AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
4,1
27134 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Get Out ?
5
179 critiques
4
554 critiques
3
262 critiques
2
115 critiques
1
53 critiques
0
55 critiques
Trier par :
Filtrer par :
- Toutes les notes
-
-
-
-
-
-
Très bon film si on omets le côté Gentil noir méchants blancs qui commence a me fatiguer,dans chaque films de nos jours il y'a cette idéologie derrière,ils ne font pas des films pour les gens cest de l'endoctrinement,des phrases d'un racisme jamais atteint,je cite'si y'a trop de blanc dans mon espace vital je part en vrille'......'les blancs ont des délires d'esclaves sexuelle'......c'est a vomir ,imaginez vous un seul instant un film ou ont dirait l'inverse ça ferait le plus gros scandale de tout les temps 🥶le pire c'est que c'est en aucuns cas des noirs qui font c'est films mais souvent des blancs ou blanches des juifs ect....donc que veulent t'ils réellement,c'est simple nous monté les uns contre les autres,faite très attention les frères noirs blancs jaune marron,c'est gens veulent qu'ont s'entretue,ne regardez pas c'est films c'est dégradant racistes et ça cache une sombre idéologie toujours issue des mêmes personnes, faite très attention si la violence augmente tellement De nos jours il y'a une raison,ne leurs faite jamais confiance et dénoncé sans relâche c'est pratique n'écoutez pas les coms exelent ce sont des gauchistes
Le film est plutôt bien réalisé concernant les plans, les décors, les acteurs et l'ambiance en général. J'admet que cela créer de l'adrénaline. Le scénario est très original, mais dans un contexte filmographique, ça peut se faire en mieux de mon point de vue. Certes c'est un film d'horreur, et le problème c'est qu'il ne fait pas trop la différence avec les autres films de ce type. Y'a eu des séquences où ça a tué un peu le film pile au moment où l'ami de Chris essaye de convaincre les policiers mais lui rient au nez, et qu'il commence déjà à parler d'hypnose alors qu'il n'avait aucune preuve à ce moment, c'est des scènes très communes des film d'horreur sûr pour jouer avecla psychologie du téléspectateur mais je trouve ça trop facile, et il y'a énormément d'élément de ce genre dans le film. Je dirai donc que c'est un très bon scénario (l'histoire) mais pas un bon film.
La film prend bien son temps pour une très belle montée en puissance ce qui fait qu'on accompagne d'autant bien le personnage principal dans ses déboires et dans sa tentative de s'en sortir. On ne tombe pas dans le gore et il y a un vrai travail sur le piège et le scénario qui fonctionnent. Le défaut principal est que le ressort de toute l'aventure est un peu gros. Pour les amoureux du genre, foncez.
Un bon mixe entre thriller, critique social et film d'horreur. La création de l'atmosphère angoissante de la première heure est très réussie, malheureusement la suite n'est pas du même acabit, beaucoup moins ingénieuse et même inintéressante.
Dieu sait que j'attendais ce film au tournant, après avoir vu la seule et unique bande annonce il y a quelques mois, ce film m'a un peu fait l'effet d'une bombe et j'étais véritablement impatient de voir où celui ci allait nous mener. *Get Out* est finalement sorti sur les écrans, précédé de critiques dithyrambiques que ce soit de la presse spécialisée comme du grand public. Beaucoup vantaient son originalité, sa thématique, sa capacité à nous effrayer, etc...
Le fait est que j'ai finalement vu le film, et je ne peux m'empêcher d'en être déçu. En fait, je trouve celui ci extrêmement bien réalisé, interprété, et même écrit. Mon plus gros soucis provient du dernier tiers qui gâche selon moi tout le potentiel de l'oeuvre. Jordan Peele arrive à créer un univers bien spécifique et nous faire ressentir le malaise qui habite Chris tout au long des deux premières parties. Le réalisateur instaure une ambiance pesante et angoissante et dissémine ça et là plusieurs questions. Ce dernier semble même nous lancer sur une fausse piste.
