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    La Favorite
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    3,8
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    409 critiques spectateurs

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    eliacam
    eliacam

    20 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 février 2019
    Un "beau" film, dans le sens où c'est un film esthétique pour ne pas dire esthétisant. Des cadrages en contre plongée, des super grands angles audacieux, des éclairages aux bougies etc etc ... le chef opérateur mérite un oscar ! l'actrice (Olivia Colman) qui joue la reine également, un rôle difficile, ingrat, multiple qu'elle interprète parfaitement. Le film aurait gagné à être 20 minutes moins long. Mais pourquoi toujours vouloir faire des films au delà des 2h ?
    Audrey L
    Audrey L

    636 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2019
    La Favorite, c'est d'abord un exercice de style de Yorgos Lanthimos (réalisateur d'un précédent The Lobster déjà bien barré) : on a l'impression que la caméra fait ce qu'elle veut, quand elle veut. Travellings jamais cachés mais au contraire exposés fièrement, filtre "œil de poisson" utilisé à l'excès, plans statiques sur des sujets immobiles qui n'en finissent pas et surimpression (la superposition de plusieurs images en une seule)... La liste des prises de risques esthétiques n'en termine jamais, jusqu'à un final des plus étranges (voire incompréhensible ?), La Favorite se regarde principalement pour ce traitement unique de l'image (et du son, cette musique lancinante infernale !). On adore ou on déteste, pour ma part je déteste, mais je reconnais son aspect ingénieux et audacieux. Olivia Colman est parfaite dans le rôle de cette reine Anne "gros bébé taré", Emma Stone en perfide courtisane est également convaincante, et Rachel Weisz forme une dernière pièce de ce trio diabolique qui fonctionne à merveilles. Nicholas Hoult, bien qu'en second rôle de courtisan, se fait remarquer agréablement, et la somptuosité des costumes nous ravit les yeux (il ne serait pas étonnant que le film gagne quelques récompenses pour ses costumes magnifiques). Je n'ai subjectivement rien compris à cette fin "invasion de lapins" (la folie dévastatrice qui augmente ? L'invasion du souvenir des enfants perdus comme indice qu'elle ne sera jamais heureuse ? Chimères qui représentent la fausseté des gens de la Cour qui l'entourent ? ...). En n'étant pas sensible à la forme, mais en lui reconnaissant une audace certaine, tout en contemplant les acteurs très bons et les costumes somptueux, La Favorite reste un drame toujours étonnant.
    bzuk15 .
    bzuk15 .

    5 abonnés 50 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 13 février 2019
    Ce n'est pas un film historique et costumé. Ce n'est pas un feel good movie. Ce n'est pas un film grand public. Le décors sont somptueux et les dialogues crus à souhait, les caractères sordides, les scènes sulfureuses ou cruelles. Envie de suivre les 3 héroïnes et de vomir... Une étoile pour le jeu d'actrices, excellent. Une fresque réussie.
    Gfa Cro
    Gfa Cro

    53 abonnés 573 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2019
    Vu et avis le 20190212

    Je suis assez partagé entre trouver le film prétentieux et intéressant.

    Je trouve certaines tenues superbes, telles que les robes noires et blanches de Sarah lorsque la reine monte dans une calèche avec Abigail à ses côtés ou celle toujours noire et blanche, d Abigail sur la fin. Les deux se répondent probablement aux yeux du réalisateur pour montrer que Sarah reste la référence d Abigail jusqu à la fin du film.

    Je n aime l image finale sur les lapins. Effet esthétique inutile, supposément significatif de rien à mon avis. C est une fin abrupte, prétentieuse et à mes yeux l’aide. Surtout, inepte.

    J apprécie l intrigue de rivalité irréconciliable entre les deux femmes qui se développe. L attrait répulsion. Ces caractères déterminés.

    Je n apprécie pas cette représentation de la cour. Le tour joué à Abigail par les servantes qui amène à sa rencontre avec Sarah. La façon dont Sarah se comporte au nom de la reine. J ai du mal à trouver cela crédible.

    J apprécie cette représentation de la cour. Par exemple la première nuit passée à la cour par Abigail (les jambes repliées, avec les autres servantes - meme si je crois moins en sa façon de faire sa toilette). Cette façon de dormir m a intéressé et il me semble qu elle est possible et en dit long sur la condition de serviteur. Les décors, la bibliothèque.

    Mais pas les couloirs pris avec l objectif œil de poisson pour voir les deux couloirs à angle droit en même temps. L image revient trop.

