AlloCiné
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Votre avis sur Get Out ?
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53 critiques
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55 critiques
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Get Out est un thriller psychologique/fantastique/horrifique et surtout atypique !!!! En effet, l'histoire est complètement irréelle mais qui traite d'un sujet réel (le racisme) !! De plus, ce film est très bien réalisé, joué par des acteurs de qualité, prenant et angoissant du début jusqu'à la fin !!!!
Un film d'horreur et du sens de l'humour !
Le contexte :
C'est l'histoire de Chris Washington, jeune afro américain, qui a pour petite amie Rose Armitage, une américaine blanche, issue des beaux quartiers. Chris doit être présenter à la famille de Rose durant un week end. Celui ci est craintif de la réaction familial.
Les personnages :
Chris Washington est un artiste, passionné de photographie. Il a grandit dans les quartiers pauvres. Ce n'est pas un cliché du mec du ghetto et encore moins le cliché du black bien intégré. On sent qu'il appartient à son époque et qu'il est ouvert d'esprit. Et n'importe quel spectateur peut s'identifier à lui.
Rose a grandit dans une riche maison familiale isolée des grandes villes. Elle incarne la petite amie parfaite. spoiler: trop parfaite, ah, ah !
Ils sont présentés comme un jeune couple normal, qui vit sa relation au quotidien.
Les personnages secondaires :
Rod, le meilleur ami de Chris, travaille à la sécurité de l'aéroport. Un personnage drôle, qui rassure dans le film. Et offre beaucoup de second degré.
Jeremy Armitage, le frère de Rose, est un provocateur, qui aime les arts martiaux. Il a un côté négligé et peu sympathique. Il met la pression par son attitude corporel et ses phrases déguisant de mauvaises intentions.
Missy Armitage, la mère de Rose est une psy, qui sait imposer les règles de bonne conduite dans sa famille avec ses capacités à hypnotiser tout son monde.
Dean Armitage, le père de famille, est une personne sociable aux premiers abords, qui parle beaucoup.
Walter et Georgina sont noirs et ils sont embauchés par la famille de Rose pour entretenir la maison (Jardinage et tâches ménagères). Ce sont des personnages très flippants. Ils ont des attitudes corporelles et des phrases contraires à ce qu'ils disent ou à ce qu'ils représentent dans l'imaginaire collectif. spoiler: Puisque ce sont en réalité les esprits des grands parents de Rose, incarnés dans des corps de personnes noires.
Les dialogues :
Des dialogues très naturelles entre Chris et Rose, qui nous font croire à une relation forte et sincère.
Des échanges déroutants entre Chris et les autres habitants de la maison familiale.
spoiler: : Et lorsque Chris s'adresse aux noirs du domaine familial, ils sont tous déphasés.
Les actions :
Beaucoup de boucherie à un moment donné du film, et de réjouissance :
Le Fil Rouge et les Coups de Théâtre :
Le film sème des indices assez évidents pour comprendre ce qui se passe. Même sans l'explication finale, on se doute de ce qui se trame assez vite.
Le coup de théâtre le plus important : spoiler: c'est la trahison de Rose, bien que ce soit prévisible, car elle est trop parfaite.
Le deuxième coup de théâtre, celui qui m'a vraiment surpris, spoiler: c'est l'arrivé de Rod dans la voiture de police, alors que l'on s'attend à un policier blanc tranchant en faveur de Rose lors du combat final !
C'est une référence bien triste de notre époque qui a fait réagir la salle et moi aussi.
La B.O :
Elle accompagne nos sursauts ! ;
Mes scènes préférées :
"Le gouffre de l'oubli", qui est terrifiant tant l'individu est spectateur de sa perte de contrôle. Et la scène surréaliste du BINGO ! :
Mon plan préférée :
Lorsque Walter surgit en pleine nuit, pour faire son jogging. spoiler: Le check manqué entre Chris et Andrew Logan King (c'est super drôle et révélateur du problème)
Le petit :
Walter et Georgina à eux seuls, ils créent une nouvelle tension à chacune de leurs actions.
Le petit - :
C'est parfois un peu téléphoné. spoiler: Le coup du flash à la fin.
