendeur. Plus que de Jeeg Robot, il est ici question d'un être humain avec ses faiblesses et sa soudaine force qui le pousse vers la rédemption.
Mad Movies
Un détonnant mélange d'humour, d'action et de drame auquel il est impossible de résister.
Ouest France
Il y a de vrais moments forts, sanguinolents ou touchants.
Rolling Stone
Conte violent au réalisme hilarant, "On l'appelle Jeeg Robot" est une véritable bouffée d'air frais dans le petit monde des super-héros.
L'Ecran Fantastique
Sur un tel canevas, où la bassesse côtoie la violence, et le désespoir l'exploitation, le premier long-métrage de Gabriele Mainetti part donc de bien bas, et il faut beaucoup d'enthousiasme et d'imagination au réalisateur pour faire s'envoler, un temps, une intrigue qui nous plonge dans les bas-fonds les plus glauques qu'on ait pu voir (...).
L'Express
Deux heures, d'accord, c'est un chouïa long - dix minutes en moins n'auraient pas nui. Mais il y a chez Mainetti une affection pour le film de genre qui fait plaisir à voir. Loin des yes men des studios ou des auteurs chichiteux, il sait que la mythologie infusée par son scénario raconte le monde d'aujourd'hui.
L'Obs
Un joyeux antidote aux productions Marvel aseptisées qui aurait gagné à plus de concision.
Le Journal du Dimanche
Malgré quelques longueurs, cette fable foutraque possède un certain charme.
Le Monde
Le réalisateur Gabriele Mainetti transpose avec fantaisie l’univers des super-héros en bord de Tibre.
Les Fiches du Cinéma
Phénomène en Italie, “On l’appelle Jeeg Robot” passe le film de super-héros à la moulinette du réalisme italien. Malgré des séquences amusantes, on regrette un manque de rythme et des personnages qui versent dans la caricature.
Première
Vous avez reconnu sans trop faire d’efforts le pitch le plus bateau et le plus usé de toute l’histoire des pitchs de films de superhéros : sauf qu’ici le fleuve s’appelle le Tibre et que la bagarre se déroule dans une banlieue prolo de Rome. Ce simple décalage spatial rend le film très excitant.
Télérama
Si tout n'est pas tenu de bout en bout, ce cocktail délirant a beaucoup de charme.
aVoir-aLire.com
Armé de ses propres moyens d'expression, Gabriele Mainetti dégoupille un film de super-héros divertissant, drôle par moments, et bien réalisé, qui pèche seulement par un léger manque d’originalité en terme de structure.
La Voix du Nord
En plongeant dans les eaux du Tibre, un criminel entre en contact avec une substance radioactive qui lui confère des pouvoirs surnaturels. Beaucoup de bestialité et bien peu de poésie.
Le Figaro
Une version transalpine de Deadpool, les blagues en moins. Si même les Italiens se mettent à faire des films de super-héros, où va le monde?