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Votre avis sur Sicario La Guerre des Cartels ?
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C’est un peu confus et dispersé, de plus ce n’est pas le style de film qui me fait vibrer.. Ce ne sera pas un grand souvenir cinématographique.
WutheringHeights
Mise en scène efficace et solide interprétation. Le plus intéressant dans cette suite reste son aspect sombre, quasiment apocalyptique, comme si le cynisme de toutes les parties avait mené le monde à un point de non-retour.
Le titre est une escroquerie ,il s'agit des agissements sans aucune retenue des services secrets américains pour se venger d'un attentat suicide aux états unis
ceci dit le film est passionnant très bien joué avec des actions sordides mais réaliste Hélas tels que le rapt d'un enfant pour espérer déclencher une guerre entre les cartels responsables du transfert des djihadistes aux états unis
ceci dit le film est passionnant très bien joué avec des actions sordides mais réaliste Hélas tels que le rapt d'un enfant pour espérer déclencher une guerre entre les cartels responsables du transfert des djihadistes aux états unis
Une seule chose a dire Excellent !! Dans la lignée du premier film avec cette tension omniprésente et cette réalité a couper le souffle ce second opus est tout aussi haletant que son précédent.
Sicario de Villeneuve était un grand film noir, celui ci est une série B tournée en studio et dans un terrain vague, où piégé par nos attentes trop élevées on enchaîne les déceptions après une bon début pourtant. Pitié, les seconds rôle politique auraient du être suprimé du script, la donneuse d ordre sert tellement en rien la narration, le secrétaire d état on a envie de le remettre dans sa boîte à coucou (clin d oeil a birdy). Sur l ecriture, elle est nulle, la situation est plus grave mais au lieu de s enflammer, le film ressemble à un craquage d allumette, je serai Benicio je les enverŕai tous bouler si on m en propose un 3eme.
pierrre s.
Sans atteindre le niveau du premier film cette suite est tout de même de qualité. On y retrouve l'efficacité et la tension du film de Villeneuve ainsi qu'une grosse dose de violence.
Meilleur film que j'ai vu cette année (2018).
Le scénario est super prenant.
On retrouve Guillermo qui est tout simplement parfait dans ce rôle.
spoiler: Hate de voir la suite !
Le scénario est super prenant.
On retrouve Guillermo qui est tout simplement parfait dans ce rôle.
spoiler: Hate de voir la suite !
Film porté par Benicio Deltorro en sicario miséricordieux et résolu. Le film happe le spectateur dans un parcours où l'imprévu force chaque protagoniste à faire des choix qui risque de les marquer à vie.
Film incompréhensible. Scénario sans logique ni constructions. On reste plus de 2 heures pour un film qui ne sert que de trailer pour le 2eme. J’ai l’impression que ce film s’inspire des jeux vidéos avec les DLCS c’est à dire une boite vide qui nous demande de payer pour voir plus !
On est venu pour voir une 《 Guerre entre Cartels Mexicains 》 durant les premières minutes je vois pas dutout le rapport avec des extrémistes musulmans et Daesh ...
Puis mise en avant d'un super américain pour mettre un peu le bordel pour que la guerre commence entre les clan
Je m'attendais à beaucoup plus de règlements de comptes mais très peu à ce niveau ...
La fin laisse pensé a une éventuelle suite
Puis mise en avant d'un super américain pour mettre un peu le bordel pour que la guerre commence entre les clan
Je m'attendais à beaucoup plus de règlements de comptes mais très peu à ce niveau ...
La fin laisse pensé a une éventuelle suite
Jonathan M
Pour ainsi dire j'avais nécessairement assez peur de la suite de l'opus signé Denis Villeneuve. La force de ce dernier résidé dans un thriller vorace, plongé dans une actu brûlante moderne, sur un sujet (les cartels) mainte fois exploité. Mais Sicario était à part, car montrant la réelle complexité de cette frontière sulfureuse. Mais le liant entre les deux films n'est autre que le scénariste - Taylor Sheridan - qui maîtrise parfaitement son sujet. Le caractère aléatoire et le montage psychologique qui est fait sur ce malfrat nouvelle génération, le portrait touchant du personnage interprété par Benicio del Toro, combiné avec la non-cohérence de l'action américaine, donne une suite franchement aboutie. Seul regret persiste : Emily Blunt manque.
Que dire de cette suite ... hormis que même Benicio Del Toro n'y croyait pas lui même l'intérêt avant d'avoir le scénario en main. Au final bonne surprise, mais pas à la hauteur du premier.
Une violence parfois inutile. La violence peut être légitime si elle apporte un impact au récit, mais elle sert ici uniquement a impressionner sans qu’elle n’ai de répercussions dans la suite de l’histoire, notamment la scène spoiler: d’attentat au début du film qui nous replonge dans l’horreur des attente de ces dernières années. Des moments crus sans moral qui auraient pu être courageux si ils étaient utiles à la suite
. Cette violence tombe parfois dans le mauvais goût pour le réalisateur qui a force de vouloir narrer un monde brutal, se centre sur des épisodiques actes de violences qui n’apportent rien hormis la sensation déjà bien connu et téléphoné de l'univers sanglant des cartels de la drogue.