Le fait est que NON. Plus le film avance, plus tu te rends compte que le sel de l'intrigue a été divulgué dès le premier quart. De fait, lorsque l'on a compris où le réalisateur voulait en venir, on reste juste là à attendre que le film trouve sa conclusion, en espérant au moins un léger twist final. Et là encore, NON.
C'est véritablement la seule et unique chose que je reproche au film, et ce qui m'a d'ailleurs empêché d'en profiter pleinement. Une fois la première moitié passée, plus aucun élément de surprise ne se profile et *Get Out* en devient juste un énième film d'horreur proposant les mêmes rebondissements et fils scénaristiques.
Dans d'autres cas ce serait passé, mais ce film là avait tellement de potentiel et semblait tellement proposer un message ambigu et complexe que, finalement, lorsque j'ai compris à quel point le fond de l'intrigue était simple, je n'ai pas pu m'empêcher de ressentir une immense frustration devant un tel avortement scénaristique.
Bien sûr, *Get Out* reste un bon film, mais il aurait pu être tellement mieux que ça en est énervant.
Le fait est que j'ai finalement vu le film, et je ne peux m'empêcher d'en être déçu. En fait, je trouve celui ci extrêmement bien réalisé, interprété, et même écrit. Mon plus gros soucis provient du dernier tiers qui gâche selon moi tout le potentiel de l'oeuvre. Jordan Peele arrive à créer un univers bien spécifique et nous faire ressentir le malaise qui habite Chris tout au long des deux premières parties. Le réalisateur instaure une ambiance pesante et angoissante et dissémine ça et là plusieurs questions. Ce dernier semble même nous lancer sur une fausse piste.
Le fait est que NON. Plus le film avance, plus tu te rends compte que le sel de l'intrigue a été divulgué dès le premier quart. De fait, lorsque l'on a compris où le réalisateur voulait en venir, on reste juste là à attendre que le film trouve sa conclusion, en espérant au moins un léger twist final. Et là encore, NON.
C'est véritablement la seule et unique chose que je reproche au film, et ce qui m'a d'ailleurs empêché d'en profiter pleinement. Une fois la première moitié passée, plus aucun élément de surprise ne se profile et *Get Out* en devient juste un énième film d'horreur proposant les mêmes rebondissements et fils scénaristiques.
Dans d'autres cas ce serait passé, mais ce film là avait tellement de potentiel et semblait tellement proposer un message ambigu et complexe que, finalement, lorsque j'ai compris à quel point le fond de l'intrigue était simple, je n'ai pas pu m'empêcher de ressentir une immense frustration devant un tel avortement scénaristique.
Bien sûr, *Get Out* reste un bon film, mais il aurait pu être tellement mieux que ça en est énervant.
Rose emmène son petit ami Chris, jeune homme Afro-américain, passer le week end chez ses parents. Très rapidement, Chris se sent mal à l'aise dans cette famille pourtant a priori rassurante.
J'ai vu hier en avant première aux Halles "Get out", film phénomène de ces dernières semaines au milieu d'un public assez jeune et multiculturel. La salle était bondée. Le film est un thriller horrifique, lent durant 1h10 pour monter en puissance dans les 30 dernières minutes.
Sur le plan de la forme, l'histoire est un peu cousue de fil blanc.
Le casting est correct, le personnage principal interprété par Daniel Kaluuya mêlant candeur et réactivité avec un brio surprenant.
Cependant, comme "Le boulevard de la mort" et "Django unchained" de Tarantino ,respectivement féministe et anti raciste, le film n'est pas qu'un divertissement. J''y ai vu une portée "politique" qui a peut être du sens aux "Etats Unis", pays qui n'arrive pas à exorciser ses démons ségrégationnistes (surtout depuis l'élection de Donald Trump) mais qui nuit à l'exercice vu les réactions qu'il génère. Le film égrène d'ailleurs quelques clichés pas surprenants déclinés sur le ton de l'humour mais "dits" quand même: le black est "cool" et "bien monté", le blanc calculateur, cérébral et plutôt physiquement "faiblard".
spoiler: A la fin du film tous les "méchants blancs" pourtant génialement diaboliques (du père de famille, médecin sans éthique à la fille tentatrice, véritable "piège pour les mecs") se font éliminer assez facilement par le sympathique invité "de couleur". Cela a généré autour de moi des "applaudissements nourris" d'une bonne partie du public présent (phénomène d'identification?). Je ne me suis pas senti gagné par un tel enthousiasme et je n'avais jamais assisté à ce genre de réactions, même devant les meilleurs films de genre de ces dernières années comme "you're next".