Conclusion :
Le film se moque du racisme en inversant son sens, avec beaucoup d'humour. Et en prenant à revers tous les clichés. Et c'est très réussi. :)
Le contexte :
C'est l'histoire de Chris Washington, jeune afro américain, qui a pour petite amie Rose Armitage, une américaine blanche, issue des beaux quartiers. Chris doit être présenter à la famille de Rose durant un week end. Celui ci est craintif de la réaction familial.
Les personnages :
Chris Washington est un artiste, passionné de photographie. Il a grandit dans les quartiers pauvres. Ce n'est pas un cliché du mec du ghetto et encore moins le cliché du black bien intégré. On sent qu'il appartient à son époque et qu'il est ouvert d'esprit. Et n'importe quel spectateur peut s'identifier à lui.
Rose a grandit dans une riche maison familiale isolée des grandes villes. Elle incarne la petite amie parfaite. spoiler: trop parfaite, ah, ah !
Ils sont présentés comme un jeune couple normal, qui vit sa relation au quotidien.
Les personnages secondaires :
Rod, le meilleur ami de Chris, travaille à la sécurité de l'aéroport. Un personnage drôle, qui rassure dans le film. Et offre beaucoup de second degré.
Jeremy Armitage, le frère de Rose, est un provocateur, qui aime les arts martiaux. Il a un côté négligé et peu sympathique. Il met la pression par son attitude corporel et ses phrases déguisant de mauvaises intentions.
Missy Armitage, la mère de Rose est une psy, qui sait imposer les règles de bonne conduite dans sa famille avec ses capacités à hypnotiser tout son monde.
Dean Armitage, le père de famille, est une personne sociable aux premiers abords, qui parle beaucoup.
Walter et Georgina sont noirs et ils sont embauchés par la famille de Rose pour entretenir la maison (Jardinage et tâches ménagères). Ce sont des personnages très flippants. Ils ont des attitudes corporelles et des phrases contraires à ce qu'ils disent ou à ce qu'ils représentent dans l'imaginaire collectif. spoiler: Puisque ce sont en réalité les esprits des grands parents de Rose, incarnés dans des corps de personnes noires.
Les dialogues :
Des dialogues très naturelles entre Chris et Rose, qui nous font croire à une relation forte et sincère.
Des échanges déroutants entre Chris et les autres habitants de la maison familiale.
spoiler: : Et lorsque Chris s'adresse aux noirs du domaine familial, ils sont tous déphasés.
Les actions :
Beaucoup de boucherie à un moment donné du film, et de réjouissance :
Le Fil Rouge et les Coups de Théâtre :
Le film sème des indices assez évidents pour comprendre ce qui se passe. Même sans l'explication finale, on se doute de ce qui se trame assez vite.
Le coup de théâtre le plus important : spoiler: c'est la trahison de Rose, bien que ce soit prévisible, car elle est trop parfaite.
Le deuxième coup de théâtre, celui qui m'a vraiment surpris, spoiler: c'est l'arrivé de Rod dans la voiture de police, alors que l'on s'attend à un policier blanc tranchant en faveur de Rose lors du combat final !
C'est une référence bien triste de notre époque qui a fait réagir la salle et moi aussi.
La B.O :
Elle accompagne nos sursauts ! ;
Mes scènes préférées :
"Le gouffre de l'oubli", qui est terrifiant tant l'individu est spectateur de sa perte de contrôle. Et la scène surréaliste du BINGO ! :
Mon plan préférée :
Lorsque Walter surgit en pleine nuit, pour faire son jogging. spoiler: Le check manqué entre Chris et Andrew Logan King (c'est super drôle et révélateur du problème)
Le petit :
Walter et Georgina à eux seuls, ils créent une nouvelle tension à chacune de leurs actions.
Le petit - :
C'est parfois un peu téléphoné. spoiler: Le coup du flash à la fin.
Conclusion :
Le film se moque du racisme en inversant son sens, avec beaucoup d'humour. Et en prenant à revers tous les clichés. Et c'est très réussi. :)
Le film met en scène un racisme jamais montré à l'écran. De plus, je trouve la mise en scène excellente, ce qui change des films d'horreur classique comme ceux de Shyamalan. Malheureusement, la fin est complètement bâclé et on repart de la salle un peu déçu.
