Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
37 critiques presse
CNews
par La rédaction
Avec "La Favorite", le réalisateur grec Yorgos Lanthimos ("Mise à mort du cerf sacré", "The Lobster") maîtrise son art à la perfection, et revisite le film d’époque en costume, en y ajoutant une touche de drôlerie et de monstruosité.
Culturopoing.com
par Sophie Yavari
L’incroyable mélange de drôlerie et de férocité de "La Favorite", allié un scénario intelligent, des actrices hors-pair, un montage audacieux et une photographie somptueuse font du dernier film de Yórgos Lánthimos à la fois l'un de ses plus accomplis et de ses plus accessibles. Moins glaçant que "Mise à mort du cerf sacré" il n'en poursuit pas moins son étude de la désagrégation de l'âme humaine. Avec jubilation.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Drôle et délicieusement méchante, "La Favorite" fait partie de ces films historiques qui échappent au piège de l'académisme, grâce à une profusion de trouvailles scénaristiques et esthétiques.
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Une véritable tragédie moderne, cruelle et destructrice menée par trois comédiennes au sommet : Olivia Colman, Emma Stone et Rachel Weisz.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Favori aux Oscars, Yorgos Lanthimos orchestre une guerre des sexes cruelle et jubilatoire dans l'Angleterre du XVIIIe siècle.
Le Parisien
par La Rédaction
Soignant le décorum, le sulfureux cinéaste Yorgos Lanthimos magnifie les incroyables mœurs des puissants de l’époque, insiste sur les coups bas qui pleuvent dans l’ombre, focalise sur les paradoxes cette reine agitée, odieuse, mais aussi très touchante.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marie Claire
par Emily Barnett
Féroce et jubilatoire.
Ouest France
par Pierre Lunn
Un terrain de jeu fabuleux pour des actrices au sommet.
Télé Loisirs
par Claire Picard
Un film pressenti aux Oscars pour sa mise en scène et le jeu de ses trois actrices.
Télérama
par Jacques Morice
Un huis clos explosif, aussi cru que raffiné.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
BIBA
par Lili Yubari
Une vision drôle, grivoise et baroque des amours saphiques à la cour, avec trois actrices indépartageables.
Bande à part
par Olivier Pélisson
Yorgos Lanthimos livre une corrosive fresque historique. Sa maestria formelle explose, et se double d’une puissance acide menée par des femmes, et trois actrices au sommet.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Renan Cros
Sale, cruel, drôle, tragique et génialement queer, La Favorite de Yorgos Lanthimos transforme le classicisme en art contemporain.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
Tous les éléments du cinéma de Yorgos Lanthimos sont là, la photographie exigeante, les grands-angles de caméra et la musique parfois oppressante, pour un film qui est sans doute le plus abordable et le moins conceptuel qu’il ait proposé jusqu’ici.
La critique complète est disponible sur le site Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
Passé 30 minutes longues au démarrage, "La Favorite" devient un jeu de manipulation sexuel, politique et pervers jouissif, aux dialogues ciselés, à l'humour décapant, à la musique anxiogène, et porté par son formidable trio d'actrice. Lanthimos frappe encore un grand coup !
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Elle
par Khadija Moussou
Yórgos Lánthimos réunit à l’écran trois actrices pour un film en costumes aussi croustillant qu’acide.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Olivia Colman s'avère bluffante.
La Croix
par Céline Rouden
Yórgos Lánthimos subvertit le film en costumes dans cette farce tragicomique, aussi cruelle que jouissive, sur les jeux de pouvoirs exclusivement féminins à la cour de la reine Anne d’Angleterre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le réalisateur montre des héroïnes aux dents longues, de sauvages arrivistes, des manipulatrices hors pair. Elles poussent leur maîtresse dans un fauteuil roulant, lui massent des jambes qu'elle a gonflées, difformes, attendent un regard, espèrent un baiser. Pas un instant de répit. L'intelligence et le pessimisme incendient la pellicule.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Yorgos Lanthimos – qui a travaillé avec Tony McNamara à l’écriture de La Favorite (à partir d’un scénario de Deborah Davis) – sait ruser, explorant la nature humaine, là où il fait croire à un divertissement.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Florence Colombani
Yorgos Lanthimos dépoussière le film en costumes, dirige de main de maître un réjouissant trio de comédiennes et signe au passage l'un des meilleurs films de cette rentrée.
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Porté par un génial trio d’actrices, un biopic élégant et cinglant, qui se mue en une grande tragicomédie perverse et mémorable..
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Une farce incorrecte qui réduit en confettis les archaïsmes du film en costumes.
Positif
par William Le Personnic
Globalement récréatif, "La Favorite" n'en demeure pas moins vénéneux (la politique est un passe-temps machiavélique), et analyse la face volage de l'être humain avec un oeil acerbe et pittoresque.
