Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Entre thriller et romance, le film joue jusqu'au bout sur l'ambiguïté de Rachel, son héroïne magnifique. Courez-y !
20 Minutes
par Caroline Vié
Rachel Weisz n’a jamais été du genre à se laisser marcher sur les pieds. (...). La sublime quadragénaire le démontre une fois de plus dans My cousin Rachel de Roger Michell (le réalisateur de Coup de foudre à Notting Hill), une fort agréable surprise où elle est étonnante.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Chloé Cavillier
C’est dans sa dimension autobiographique, empreinte de nostalgie, que le film se révèle le plus touchant, faisant du jeu un moyen de revenir à une enfance disparue.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une adaptation très british du roman de Daphné Du Maurier, où tout est conforme à ce qu’on en attend : romanesque, passion, cynisme et côté sournoisement vénéneux.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Une très bonne adaptation du roman de Daphné du Maurier.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Benoît Smith
Un peu à l'image de sa filmographie, Roger Michell semble tiraillé entre un désir sincère de donner corps aux aspérités de son drame humain et ses habitudes de faiseur discipliné.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
Si "My Cousin Rachel" est une jolie adaptation, à l’interprétation impeccable, le film manque singulièrement de relief et peine à traduire l’atmosphère oppressante de l’univers de Du Maurier.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Au lieu de faire réellement monter la sauce du thriller et d’accentuer l’angoisse, le cinéaste semble plus passionné par la reconstitution et les paysages anglais. La résolution reste ambiguë, sans plus. Un petit film de qualité british.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Jamais, le réalisateur ne s’arroge le droit de manipuler son récit, de jeter l’opprobre ou de ceindre de sainteté l’un ou l’autre de ses personnages. Nulle trace de venin dans son dispositif de mise en scène qui s’épanouit dans un classicisme rassurant et une forme de romanesque à la Jane Austen conforme aux clichés du XIXe siècle.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Un film toujours élégant.
Le Monde
par Thomas Sotinel
La mise en scène de Roger Michell se met (trop ?) simplement au service de l'histoire, sans en exacerber les parfuns empoisonnés.
Les Fiches du Cinéma
par Marguerite Debiesse
Déjà adapté au cinéma en 1952, “My Cousin Rachel” est l’un des romans les plus perfidement complexes de Daphné du Maurier. Malgré sa réalisation soignée, cette nouvelle mouture ne rend pas la justice qu’elles méritent aux ambivalences du texte initial.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Rachel Weisz reprend le rôle créé par Olivia de Havilland et l'interprète tout en intensité et subtilité. Elle aurait cependant mérité partenaire plus inspiré que Sam Claflin, qui se révèle incapable de faire naître la moindre ambiguïté.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
L'Express
par A.L.F.
C'est du film à costumes vieillot, périmé, et la pauvre Rachel Weitz, malgré tout son talent, y mord la poussière.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un jeune héritier tombe amoureux de la veuve de son cousin qu'il soupçonne d'être sa meurtrière. Lorsqu'ils portent à l'écran Daphné du Maurier, Alfred Hitchcock ou Nicolas Roeg cristallisent d'emblée la perversité de l'écrivaine britannique. Pas Roger Michell, qui se contente d'une adaptation scrupuleuse et décorative de prof de lettres et d'antiquaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Cette adaptation d’un roman de l’écrivaine britannique manque trop de subtilité et de trouble pour susciter l’adhésion du spectateur.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
C'est le genre de film où les perles d'un collier dévalent un escalier au ralenti après une bagarre. Manque la passion du roman de Daphné du Maurier. Trop policé, le tout laisse un goût de tisane refroidie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Positif
par Adrien Gombeaud
Le film repose avant tout sur la magnifique performance de Rachel Weisz en veuve noire, mi-Italienne, mi-Anglaise, aussi passionnée que calculatrice, avatar des brunes fatales des romans et des tableaux victoriens ; face à elle, Sam Claflin paraît bien fade.
Télérama
par Samuel Douhaire
On aurait aimé autant de mystère et de fièvre dans la réalisation de Roger Michell (Coup de foudre à Notting Hill). Sa reconstitution de l'Angleterre rurale du xixe siècle est, certes, très élégante. Mais bien lisse...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
My Cousin Rachel, avec son intrigue circulant autour d’une veuve à tendance vénéneuse, ne réussit pas vraiment à faire du drame psychologique d’époque autre chose qu’un décor en carton-pâte.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Femme Actuelle
Entre thriller et romance, le film joue jusqu'au bout sur l'ambiguïté de Rachel, son héroïne magnifique. Courez-y !