"Get out" est le premier film de Jordan Peele. Il semblerait que le producteur, Jason Blum, ait quitté la sphère du film de genre médiocre (Paranormal activity) ou inspiré (Sinister) pour le pseudo thriller engagé, façon "Blaxploitation revival" mais attention... le dérapage n'est jamais bien loin....
Tout cela à finalement un petit coté "politiquement correct" pas trop surprenant mais qui ne fera pas que des heureux. En même temps, le scénario "hors sol" rend le propos caricatural. Il est dommage finalement que l'analyse de ce film porte finalement plus sur son fond que sur sa forme, qui il est vrai, n'a pas grand chose d'original. Dans le genre, je préfère largement le premier "Saw" ou le remake de "La colline a des yeux".
Finalement, pour être à fond dans le ton, il ne manquait que Samuel Jackson...
En terme de recettes, le film "cartonne" avec 172 millions de dollars obtenus pour 4,5 millions investis.
J'ai vu hier en avant première aux Halles "Get out", film phénomène de ces dernières semaines au milieu d'un public assez jeune et multiculturel. La salle était bondée. Le film est un thriller horrifique, lent durant 1h10 pour monter en puissance dans les 30 dernières minutes.
Sur le plan de la forme, l'histoire est un peu cousue de fil blanc.
Le casting est correct, le personnage principal interprété par Daniel Kaluuya mêlant candeur et réactivité avec un brio surprenant.
Cependant, comme "Le boulevard de la mort" et "Django unchained" de Tarantino ,respectivement féministe et anti raciste, le film n'est pas qu'un divertissement. J''y ai vu une portée "politique" qui a peut être du sens aux "Etats Unis", pays qui n'arrive pas à exorciser ses démons ségrégationnistes (surtout depuis l'élection de Donald Trump) mais qui nuit à l'exercice vu les réactions qu'il génère. Le film égrène d'ailleurs quelques clichés pas surprenants déclinés sur le ton de l'humour mais "dits" quand même: le black est "cool" et "bien monté", le blanc calculateur, cérébral et plutôt physiquement "faiblard".
spoiler: A la fin du film tous les "méchants blancs" pourtant génialement diaboliques (du père de famille, médecin sans éthique à la fille tentatrice, véritable "piège pour les mecs") se font éliminer assez facilement par le sympathique invité "de couleur". Cela a généré autour de moi des "applaudissements nourris" d'une bonne partie du public présent (phénomène d'identification?). Je ne me suis pas senti gagné par un tel enthousiasme et je n'avais jamais assisté à ce genre de réactions, même devant les meilleurs films de genre de ces dernières années comme "you're next".
"Get out" est le premier film de Jordan Peele. Il semblerait que le producteur, Jason Blum, ait quitté la sphère du film de genre médiocre (Paranormal activity) ou inspiré (Sinister) pour le pseudo thriller engagé, façon "Blaxploitation revival" mais attention... le dérapage n'est jamais bien loin....
Tout cela à finalement un petit coté "politiquement correct" pas trop surprenant mais qui ne fera pas que des heureux. En même temps, le scénario "hors sol" rend le propos caricatural. Il est dommage finalement que l'analyse de ce film porte finalement plus sur son fond que sur sa forme, qui il est vrai, n'a pas grand chose d'original. Dans le genre, je préfère largement le premier "Saw" ou le remake de "La colline a des yeux".
Finalement, pour être à fond dans le ton, il ne manquait que Samuel Jackson...
En terme de recettes, le film "cartonne" avec 172 millions de dollars obtenus pour 4,5 millions investis.