Première
par Sophie Benamon
L’ironie mordante de l’histoire et les dialogues savoureusement anachroniques ajoutent au plaisir de l’ensemble malgré la gravité du sujet.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un bijou noir à la cruauté réjouissante, où fond et forme se répondent enfin.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par François Bégaudeau
Un beau film sur le pouvoir malgré quelques faiblesses.
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Un film intelligent et sidérant de beauté.
Voici
par A.V.
Le réalisateur de The Lobster et du glaçant Mise à mort du cerf sacré réalise son premier film accessible, porté par trois stars qui excellent dans ces jeux de massacre.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Mais le cinéaste gâche une bonne partie de son propos en filmant continuellement avec un objectif grand angle (fish-eye) qui déforme les perspectives, et en insérant des ralentis inutiles. Une option de mise en images envahissante et artificielle, au regard d’un propos pourtant des plus pertinents.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Critikat.com
par Josué Morel
Le paradoxe de Lánthimos tient à ce que l’immoralité propre au jeu est à la fois le sujet et l’impensé de ses films.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré un beau travail technique et visuel, la liberté de ton et le laisser-aller des personnages évoquent plus le XXe siècle que le XVIIIe. Hystérie à tous les étages. Comme quoi tout ce qui est excessif est insignifiant.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
La conviction des comédiennes (toutes excellentes), nous guide dans un film expressionniste, mais dont la force émotionnelle finit par s’évanouir devant tant d’exploration forcée d’une pseudo-virtuosité.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Yorgos Lanthimos joue la carte du « je ne suis pas là où on m’attend, mais je suis là quand même ». Mais qui attend quelque part ce cinéaste fat et creux ?
L'Obs
par François Forestier
Yórgos Lanthimos ("Mise à mort du cerf sacré") est le cancre de la mise en scène. S'il était cardiologue, le patient serait mort depuis longtemps.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Ludovic Béot
S’il y a des films qui nous regardent, cela ne fait aucun doute, le cinéma de Lánthimos, ne fait que se regarder. Prostré derrière sa malice dont il se gargarise grassement, il semble condamné à rester éternellement englué dans l’admiration de son propre génie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Camille Nevers
"La Favorite" est un barbouillis d’images qui s’affaissent sous leur propre poids, Yórgos Lánthimos en fait des tonnes sans trouver de style.
La critique complète est disponible sur le site Libération
CNews
Avec "La Favorite", le réalisateur grec Yorgos Lanthimos ("Mise à mort du cerf sacré", "The Lobster") maîtrise son art à la perfection, et revisite le film d’époque en costume, en y ajoutant une touche de drôlerie et de monstruosité.
Culturopoing.com
L’incroyable mélange de drôlerie et de férocité de "La Favorite", allié un scénario intelligent, des actrices hors-pair, un montage audacieux et une photographie somptueuse font du dernier film de Yórgos Lánthimos à la fois l'un de ses plus accomplis et de ses plus accessibles. Moins glaçant que "Mise à mort du cerf sacré" il n'en poursuit pas moins son étude de la désagrégation de l'âme humaine. Avec jubilation.
L'Express
Drôle et délicieusement méchante, "La Favorite" fait partie de ces films historiques qui échappent au piège de l'académisme, grâce à une profusion de trouvailles scénaristiques et esthétiques.
La Voix du Nord
Une véritable tragédie moderne, cruelle et destructrice menée par trois comédiennes au sommet : Olivia Colman, Emma Stone et Rachel Weisz.
Le Journal du Dimanche
Favori aux Oscars, Yorgos Lanthimos orchestre une guerre des sexes cruelle et jubilatoire dans l'Angleterre du XVIIIe siècle.
Le Parisien
Soignant le décorum, le sulfureux cinéaste Yorgos Lanthimos magnifie les incroyables mœurs des puissants de l’époque, insiste sur les coups bas qui pleuvent dans l’ombre, focalise sur les paradoxes cette reine agitée, odieuse, mais aussi très touchante.
Marie Claire
Féroce et jubilatoire.
Ouest France
Un terrain de jeu fabuleux pour des actrices au sommet.
Télé Loisirs
Un film pressenti aux Oscars pour sa mise en scène et le jeu de ses trois actrices.
Télérama
Un huis clos explosif, aussi cru que raffiné.
BIBA
Une vision drôle, grivoise et baroque des amours saphiques à la cour, avec trois actrices indépartageables.
Bande à part
Yorgos Lanthimos livre une corrosive fresque historique. Sa maestria formelle explose, et se double d’une puissance acide menée par des femmes, et trois actrices au sommet.