Ce thriller écrit, coproduit et réalisé par Jordan Peele est un excellent film original, bluffant et inventif avec une écriture astucieuse, un final glaçant, une histoire bien ficelée, des dialogues bien écrits, un scénario inventif, une réalisation parfaite, des personnages très convaincants, des acteurs fabuleux et une BO tout simplement magique de Michael Abels.
Un thriller , gore? teinté d'étude sociologique... Le film est bien construit avec une intensité allant crescendo. Des dialogues justes , des regards intrigants , une musique bien sentie. Une bonne surprise dans le genre.
Une très bonne surprise ! Tenu en haleine durant tout le film et les acteurs sont vraiment bons. un mélange d amour de cynisme de frisson...
a voir !
a voir !
Super scénario, acteurs très présent dans leurs rôles, cependant certain chapitre sont beaucoup trop rapide pour le spectateur, à voir pour les fans du genre.
L'intrigue du film est différente de celle attendue et c'est bien là la force de ce film ! le film monte en intensité au fur et à mesure pour finir en apogée. Des sueurs froides garanties !!
quand Chris va a la rencontre de sa belle famille
une série d'incidents fâcheux va semer le trouble dans son esprit.
on rentre petit à petit dans l'histoire tout en petite touche
pour arriver à l'inimaginable.
magnifiquement interprété pas trop gore mais on reste attentif de bout en bout.
stressant.
une série d'incidents fâcheux va semer le trouble dans son esprit.
on rentre petit à petit dans l'histoire tout en petite touche
pour arriver à l'inimaginable.
magnifiquement interprété pas trop gore mais on reste attentif de bout en bout.
stressant.
orlandolove
Clairement, "Get Out" prendra place parmi les meilleurs films de genre de cette année 2017. Percutant, grinçant, ponctué de twist malicieux, "Get Out" mélange comédie et horreur avec talent, sans oublier de donner du sens à son propos. Les très bons acteurs complètent ce tableau quasi parfait !
WutheringHeights
Jamais pontifiant, toujours divertissant sans oublier son propos, Get Out est peut-être, sans effets de manche, le film de genre le plus angoissant de l’année.
Vu pour la première fois en 2017, je ne savais pas trop à quoi m’attendre, et ce fut une excellente surprise. Premier long métrage de Jordan Peele, Get Out est un véritable huit-clos, intriguant et plein de mystères qui arrive à nous captiver.
Suspendu au son de la tasse de thé, on avance à tâtons au fur et à mesure du film en cherchant l’erreur. Pourquoi est-il ici ? Pourquoi les gens autour de lui son si bizarre ? Ce sont ces questions que se pose notre héros. Interprété par un Daniel Kaluuya impressionnant de justesse, cherchant des réponses et qui va trouver l’inimaginable. Un casting impeccable, une ambiance angoissante, une mise en scène extraordinaire, le premier film de Jordan Peele est une véritable réussite. Un véritable huit clos angoissant, mystérieux et inventif.
Suspendu au son de la tasse de thé, on avance à tâtons au fur et à mesure du film en cherchant l’erreur. Pourquoi est-il ici ? Pourquoi les gens autour de lui son si bizarre ? Ce sont ces questions que se pose notre héros. Interprété par un Daniel Kaluuya impressionnant de justesse, cherchant des réponses et qui va trouver l’inimaginable. Un casting impeccable, une ambiance angoissante, une mise en scène extraordinaire, le premier film de Jordan Peele est une véritable réussite. Un véritable huit clos angoissant, mystérieux et inventif.
Ce film est totalement malade ! Thriller horrifique bluffant au suspense intenable, les amateurs du genre seront conquis direct. La trame est superbement ficelée et intelligemment écrite. Casting et bande originale au top. Vu et revu trois fois, et c'est toujours aussi efficace.
Un bon film d'épouvante à la tension palpable des le début . De bonnes musiques, De bons acteurs .