Qu'il est bon de voir un film qui happe dès les premières minutes,get out s'ouvre avec une sorte de promesse d’insufflé un vent nouveau sur un genre trop souvent sclérosé. Réussir son entrée en matière est une chose si difficile à faire que l'on ne peut que saluer cette mise en bouche qui fait saliver,mais faut il encore que le reste suive et c'est là que ça bloque.
Alors effectivement l'histoire ainsi que le traitement font dans l'originalité par le thème choisi,maintenant tout ne fonctionne pas pleinement. Si on ressent un certain malaise et une certaine angoisse en voyant ce personnage noir évolué dans cette famille blanche,certains autres passages eux ne fonctionnent pas, car les personnages restent montré de façon trop caricatural. A partir du moment ou la famille se regroupe ils ne sont plus que des clichés sur patte,pas des clichés blanc mais des clichés des mauvais dans les films d'horreur et ça ça ne marche pas du tout,il y a à cet instant des relents du final the pruge(lorsque les voisins s’attablent dans la maison)on est à deux doigts de ce genre de choses horriblement sommaire, enfin ça fait surtout retomber les éléments si bien amenés auparavant. On passe à quelque chose de franchement bien fait à un pauvre truc de série b,c'est d'autant plus dommage que le film réussit à construire son intrigue sur des bases différentes. Notamment dans les moments angoissants dans lesquels Chris est d'une totale impuissance face au destin qui l'attend,il y a d'ailleurs visuellement lors de ces scènes une vraie recherche visuelle qui nous fait nous aussi en tant que spectateur plonger avec lui dans cet univers d'impuissance. C'est un effet que l'on ressent physiquement et ça c'est vraiment très fort de réussir des tels scènes. La rigueur avec laquelle on présente toute cette histoire s’étiole malheureusement au fur et à mesure que le film avance. Et il y a aussi des éléments qui restent incompréhensibles
"""
spoiler: Lors du rassemblement des blancs afin de tirer au sort qui aura la chance de remporter le corps de Chris,il y a lors de la garden party cet autre jeune homme noir. Mais pourquoi est il là? Visiblement le corps de ce jeune homme est déjà occupé par l’âme d'un homme,il n'a nullement besoin d'un corps donc pourquoi se trouve t'il là? Si sa femme souhaite avoir un corps je pense qu'elle prendrait celui d'une femme et non d'un homme à moins qu'elle n'aie une envie de changement de sexe???????????? Seconde chose,on voit qu'il y a tout un tas de disparus noirs,cela veut dire qu'il y a déjà eu précédemment d'autres transfères,donc pourquoi n'y a t'il qu'un seul couple dont le mari a déjà fait ce transfère à cette garden party? Il pourrait très bien y avoir des couples homo et d'autres,mais bon. Et pourquoi ces gens transférés sont considérés par les blancs comme des serviteurs? Alors je veux bien que tout le monde essai de ne pas divulguer le secret,mais ils pourraient justement les laisser parler sans avoir quelqu'un autour qui semble les museler. Car là leurs attitudes deviennent étrange. D'autant que les transférés semblent un peu simplet,donc quel intérêt de devenir un simplet?
"""
On parle aussi de l'humour du film,ouais il y a un certain humour mais il est loin de fonctionner constamment,je crois que j'ai ris une ou deux fois. Il n'y a rien de très drôle et c'est loin d’être inventif de ce coté là,le pote douanier est censé être drôle,bon il ne m'a amusé qu'à la fin c'est déjà ça.
Si le film tient la route avec certaines scènes le final plonge lui dans la pure facilité d'une mauvaise série B,c'est bien ce qui m'a fait baisser ma note d'ailleurs,car pendant le premier tiers j'aurais facilement accordé un 8 au film. Mais quand on pose des bases il faut savoir les conclure avec la même attention que le reste, hors là c'est clairement bâclé. On n'échappe à rien dans cette dernière partie qui se termine comme n'importe quelle série B débile,on a droit au mec que l'on croit mort qui ressuscite etc... On pouvait espère mieux de ce final qui tombe dans tout ce qu'on avait soigneusement évité auparavant,il faut le dire c'est clairement raté. Enfin pour un premier film c'est tout de même pas mal,et ça laisse espérer pour les prochaines productions,en espérant que le réalisateur prenne conscience des problèmes qui habite ce premier essai.