Cette suite se montre moins politique qu'elle n'y paraît dès ses premières minutes, et se centre d'avantage sur les relations entre les personnages. Moins de travail dramatique dans la prestation de Del Toro cette fois-ci plus vu comme un père vengeur mais un repenti. Josh Brolin est cette fois-ci le héros chevaleresque contrairement au précédent film ou il incarne un être cynique ambigu ... Il ne faut donc pas chercher a voir une logique entre les personnalités des personnages vu dans le 1 et le 2. Nouvelle histoires, nouveaux intérêts, nouvelle mission.
Le principal problème du film demeure son scénario, moins maîtrisé que le 1. On se perd très vite dès le milieu du film. On présente une guerre contre les cartels sous fond de lien avec le terrorisme, alléchant jusqu’a la, la tension monte encore quand il s’agit de manipuler un puissant baron en kidnppant sa fille avec l’aide d’Alejandro (Benicio Del Toro) qui a désormais l’occasion de se venger jusqu’à la source de tout ses malheurs. spoiler: Il n’en est rien, le lien avec le terrorisme s’arrête aussi brutalement qu’il a commencé et offre au final un film dont les intrigues dévoilées dès le début sont inachevées, pire encore le personnage de Benicio Del Toro, froid et implacable dans le premier film, devient d’un coup épris de tendresse pour on ne sait quelle raison avec la fille de son bourreau
. Au final, on assiste à une fin qui n’apporte rien au thème du film (terrorisme et cartels, vengeance contre le barons) alors qu'il y avait du potentiel à dire sur ces sujets. Contrairement au premier opus de Denis Villeneuve, on perd rapidement l'intérêt que le film souhaite nous montrer, à cause d’un fil conducteur mal amené. Au final, un bon film très bien mise en scène, on sent l'aisance du réalisateur dans ce genre de sujet et sa filmographie ne fait que conforter cette idée (Gomorra, Suburra). La photographie est aussi sublime que dans le 1er et la musique aussi angoissante, la tension installée remue les entrailles mais les incohérences narratives gâchent un peu cette suite, dommage !
Une violence parfois inutile. La violence peut être légitime si elle apporte un impact au récit, mais elle sert ici uniquement a impressionner sans qu’elle n’ai de répercussions dans la suite de l’histoire, notamment la scène spoiler: d’attentat au début du film qui nous replonge dans l’horreur des attente de ces dernières années. Des moments crus sans moral qui auraient pu être courageux si ils étaient utiles à la suite
. Cette violence tombe parfois dans le mauvais goût pour le réalisateur qui a force de vouloir narrer un monde brutal, se centre sur des épisodiques actes de violences qui n’apportent rien hormis la sensation déjà bien connu et téléphoné de l'univers sanglant des cartels de la drogue.
Cette suite se montre moins politique qu'elle n'y paraît dès ses premières minutes, et se centre d'avantage sur les relations entre les personnages. Moins de travail dramatique dans la prestation de Del Toro cette fois-ci plus vu comme un père vengeur mais un repenti. Josh Brolin est cette fois-ci le héros chevaleresque contrairement au précédent film ou il incarne un être cynique ambigu ... Il ne faut donc pas chercher a voir une logique entre les personnalités des personnages vu dans le 1 et le 2. Nouvelle histoires, nouveaux intérêts, nouvelle mission.
Le principal problème du film demeure son scénario, moins maîtrisé que le 1. On se perd très vite dès le milieu du film. On présente une guerre contre les cartels sous fond de lien avec le terrorisme, alléchant jusqu’a la, la tension monte encore quand il s’agit de manipuler un puissant baron en kidnppant sa fille avec l’aide d’Alejandro (Benicio Del Toro) qui a désormais l’occasion de se venger jusqu’à la source de tout ses malheurs. spoiler: Il n’en est rien, le lien avec le terrorisme s’arrête aussi brutalement qu’il a commencé et offre au final un film dont les intrigues dévoilées dès le début sont inachevées, pire encore le personnage de Benicio Del Toro, froid et implacable dans le premier film, devient d’un coup épris de tendresse pour on ne sait quelle raison avec la fille de son bourreau
. Au final, on assiste à une fin qui n’apporte rien au thème du film (terrorisme et cartels, vengeance contre le barons) alors qu'il y avait du potentiel à dire sur ces sujets. Contrairement au premier opus de Denis Villeneuve, on perd rapidement l'intérêt que le film souhaite nous montrer, à cause d’un fil conducteur mal amené. Au final, un bon film très bien mise en scène, on sent l'aisance du réalisateur dans ce genre de sujet et sa filmographie ne fait que conforter cette idée (Gomorra, Suburra). La photographie est aussi sublime que dans le 1er et la musique aussi angoissante, la tension installée remue les entrailles mais les incohérences narratives gâchent un peu cette suite, dommage !