    Je trouve donc le film intéressant et bien fait, mais je ne l apprécie pas trop pour autant car je le trouve prétentieux et plutôt difficile à supporter.

    Mention spéciale pour le générique de fin qui est exactement cela illisible mais beau à voir. En particulier la partie gauche avec les fonctions est tout particulièrement insupportable à lire. Je suis convaincu qu il est impossible à lire. Une bonne idée, très très fausse.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 12 février 2019
    La Favorite m'a fait découvrir une souveraine que je ne connaissais pas les décors et les costumes sont somptueux certainement un gros budget, Sarah est dure on peut se réjouir de l'arrivée d'Abigail qu'on pense plus attentive à la solitude de la reine Anne plus douce aussi la soignant délicatement puis son personnage glisse vers une femme arriviste et opportuniste sachant comment s'y prendre pour écarter Sarah. Le film est déstabilisant et la musique "baroque" ne fait qu'en rajouter cette bande son devient assourdissante et çà je n'ai pas aimé
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 février 2019
    De son vaste palais royal, Anne Stuart règne sur l’Angleterre en ce début du XVIIIe siècle. Elle n’a pas une conviction très forte sur la nécessité de poursuivre ou non la guerre avec la France. Mais elle a bien d’autres préoccupations. Et d’abord sa santé, puisque ses crises de goutte en font une monarque claudicante et facilement irascible. Elle veille aussi sur les 17 lapins qui courent autour d’elle et lui rappellent les 17 enfants qu’elle a perdus ! Et puis elle a une sexualité à assouvir avec sa favorite…
    La favorite, c’est Sarah qui fait tourner les affaires du pays et les sens de sa reine. Jusqu’à ce qu’Abigail, la dernière domestique engagée, se transforme rapidement en dame de compagnie, en confidente amoureuse et finalement en rivale. C’est ce trio de femmes qui nous entraine dans un tourbillon de situations bourrées d’humour et de drôlerie. Y compris dans leur férocité et leur crudité jusqu’à la dépravation. Mais au-delà de leurs jeux sexuels, ces favorites sont d’abord des manipulatrices assoiffées de pouvoir et d’ambition.
    Yorgos Lanthimos signe un huis-clos raffiné et décadent sur la noirceur de l’âme humaine. Avec une mise en scène virtuose et un montage nerveux à en attraper le tournis. La photo est somptueuse, avec lumière naturelle et chandelles qui teintent d’ocre parquets en marqueterie, couloirs lambrissés et murs tendus de tapisseries. De longs travelings et l’utilisation du grand angle isolent un peu plus ces personnages grotesques dans l’espace immense. Les trois actrices, Olivia Colman, la brune Rachel Weisz et la blonde Emma Stone sont excellentes.
    titicaca120
    titicaca120

    384 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2019
    Olivia Colman superbement entourée donne la pleine mesure de son talent
    en incarnant la reine Anne malade de la goutte et dont les deux favorites
    vont s'affronter de façon féroce pour éliminer son adversaire.
    les décors costumes sont magnifiques.
    le jeu d'actrices est sidérant et montre le ridicule de certaines situations.
    par contre la musique est vraiment insupportable en grande partie malgré
    quelques classiques mélodieux.
    ce film ne repartira pas bredouille des oscars ça c'est sur.
    John Henry
    John Henry

    105 abonnés 707 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 février 2019
    Il y a peut-être du génie dans le film de Lanthimos, autour de ces 3 personnages, dans une pièce de théatre où tout est axé sur les acteurs et les dialogues, cruels, drôles et modernes. Il y a certainement du génie chez ces 3 acrices hallucinantes. Mais il y a surtout un côté un peu ampoulé, du génie qui se sait génie et se regarde travailler génialement chez le réalisateur grec. Il y a un cinéma maniéré, qui agace et tente parfois de se supplanter au génie de son texte et de ses actrices quand il faudrait juste s'effacer et se mettre au service du talent là où il se trouve. Dommage.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 12 février 2019
    On s'interroge sur ce qu'a voulu dire le réalisateur (que je ne connaissais pas) de ce film qui met en scène des personnages et qui s'appuie sur des faits incontestablement historiques, mais qui est émaillé de scènes d'une vulgarité affligeante ! C'est long et finalement assez ennuyeux. Que penser des relations amoureuses qu'entretient la reine avec ses favorites ? Si elles ont été introduites uniquement pour être au goût du jour, c'est assez lamentable ! D'un point de vue esthétique rien de bien remarquable; qu'apportent ces scènes photographiées en grand-angle ? A noter aussi un générique présenté de façon certes originale mais illisible ! Il reste tout de même l'interprétation superbe des trois comédiennes mais ce ne sera pas suffisant pour que je me souvienne longtemps de ce film. Et je me demande comment il peut avoir tant de nominations pour les oscars.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 avril 2019
    Nouveau film couronné de toutes parts de Yórgos Lánthimos, très attendu par la critique, La favorite est une comédie dramatique surprenante qui remplit depuis sa sortie les salles de cinéma. L’histoire se déroule dans le palace de la reine d’Angleterre Anne. Emma Stone arrive en calèche et pleine de boue en tant que servante et cousine de Lady Sarah. La reine est fragile et des querelles adviennent entre ambition, pouvoir, sexe et aristocratie. Les enjeux politiques séparent les trois femmes qui finissent par se faire la guerre. Le film est une belle reconstitution des costumes et des décors d’antan, le scénario est recherché, l’image est parfaitement nette ; néanmoins j’ai toujours du mal à évaluer la légitimité, pour un film à Oscars, d’être autant acclamé partout.
    antony Z.
    antony Z.

    71 abonnés 1 056 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 février 2019
    note à relativiser.. En terme purement technique et cinématographique, 4,5/5. Sinon, pour ma part, film très ennuyeux et dénué d'intérêt - je ne suis pas objectif n'étant que très peu attiré par les films de cette époque - Sur la psychologie des personnages et la forme de thriller lui étant liée, c'est intéressant même si je n'ai personnellement pas été captivé par le récit et cette mise en scène austère et ennuyeuse bien que parfaitement adaptée à celui-ci
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    151 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 février 2019
    Un biopic en costume réalisé par Yórgos Lánthimo, il y a de quoi être piqué par la curiosité tout en pouvant douter du résultat. Qu’à cela ne tienne, telle une mouche qui pare un faciès poudré, « La Favorite » est un film plus abordable mais tout aussi cinglant que ses précédentes réalisations. Si l’académisme historique et les dialogues guindés vous repoussent, n’ayez crainte, cette proposition est en totale opposition avec les poncifs du genre !
    La sublime photo de Robbie Ryan, aux rotations de caméra très travaillées, renforce la sensation d’isolement dans les grandes salles du palais royal et donnent une majestueuse impression de tournis. Filmé en lumière naturelle, la grisaille Anglaise est un écrin brumeux qui sied aux complots et accentue la crasse ambiante. La musique toujours au diapason, elle aussi moderne dans son approche minimaliste, accentue le sentiment d’oppression qui convient parfaitement aux manigances qui se jouent derrière les murs tapissés.
    Les dialogues sont joués de manière très moderne, ce qui peut sembler anachronique et fort mal venu permet en fait de faire un lien impertinent avec notre époque où les intrigues de pouvoir ont finalement peu changé.
    L’humour fin, les dialogues ciselés, les situations cocasses et les manigances dans les coulisses du pouvoir offrent un terrain de jeu fabuleux à un trio d’actrice au sommet de leur art. La rivalité entre Rachel Weisz et Emma Stone est acide et perfide à souhait, Olivia Colman est -c’est le cas de le dire- impériale car elle parvient à montrer la dualité d’Anne Stuart, tour à tour odieusement capricieuse puis étonnamment touchante.
    A cette époque, les hommes sont plus poudrés que les femmes, maniérés au possible, ils tentent tous, à leur façon, de manœuvrer une reine aussi instable que leurs perruques blanches. Bien qu’en infériorité numérique et supposément de pouvoir, ce sont bien les favorites (d’ailleurs moins maquillées que ces Messieurs), au gré d’unions avec la gent masculine, qui façonnent les décisions. Au petit jeu des alliances et des manigances, ces Dames ont plus d’esprit, plus de perfidie et les abus de pouvoir et des richesses annoncent le déclin d’un empire.
    Ce joyau de la couronne est ciselé par du souffre, le fond et la forme sont en totale adéquation et l’audace à tous les étages font de cette offrande une réussite totale.
    Ernesto D.
    Ernesto D.

    12 abonnés 60 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 février 2019
    On tient certainement avec la "La Favorite" le meilleur film de ce début d'année et de loin ( même si personnellement j'ai une grande affection aussi pour le sublime " Green book : sur les routes du sud" ).
    Dans l'Angleterre du XVIIIème siècle , la reine Anne , bipolaire , seule et malade de la goutte , se voit flanquée de 2 favorites qui vont entrer dans une danse féroce pour le pouvoir afin d'obtenir les maximum de privilèges possibles , par tous moyen , quitte à passer aussi par le lit de la reine .S'ouvre alors un huis clos suffoquant où les intrigues , les coups bas , les humiliations , les stratagèmes nous rappellent incontestablement le vénéneux " Les Liaisons dangereuses" où tous les coups sont permis pour arriver à ses fins.
    Les trois protagonistes sont au sommet de leur art avec des performances haut de gamme : la reine Anne , jouée par Olivia Colman , magnifique de douleur et d'insatisfaction affichée , en plein naufrage psychologique , irradie par sa monstrueuse déchéance mentale et physique . La favorite ( Lady Sarah ) , jouée par Rachel Weisz , en meneuse diabolique , a la beauté du diable même lorsque son visage sera meurtri et martyrisé . La protégée de la favorite ( et cousine ) , jouée par une Emma Stone , en fausse ingénue sournoise et intrigante , enfantine et ambitieuse , mais aussi et surtout , très machiavélique .
    Ce trio infernal va nous offrir un film fort , puissant , au parfum vénéneux , où les hommes sont quasi-absents mais toujours grotesques et , pire encore , voués aux rôles de simples faire valoir de la reine sur fond de guerre Franco-anglaise.
    Les scènes dans les couloirs du château sont de véritables chefs d’œuvres picturaux d'Emmanuel de Witte et sa perspective captivante , les scènes de nuit des peintures de Georges de La Tour dans un sublime et hypnotique clair-obscur .
    On est pas loin du chef d'oeuvre qui devrait , selon toutes vraisemblance , rafler un grand nombre de récompenses , ultra méritées , comme seul le cinéma sait nous offrir parfois .
    LeFilCine
    LeFilCine

    178 abonnés 576 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 février 2019
    Début du XVIIIe siècle, un château de la campagne anglaise et sa grisaille tenace : il n’en faut pas beaucoup plus pour faire fuir le cinéphile. Mais voilà que le réalisateur dudit film, Yórgos Lánthimos, s’est fait un nom à Cannes ces dernières années. Il a aussi des stars au casting, et les Oscars l’ont affublé de dix nominations à la prochaine cérémonie. Évidemment, le début du long-métrage n’est pas très engageant, pas aidé par une lumière ténue et un usage du grand angle assez perturbant. Mais une fois les trois personnages principaux installés dans le récit, on parvient enfin à rentrer dans ce triangle féminin d’une férocité discrète assez jouissive. Et les trois actrices excellent : Olivia Colman dans le rôle d’une reine truculente, qui passe de l’excès au sensible, se livre totalement et semble se régaler dans ce rôle hors norme. Emma Stone est au diapason : elle joue d’abord la candeur et l’espièglerie puis se transforme petit à petit en monstre d’avidité et d’arrivisme. Assurément un nouveau grand rôle pour la jeune américaine. Rachel Weisz n’est pas en reste : l’actrice anglaise incarne la duplicité masquée derrière une élégance de presque tous les instants. Ces trois actrices font du long-métrage une oeuvre profondément féministe, dans lequel les hommes sont tournés en ridicule avec drôlerie. Yórgos Lánthimos se donne du mal pour sortir son film d’un contexte bien pompeux, mais les deux heures en quasi huis-clos de cette histoire singulière, ont quand même bien du mal à passer. On frôle même le mal de tête avec ses images distordues, une musique des plus sinistre et une fascination pour la vomissure d’un gout douteux. On retiendra la prestation d’actrices qui surnagent.
    Didier L
    Didier L

    35 abonnés 222 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 11 février 2019
    Si le scénario est habilement troussé, si les dialogues contiennent suffisamment de perfidie et de machiavélisme pour retenir l'attention (malgré quelques saillies un peu grasses et un peu trop décalées), si les comédiennes sont éblouissantes et, en particulier, Olivia Colman, bouleversante dans ses sautes d'humeur et la conscience nette de son malheur, si les costumes et les décors eblouissent, le tout est minutieusement anéanti par une mise en scène grandiloquente, tape à l'oeil et qui dégage une autosatisfaction détestable. Entre les images anamorphosées, les travellings impétueux, les clair obscurs louchant maladroitement vers Stanley Kubrick, Lanthimos saoule le spectateur sans visiblement savoir lui même ce qu'il cherche à faire savoir. Le summum du ridicule est atteint par une scène de menuet mâtiné de hip-hop qui se pose là, gratuitement, comme un cheveu sur la soupe.
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