20 Minutes
Rachel Weisz n’a jamais été du genre à se laisser marcher sur les pieds. (...). La sublime quadragénaire le démontre une fois de plus dans My cousin Rachel de Roger Michell (le réalisateur de Coup de foudre à Notting Hill), une fort agréable surprise où elle est étonnante.
Critikat.com
C’est dans sa dimension autobiographique, empreinte de nostalgie, que le film se révèle le plus touchant, faisant du jeu un moyen de revenir à une enfance disparue.
Le Dauphiné Libéré
Une adaptation très british du roman de Daphné Du Maurier, où tout est conforme à ce qu’on en attend : romanesque, passion, cynisme et côté sournoisement vénéneux.
aVoir-aLire.com
Une très bonne adaptation du roman de Daphné du Maurier.
Critikat.com
Un peu à l'image de sa filmographie, Roger Michell semble tiraillé entre un désir sincère de donner corps aux aspérités de son drame humain et ses habitudes de faiseur discipliné.
Culturopoing.com
Si "My Cousin Rachel" est une jolie adaptation, à l’interprétation impeccable, le film manque singulièrement de relief et peine à traduire l’atmosphère oppressante de l’univers de Du Maurier.
L'Humanité
Au lieu de faire réellement monter la sauce du thriller et d’accentuer l’angoisse, le cinéaste semble plus passionné par la reconstitution et les paysages anglais. La résolution reste ambiguë, sans plus. Un petit film de qualité british.
La Voix du Nord
Jamais, le réalisateur ne s’arroge le droit de manipuler son récit, de jeter l’opprobre ou de ceindre de sainteté l’un ou l’autre de ses personnages. Nulle trace de venin dans son dispositif de mise en scène qui s’épanouit dans un classicisme rassurant et une forme de romanesque à la Jane Austen conforme aux clichés du XIXe siècle.
Le Journal du Dimanche
Un film toujours élégant.
Le Monde
La mise en scène de Roger Michell se met (trop ?) simplement au service de l'histoire, sans en exacerber les parfuns empoisonnés.
Les Fiches du Cinéma
Déjà adapté au cinéma en 1952, “My Cousin Rachel” est l’un des romans les plus perfidement complexes de Daphné du Maurier. Malgré sa réalisation soignée, cette nouvelle mouture ne rend pas la justice qu’elles méritent aux ambivalences du texte initial.
Studio Ciné Live
Rachel Weisz reprend le rôle créé par Olivia de Havilland et l'interprète tout en intensité et subtilité. Elle aurait cependant mérité partenaire plus inspiré que Sam Claflin, qui se révèle incapable de faire naître la moindre ambiguïté.
L'Express
C'est du film à costumes vieillot, périmé, et la pauvre Rachel Weitz, malgré tout son talent, y mord la poussière.
L'Obs
Un jeune héritier tombe amoureux de la veuve de son cousin qu'il soupçonne d'être sa meurtrière. Lorsqu'ils portent à l'écran Daphné du Maurier, Alfred Hitchcock ou Nicolas Roeg cristallisent d'emblée la perversité de l'écrivaine britannique. Pas Roger Michell, qui se contente d'une adaptation scrupuleuse et décorative de prof de lettres et d'antiquaire.
La Croix
Cette adaptation d’un roman de l’écrivaine britannique manque trop de subtilité et de trouble pour susciter l’adhésion du spectateur.
Le Figaro
C'est le genre de film où les perles d'un collier dévalent un escalier au ralenti après une bagarre. Manque la passion du roman de Daphné du Maurier. Trop policé, le tout laisse un goût de tisane refroidie.
Positif
Le film repose avant tout sur la magnifique performance de Rachel Weisz en veuve noire, mi-Italienne, mi-Anglaise, aussi passionnée que calculatrice, avatar des brunes fatales des romans et des tableaux victoriens ; face à elle, Sam Claflin paraît bien fade.
Télérama
On aurait aimé autant de mystère et de fièvre dans la réalisation de Roger Michell (Coup de foudre à Notting Hill). Sa reconstitution de l'Angleterre rurale du xixe siècle est, certes, très élégante. Mais bien lisse...
Les Inrockuptibles
My Cousin Rachel, avec son intrigue circulant autour d’une veuve à tendance vénéneuse, ne réussit pas vraiment à faire du drame psychologique d’époque autre chose qu’un décor en carton-pâte.