CinemaTeaser
Sale, cruel, drôle, tragique et génialement queer, La Favorite de Yorgos Lanthimos transforme le classicisme en art contemporain.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Tous les éléments du cinéma de Yorgos Lanthimos sont là, la photographie exigeante, les grands-angles de caméra et la musique parfois oppressante, pour un film qui est sans doute le plus abordable et le moins conceptuel qu’il ait proposé jusqu’ici.
Ecran Large
Passé 30 minutes longues au démarrage, "La Favorite" devient un jeu de manipulation sexuel, politique et pervers jouissif, aux dialogues ciselés, à l'humour décapant, à la musique anxiogène, et porté par son formidable trio d'actrice. Lanthimos frappe encore un grand coup !
Elle
Yórgos Lánthimos réunit à l’écran trois actrices pour un film en costumes aussi croustillant qu’acide.
Femme Actuelle
Olivia Colman s'avère bluffante.
La Croix
Yórgos Lánthimos subvertit le film en costumes dans cette farce tragicomique, aussi cruelle que jouissive, sur les jeux de pouvoirs exclusivement féminins à la cour de la reine Anne d’Angleterre.
Le Figaro
Le réalisateur montre des héroïnes aux dents longues, de sauvages arrivistes, des manipulatrices hors pair. Elles poussent leur maîtresse dans un fauteuil roulant, lui massent des jambes qu'elle a gonflées, difformes, attendent un regard, espèrent un baiser. Pas un instant de répit. L'intelligence et le pessimisme incendient la pellicule.
Le Monde
Yorgos Lanthimos – qui a travaillé avec Tony McNamara à l’écriture de La Favorite (à partir d’un scénario de Deborah Davis) – sait ruser, explorant la nature humaine, là où il fait croire à un divertissement.
Le Point
Yorgos Lanthimos dépoussière le film en costumes, dirige de main de maître un réjouissant trio de comédiennes et signe au passage l'un des meilleurs films de cette rentrée.
Les Fiches du Cinéma
Porté par un génial trio d’actrices, un biopic élégant et cinglant, qui se mue en une grande tragicomédie perverse et mémorable..
Marianne
Une farce incorrecte qui réduit en confettis les archaïsmes du film en costumes.
Positif
Globalement récréatif, "La Favorite" n'en demeure pas moins vénéneux (la politique est un passe-temps machiavélique), et analyse la face volage de l'être humain avec un oeil acerbe et pittoresque.
Première
L’ironie mordante de l’histoire et les dialogues savoureusement anachroniques ajoutent au plaisir de l’ensemble malgré la gravité du sujet.
Sud Ouest
Un bijou noir à la cruauté réjouissante, où fond et forme se répondent enfin.
Transfuge
Un beau film sur le pouvoir malgré quelques faiblesses.
Télé 7 Jours
Un film intelligent et sidérant de beauté.
Voici
Le réalisateur de The Lobster et du glaçant Mise à mort du cerf sacré réalise son premier film accessible, porté par trois stars qui excellent dans ces jeux de massacre.
Franceinfo Culture
Mais le cinéaste gâche une bonne partie de son propos en filmant continuellement avec un objectif grand angle (fish-eye) qui déforme les perspectives, et en insérant des ralentis inutiles. Une option de mise en images envahissante et artificielle, au regard d’un propos pourtant des plus pertinents.
Critikat.com
Le paradoxe de Lánthimos tient à ce que l’immoralité propre au jeu est à la fois le sujet et l’impensé de ses films.
L'Humanité
Malgré un beau travail technique et visuel, la liberté de ton et le laisser-aller des personnages évoquent plus le XXe siècle que le XVIIIe. Hystérie à tous les étages. Comme quoi tout ce qui est excessif est insignifiant.
La Septième Obsession
La conviction des comédiennes (toutes excellentes), nous guide dans un film expressionniste, mais dont la force émotionnelle finit par s’évanouir devant tant d’exploration forcée d’une pseudo-virtuosité.
Cahiers du Cinéma
Yorgos Lanthimos joue la carte du « je ne suis pas là où on m’attend, mais je suis là quand même ». Mais qui attend quelque part ce cinéaste fat et creux ?
L'Obs
Yórgos Lanthimos ("Mise à mort du cerf sacré") est le cancre de la mise en scène. S'il était cardiologue, le patient serait mort depuis longtemps.
Les Inrockuptibles
S’il y a des films qui nous regardent, cela ne fait aucun doute, le cinéma de Lánthimos, ne fait que se regarder. Prostré derrière sa malice dont il se gargarise grassement, il semble condamné à rester éternellement englué dans l’admiration de son propre génie.
Libération
"La Favorite" est un barbouillis d’images qui s’affaissent sous leur propre poids, Yórgos Lánthimos en fait des tonnes sans trouver de style.