Alors effectivement l'histoire ainsi que le traitement font dans l'originalité par le thème choisi,maintenant tout ne fonctionne pas pleinement. Si on ressent un certain malaise et une certaine angoisse en voyant ce personnage noir évolué dans cette famille blanche,certains autres passages eux ne fonctionnent pas, car les personnages restent montré de façon trop caricatural. A partir du moment ou la famille se regroupe ils ne sont plus que des clichés sur patte,pas des clichés blanc mais des clichés des mauvais dans les films d'horreur et ça ça ne marche pas du tout,il y a à cet instant des relents du final the pruge(lorsque les voisins s’attablent dans la maison)on est à deux doigts de ce genre de choses horriblement sommaire, enfin ça fait surtout retomber les éléments si bien amenés auparavant. On passe à quelque chose de franchement bien fait à un pauvre truc de série b,c'est d'autant plus dommage que le film réussit à construire son intrigue sur des bases différentes. Notamment dans les moments angoissants dans lesquels Chris est d'une totale impuissance face au destin qui l'attend,il y a d'ailleurs visuellement lors de ces scènes une vraie recherche visuelle qui nous fait nous aussi en tant que spectateur plonger avec lui dans cet univers d'impuissance. C'est un effet que l'on ressent physiquement et ça c'est vraiment très fort de réussir des tels scènes. La rigueur avec laquelle on présente toute cette histoire s’étiole malheureusement au fur et à mesure que le film avance. Et il y a aussi des éléments qui restent incompréhensibles
"""
spoiler: Lors du rassemblement des blancs afin de tirer au sort qui aura la chance de remporter le corps de Chris,il y a lors de la garden party cet autre jeune homme noir. Mais pourquoi est il là? Visiblement le corps de ce jeune homme est déjà occupé par l’âme d'un homme,il n'a nullement besoin d'un corps donc pourquoi se trouve t'il là? Si sa femme souhaite avoir un corps je pense qu'elle prendrait celui d'une femme et non d'un homme à moins qu'elle n'aie une envie de changement de sexe???????????? Seconde chose,on voit qu'il y a tout un tas de disparus noirs,cela veut dire qu'il y a déjà eu précédemment d'autres transfères,donc pourquoi n'y a t'il qu'un seul couple dont le mari a déjà fait ce transfère à cette garden party? Il pourrait très bien y avoir des couples homo et d'autres,mais bon. Et pourquoi ces gens transférés sont considérés par les blancs comme des serviteurs? Alors je veux bien que tout le monde essai de ne pas divulguer le secret,mais ils pourraient justement les laisser parler sans avoir quelqu'un autour qui semble les museler. Car là leurs attitudes deviennent étrange. D'autant que les transférés semblent un peu simplet,donc quel intérêt de devenir un simplet?
"""
On parle aussi de l'humour du film,ouais il y a un certain humour mais il est loin de fonctionner constamment,je crois que j'ai ris une ou deux fois. Il n'y a rien de très drôle et c'est loin d’être inventif de ce coté là,le pote douanier est censé être drôle,bon il ne m'a amusé qu'à la fin c'est déjà ça.
Si le film tient la route avec certaines scènes le final plonge lui dans la pure facilité d'une mauvaise série B,c'est bien ce qui m'a fait baisser ma note d'ailleurs,car pendant le premier tiers j'aurais facilement accordé un 8 au film. Mais quand on pose des bases il faut savoir les conclure avec la même attention que le reste, hors là c'est clairement bâclé. On n'échappe à rien dans cette dernière partie qui se termine comme n'importe quelle série B débile,on a droit au mec que l'on croit mort qui ressuscite etc... On pouvait espère mieux de ce final qui tombe dans tout ce qu'on avait soigneusement évité auparavant,il faut le dire c'est clairement raté. Enfin pour un premier film c'est tout de même pas mal,et ça laisse espérer pour les prochaines productions,en espérant que le réalisateur prenne conscience des problèmes qui habite ce premier essai.
Idée très originale.