Seul bémol une fin un peu bâclé qui aurait mérité plus . À Voir
Seul bémol une fin un peu bâclé qui aurait mérité plus . À Voir
Quand le Ku Klux Klan invite Frankenstein
La bonne surprise 2017 dans cette catégorie. De l’humour noir et c’est peu de le dire. Ça commence comme une jolie romance New-yorkaise entre Chris et Rose, jeune couple mixte, et ça nous emmène aux frontières de l’imaginable.
Une réalisation parfaite et un scénario aux petits oignons façon « frissons ». Une démonstration du racisme qui sommeille encore ou qui fait semblant de dormir chez certains.
Chris Washington et Rose Armitage, fous amoureux, passent leur premier WE dans la famille de Rose. Mysy la mère est psychiatre et Dean le père est neurologue. Jessy le petit frère semble un peu à l’Ouest mais dans l’ensemble, c’est la famille en or.
Chris, instinctif, remarque l’étrangeté de certaines situations et réflexions mais la communauté noire est consciente de ce genre de comportement même chez des démocrates pro-Obama.
spoiler: La première nuit Chris fait un drôle de cauchemar et le voilà déstabilisé. Aurait-il été hypnotisé par la mère ou pas ? Le lendemain, jour de la fête des voisins, chacun lance des blagues limites. Rose lui propose de partir plus tôt que prévu, elle est aussi choquée par leurs étranges attitudes. Catherine Keener, la mère est sacrément inquiétante et le père Bradley Whitford est faussement affable. Quant au personnel, la bonne et le jardinier, ils sont presque menaçants avec Chris, pourtant tous deux Afro-américans. Bref drôle d’ambiance.
Son vieux pote qui garde son chien, l’appelle depuis NYC pour prendre des nouvelles. Il le le met en garde avec beaucoup d’ironie. La fin nous accroche au fauteuil et Jordan Peele nous renverse le coeur et l’estomac. Du cinéma intelligent même si effroyable.
A ne surtout pas cataloguer dans l’épouvante car le message est clair : l’esclavage n’est pas encore aboli, il change de visage et se déguise en bienveillance.
Daniel Kaluuya est pile-poil dans le ton et sa chérie, Allison Williams sait bien jouer les amoureuses.
La bonne surprise 2017 dans cette catégorie. De l’humour noir et c’est peu de le dire. Ça commence comme une jolie romance New-yorkaise entre Chris et Rose, jeune couple mixte, et ça nous emmène aux frontières de l’imaginable.
Une réalisation parfaite et un scénario aux petits oignons façon « frissons ». Une démonstration du racisme qui sommeille encore ou qui fait semblant de dormir chez certains.
Chris Washington et Rose Armitage, fous amoureux, passent leur premier WE dans la famille de Rose. Mysy la mère est psychiatre et Dean le père est neurologue. Jessy le petit frère semble un peu à l’Ouest mais dans l’ensemble, c’est la famille en or.
Chris, instinctif, remarque l’étrangeté de certaines situations et réflexions mais la communauté noire est consciente de ce genre de comportement même chez des démocrates pro-Obama.
spoiler: La première nuit Chris fait un drôle de cauchemar et le voilà déstabilisé. Aurait-il été hypnotisé par la mère ou pas ? Le lendemain, jour de la fête des voisins, chacun lance des blagues limites. Rose lui propose de partir plus tôt que prévu, elle est aussi choquée par leurs étranges attitudes. Catherine Keener, la mère est sacrément inquiétante et le père Bradley Whitford est faussement affable. Quant au personnel, la bonne et le jardinier, ils sont presque menaçants avec Chris, pourtant tous deux Afro-américans. Bref drôle d’ambiance.
Son vieux pote qui garde son chien, l’appelle depuis NYC pour prendre des nouvelles. Il le le met en garde avec beaucoup d’ironie. La fin nous accroche au fauteuil et Jordan Peele nous renverse le coeur et l’estomac. Du cinéma intelligent même si effroyable.
A ne surtout pas cataloguer dans l’épouvante car le message est clair : l’esclavage n’est pas encore aboli, il change de visage et se déguise en bienveillance.
Daniel Kaluuya est pile-poil dans le ton et sa chérie, Allison Williams sait bien jouer les amoureuses.
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