Pour les fans de ce réalisateur découvert dans son précédent film, une mise à mort du cerf sacré tel décrit, arrêtons-nous là, de son style non particulier, qu'est qu'il fait aussi froid que l’hiver.
16eme, 17ème, 18ème, 19eme, tant de siècle passé ne change rien aux histoires d’aristocrates et de nobles qui s’intriguent entre eux ou s’autodétruisent jusqu’à la bonne idée marrante d'accéder au pouvoir royal dans l'histoire d'Angleterre.
Un objet d’ambition politique manipulable qui varia selon le monarque, il y a eu un défilé de rois et des reines anglaises, l’une des plus bêtes choisies avec sa maladie d’opulence, pour régner sur le pays en proie face à la diplomatie.
Le match Angleterre-France fait partie du sport de fiction, le tir de pistolet aux oiseaux attire foule à ce jeu, le ridicule ne tuera point.
Ce furent les courtisans profiteurs hommes ou femmes LGBT cachés au passé et révélés ici présent avec d’autres histoires de coucherie, leurs passes temps favoris en ces temps peu éclairés par la bougie.
Les liaisons sont dangereuses, surpassées, lointaines, plus de censure hypocrite sous couvert morale religieuse dans la vulgarisation, le temps de l'évolution, à ce qui paraîtrait normal aujourd'hui.
Un cinéma qui parle de l’histoire britannique par Barry Lyndon, c'est passionnant, une production financière américaine, du flou en regardant à travers la vitre filmée et une législature mise en scène.
C'est formidable en 2019, j'approuve totalement du coup pub venu de la traversée de l'Atlantique pour une validation approuvée, un pied-de-biche aux rieurs virtuels, au sens de l'observation innée, merci de vous enregistrés, souriez bien dans ce monde virtuose, attention y'a des lois derrière l'écran de contrôle.
La bande son musicale est sèche pour tambouriner autant que ça finalement, l’abondance de lapins clôture tout ce boucan cinématographique.