Si le film n'est aucunement effrayant comme pouvait le laisser croire la bande annonce, il est en revanche très drôle, et plein de moment de tensions fort bien réalisés.
Il fait partie de ce genre de films qu'on apprécie encore plus le lendemain du visionnage, en repensant à certaines scènes, et moments clés de l'histoire.
Ce film est encore plus appréciable lorsqu'il est visionné dans une grande salle comble, hilare et en délire comme ce fut mon cas.
Joli premier coup pour ce réalisateur.
l'actirce est la sosie de menton de Keira Knightley avec un soupçon de Jennifer Connelly... bluffant....
Si le film n'est aucunement effrayant comme pouvait le laisser croire la bande annonce, il est en revanche très drôle, et plein de moment de tensions fort bien réalisés.
Il fait partie de ce genre de films qu'on apprécie encore plus le lendemain du visionnage, en repensant à certaines scènes, et moments clés de l'histoire.
Ce film est encore plus appréciable lorsqu'il est visionné dans une grande salle comble, hilare et en délire comme ce fut mon cas.
Joli premier coup pour ce réalisateur.
l'actirce est la sosie de menton de Keira Knightley avec un soupçon de Jennifer Connelly... bluffant....
Même si l'intrigue est bien menée, le film manque de rythme. Je n'ai pas accroché non plus avec l'ambiance bien qu'elle apporte toute l'intensité du suspense..
Vinz1
« Get out » met beaucoup trop de temps à démarrer et même s’il mélange ironie, humour noir (sans jeu de mots) et critique de la société américaine avec ses racistes, ses élites et ses bourgeois, le canevas est plutôt commun voire prévisible. Heureusement, la dernière demi-heure ressemble un peu plus à un thriller mais le film ne surprendra aucun amateur du genre et n’arrivera jamais à la hauteur d’un « The visit » duquel on pourrait le rapprocher car lui aussi racontait un fait divers ayant a priori lieu dans un cadre familial banal mais qui allait avoir un déroulement singulier. Mais le métrage de Night Shyamalan savait distiller plus de moments effrayants et faisait sans cesse monter la tension contrairement au premier film de Jordan Peele. Un peu déçu donc.
c'est un un vrai cauchemar éveillé que vit ce Chris! un peu long à se lancer et prévisible sous certains aspects, ce thriller psychanalytique devient intriguant, fascinant et captivant. une réalisation soignée, pas tape à l’œil rend ce récit finalement crédible.
Entre film d'horreur et thriller sur fond de racisme, une série B réjouissante et super tendue, au scénario (récompensé par un Oscar) tordu et efficace.
Santu2b
L'humoriste américain noir Jordan Peele réalise en 2017 un improbable premier long-métrage "Get Out", devenu d'emblée l'un des films horrifiques à suspenses les plus rentables. Si qualifier l'ensemble de film d'horreur est sans doute exagéré (on sursaute à peine quelquefois), c'est en revanche dans son approche du sujet qu'il vaut vraiment le coup. Afin de dénoncer le racisme, Peele fait en effet ce qu'il pratique le mieux : l'humour noir. Il y parvient grâce à une géniale idée de scénario qu'il serait cruel de dévoiler ici, une histoire machiavélique, sombre et déjantée. Bien qu'imparfait, le tout donne un résultat assez efficace, tout à la fois glaçant et drôle. "Get Out " est la curiosité de l'année à découvrir !
Bon thriller, plus psychologique que visuel pour le côté "horreur" ce qui, pour moi, est de loin meilleur. J'ai trouvé le début un peu longuet et le dénouement un peu trop rapide. Mais dans l'ensemble j'ai aimé et trouvé l'intrigue originale.
"Get out" constitue une jolie surprise même si j'ai une préférence pour la première partie qui mise tout sur l’ambiance inquiétante, qui sait distiller à merveille la montée en tension et attiser la curiosité du spectateur. La dernière partie, même si elle est logique et ne dénature en rien le film, le fait tout de même glisser en terrain plus connu en obéissant beaucoup plus aux codes du cinéma d’horreur. "Get out" n’en reste pas moins un très bon premier film et son réalisateur/scénariste nous offre une œuvre originale convaincante.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse