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I'm A Rocket Man
296 abonnés
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2,5
Publiée le 9 avril 2023
Nettement moins bon que les deux premiers volets... déjà c'est un peu long à se mettre en place, le comte Dracula a un peu changé d'attitude et son côté plus comique exaspère un peu pis finalement Ericka entre dans la danse et on se demande si elle va succomber au charme du vampire ou se tenir à son plan de vengeance et c'est pas pire mais la fin... comment dire... est tellement kitsch avec la battle de DJ qu'on a du mal à croire qu'on assiste à une telle scène à la fin d'Hotel Transylvanie m'enfin... c'est potable et ca se laisse regarder mais ils ont moins été inspirés sur ce coup là
Un 3ème opus qui montre que la saga commence à s'essouffler, une bonne idée de base mais des bidouillages de scénario rendent ce film, certes parfois drôle mais un peu derengeant !
Hôtel Transylvanie, les films se suivent et se ressemblent, et ce n’est pas forcément un mal ! On retrouve la fine équipe de monstres pas vraiment monstrueux, même plutôt assez attachants, surtout Dennis et son chien. Loin d’être le top de L’animation actuellement, il se défend surtout avec son énergie et sa bonne humeur. C’est plein de couleur et de fantaisie, c’est très rythmé, pas le temps de vraiment s’ennuyer. Le scénario ne réserve pas vraiment de grosse surprise mais est suffisant (c’est quand même un film pour les plus jeunes, pas besoin de scénario rubik’s cube). Le petit plus, c’est que le film apprend aux enfants à différencier la bonne de la mauvaise musique, c’est une bonne initiative ! Au final, ça ne vaut pas un bon Pixar, mais ça se laisse tranquillement regarder !
Comme les deux précédents opus, le graphisme est sublime et nos monstres préférés s'animent avec toujours plus de détails, d'émotions et de réalisme. Mais c'est surtout l'humour qui différencie cette saga des autres dessins-animés. Les vannes fusent, les situations cocasses se multiplient et le scénario endiablé réserve de nombreuses surprises ! On embarque à bord de cette croisière où seuls les monstres sont les bienvenus.
Après un marathon des deux premiers films que je ne connaissais pas du tout quelques jours avant, je suis allé voir le troisième au cinéma. L’univers va en s’améliorant, si le premier volet connaissait une structure globale bancale et était d’avantage destiné aux petits qu’aux petits-et-grands, le deuxième consolidait la base et perdait son bouquet d’humour enfantin pour gagner en identité et se choisir un objectif; Ce troisième film, plus simple et moins dispersé dans des éléments superflus, possède une structure générale plus solide, une direction stricte plus professionnelle, gagne en efficacité et développe l’humour sur des terrains pour un public plus large. Les personnages gagnent en identité, les différents lieux beaux et très appréciables, et la mécanique globale de l’univers de la saga est abouti pour un résultat moins destructeur de neurone et plus fidèle à l’intelligence général des enfants qui le regardent et le comprennent, pour le plus grand plaisir des adultes les plus exigeants. Je partais avec des réticences, je suis sorti de la salle diverti. Drôle, peu de lourdeur, l’excès de la flexibilité des personnages et leur souplesse exagérée offrant une dynamique d’image rare et intéressante, belles lumières, bonnes musiques, une ambiance de vacances, au milieu de monstres forts sympathiques et dont les adultes sont (enfin "presque") adultes, un rythme maintenu tout le long, beaucoup de vannes à tiroir depuis le premier volet mais qui appuient l’identité de l’univers, coté imaginatif, le scénario est simple et l’issu attendu mais les background riche.
Et c’est reparti de plus belle pour les célèbres créatures sortis des studios Sony. Avec Hôtel Transylvanie 3 : Des vacances monstrueuses on apprécie déjà de changer un peu de cadre puisqu’on va participer à des vacances nous menant jusqu’à l’Atlantide. Toute la bande est de la partie mais la star ça reste évidemment l’éternel Dracula qui, après être devenu grand-père, envisage maintenant de refaire sa vie. Dans la lignée des précédents épisodes, l’humour dispensé est là pour plaire au jeune public qui saura s’amuser durant cette croisière. Pas sur en effet que tout le monde soit sensible à l’idée de voir un Kraken géant danser la Macarena ou de voir le Prince des ténèbres amoureux transi perdre ses moyens…
Très bien aussi bien au niveau scénario que visuellement ; c'est très bien fait et jolis graphismes. Mon fils a bien aimé et on a bien ri. Il a adoré la fin. Mieux que les 2 premiers pour ma part. Les monstres sont encore très bien faits. Seul bémol ils auraient peut etre pu choisir autre chose que la macarena à la fin lol. Mais bon. 14/20.
Fidèle à la franchise, ce troisième volet continue dans la veine de ses prédécesseurs, à grands renforts de blagues omniprésentes et de personnages, certes stéréotypés, mais loufoques et attachants. Le scénario n'a ni queue, ni tête mais le comique des situations fait rire les enfants à gorge déployée et le côté coloré et inventif de la réalisation les ébahit à chaque plan. Les adultes riront de temps à autre en même temps que les enfants. A voir en famille sans hésitation!
"Hôtel Transylvanie 3 : Des vacances monstrueuses" est le troisième volet d'une licence que j'ai toujours trouvé surestimé. Si j'ai de la sympathie pour le premier film, il est clair que le second n'avait rien d'intéressant à proposer. L'univers peut clairement offrir de bonnes choses, mais les longs-métrages n'en exploitent finalement pas assez. Et avec ce troisième épisode, nous sommes face à ce même cas, mais de manière encore plus appuyée. Visuellement, le projet reste toujours aussi joli par rapport aux précédents, et certains décors sont vraiment travaillés. Je pense notamment à la partie lors du triangle des bermudes ou encore toute la séquence finale. Mais comme pour le second, toute l'histoire qui entoure ces lieux semble clairement très plate et superficielle. Cette fois-ci, on se concentre beaucoup plus sur Drac qu'autre chose, ce qui peut être intéressant sur le papier, mais ce qui va surtout amener beaucoup de problèmes. D'un côté, cela fait qu'aucun personnage secondaire n'aura d'intérêt. Un personnage aussi important que Jonathan semble complètement fantomatique par exemple. Et dans un second temps, toute la trame autour de Drac et d'Éricka sera juste très prévisible et n'apportera jamais de surprises. On nous dévoile trop vite des éléments qui pouvait juste rester secret concernant Éricka, et on sent donc quel retournement de situation va avoir lieu. Nous n'avons donc aucun plaisir à suivre une histoire qui ne pourra pas nous surprendre de toute façon. Certains gags viendront un peu sauver l'intérêt et réussiront à être assez drôles pour nous tenir éveillé, mais c'est bien trop peu à mon goût. Encore une fois, cette licence a montré qu'elle était incapable d'être correctement exploitée par ces producteurs, car ceux-ci ne cherchent qu'à proposer le film d'animation le plus basique et accessible possible. Par conséquent, ce troisième volet vient juste nous prouver que la saga continue de chuter. Pour conclure, un nouvel échec.
Quel plaisir de retrouver les personnages " hôtel transylvanie " dans ce troisième opus .En effet même si ce volet ronronne, j'ai pris encore du plaisir à suivre les aventures loufoques, extravagantes de ces " monstres " dans un film qui fait du bien.
Une animation qui fera plaisir aux enfants et les parents ne seront pas contre se mettre au frais... Un esthétisme soigné, des couleurs vives qui attirent le regard, une intrigue qui se suit facilement et des personnages qu'on adore retrouver, clairement Hotel Transylvanie 3 prolonge les qualités de ses prédécesseurs. Quelques références pour les cinéphiles et amoureux des livres : ne serait-ce que les Gremlins qui sont à l'origine des créatures inventées par Roald Dahl pour expliquer les crashes d'avions qui retrouvent ici leur fonction de pilotes catastrophiques d'avions ! En revanche, le troisième volet est loin d'égaler le premier, les adultes le remarqueront : manque ponctuel de rythme (des enfants qui jouent dans les allées car ils s'ennuient pendant les dialogues sur les relations de couples de Dracula, par lesquels ils se sentent, à juste titre, peu concernés), gags qui ont baissé d'un cran (blagues sur les "prouts" et autres séquences en charabia qui s'éternisent) et fin d'une niaiserie sans bornes... Pour ma part, une déception que cette fin surchargée en musiques sans que cela ne soit vraiment nécessaire, danses collectives dans la joie et la bonne humeur et surtout spoiler: pas de mort (ou même punition) pour le méchant... Une fin digne d'un Disney culcul. Dommage, car certains adultes (sans enfants) sont partis du film lors de cette fin. Il n'en reste pas moins que le couple de loups-garous (et leur infernale marmaille toujours plus nombreuse !) m'aura faite rire. Alors, si vous avez des enfants à occuper ou simplement si vous voulez une pause fraicheur sous la climatisation, le film reste agréable et drôle pour les petits, mais n'atteint pas le second degré jouissif des précédents.
Les deux premiers Hotel Transylvanie avaient une prémisse simple: Faire accepter à Dracula l'évolution de la sphère familiale qui a toujours été au centre de ses priorités. Cette base permettait à Genndy Tartakovsky de contrebalancer la base horrifique de ses monstres pour leur apporter des moments de tendresse très actives. Ce qui a été abouti dans les deux précédents films ne pouvaient mener qu'à une dernière chose possible: qu'il retrouve l'amour et enfin vivre en fonction de ce qu'il souhaite, même si ça aurait été fonctionnel, et malheureusement ça l'est. Si ces Vacances Monstrueuses avaient eu l'idée évidente d'inverser les rôles entre le père et la fille, ça aurait été facile voire copié-collé mais au moins cohérent, ce qui ne sera pas le cas de cette troisième aventure composée excessivement de gags et minoritairement de pauses touchantes. Aucune exploitation sérieuse de la relation entre un vampire et son prédateur, les tensions entre le père et la fille n'ont pas le temps de s'envenimer que le mensonge est déjà éventé, les personnages secondaires n'ont plus aucune utilité sans que l'humour puisse innover avec ce qu'ils avaient autrefois, trop de remplissages, et le climax est ennuyeux en plus de ne pas se conclure de la bonne façon. Ne reste que l'énergie habituelle de Tartakovsky pour dynamiser ses blagues, et c'est tout ce qu'il reste, le cadre estival n'offrant plus aucun contraste avec la positivité des monstres, réduits maintenant à de simples vacanciers. Conçu juste pour caser Dracula, et c'est bien dommage de ne pas avoir réussi à magnifier une base aussi attrayante.