Nyns
Quand on se voit obligé d'aller voir la suite d'un film qui ne nous a pas franchement emballé, ça en dit long sur l'offre ciné un été de coupe de monde... Bref, (il y a quand même de quoi cibler ceux qui ne sont pas très foot). D'accord pour les plans larges en arrivée de Juarez puis l'atterrissage impressionnant d'un hélicoptère et enfin les plans filmés en caméra thermique, mais sinon le scénario de Sicario ne m'a pas marqué. Sa suite reprend exactement les données que je viens de citer comme s'il y avait eu un cahier des charges laissé par Villeneuve... Puis Brolin et Del Toro sont encore là. Mais ça ne fait pas tout. Une histoire d'enlèvement sur fond de terrorisme passe limite, le fait que le film ne raconte pas grand chose ensuite et nous ramène à quelque chose de bien plus intime et solitaire me dérange vraiment. Et je crois me souvenir que c'était la même chose précédemment. En plus la VF, une horreur. Pour signaler à quel point elle est ridicule, une grande partie des dialogues des mexicains se retrouvent... En espagnol. Un supplice (la gamine qui passe de sa doublure française très mielleuse, à sa véritable voix ça ne va mais alors pas du tout les amis). Par contre j'ai envie de dire les 10 dernières minutes sauvent presque a elles seules le film. Une situation terriblement incongrue est développée, gage d'une suite qui donne envie. Fan de Benicio que je suis ne pouvais que s'en réjouir. Stefano Sollima suit pas à pas la démarche de Villeneuve qui ne m'avait pas convaincu avec son concept un peu vain de Sicario.
Film rythmé et musclé mais qui apparaît un ton en dessous du volet précédent.
Le thème musical principal du regretté Johannsson est toujours présent contribuant à la sensation d'oppression.
Bon film d'action.
Le thème musical principal du regretté Johannsson est toujours présent contribuant à la sensation d'oppression.
Bon film d'action.
Requiemovies
Le Sicario de Denis Villeneuve ne demandait pas forcément une suite (succès probant critique et public, mais limité). Mais c’est bien connu lorsqu’une ouverture de franchise (à donnée mercantile) s’installe, il faut la saisir au vol, sic. Sur le papier on attendait peu de cette suite, côté équipe artistique, c’est heureusement autre chose. Avant tout, Taylor Sheridan reprend sa plume pour en écrire le scénario, ensuite, derrière la caméra Stefano Sollima, qui a déjà réalisé en plus des séries Romanzo Criminale et Gomorra (ces dernières adaptées des films du même nom) deux longs plutôt intéressants en terre européenne, A.C.A.B (extrêmement prometteur et efficace) puis Suburra (moins poignant mais très percutant, notamment dans sa mise en scène). C’est alors que Sicario : la guerre des cartels s’avère au final une très bonne surprise, puisque sur certains points le film arrive même à surpasser son prédécesseur.
L’arme principale de cette suite, sans être la seule, est évidemment son casting. La magnétique Benicio Del Toro et le charismatique Josh Brolin forme un duo dont la crédibilité ne peut être critiqué. Il semble même que Stefano Soliman n’est pas besoin de beaucoup les diriger tant les deux compères se connaissent et avaient déjà su dessiner leur personnage dans le premier opus. Ajoutons à cela le fait que ce sont de grands comédiens, et l’interprétation qui se dévoile à nos yeux correspond parfaitement à leur personnage dans la crédibilité comme dans l’intensité demandés. Là est la principale force du film, tout comme cette note de réalisme, très présente dans les séries et films du réalisateur, et cette impression constante d’atmosphère oppressante. L’ambiance tendu et étouffante composaient les atouts principaux du film de Villeneuve, ici, la violence hachée, ciselée donne à l’ensemble encore un côté documenté mais au regard un peu plus humain dans les rapports de chacun. Si certains pourront y voir les fibres d’une série B, l’ADN pur du film est tout autre ; tendu et viscéral, où l’action, bien que plus présente, ne sacrifie en rien les enjeux majeurs du film. Sorte de cartographie du fonctionnement des cartels et des états, guerres internes et magouilles politiques en mode off. Si la lecture de l’ensemble peut sembler un peu trop gourmande (richesse du scénario qui complexifie les liens entre tous par excès) rien n’est sacrifié en ce qui concerne la mise en scène et son efficacité redoutable en terme de tension et d’action. En résulte une maestria visuelle, n’en déplaise, et surtout une tension glaçante sur de nombreuses séquences. En sacrifiant la mise en scène plus classique que ce que Denis Villeneuve avait su imposer, Stefano Sollina, dans un autre style, marque le deuxième chapitre de ce qui semble se dessiner comme une trilogie, pas nécessaire à la base mais terriblement efficace, et complémentaire à la fin de ce deuxième chapitre. L’action y est redoutable sans jamais sacrifié le fond, ni la forme du récit, le tout porté par deux comédiens habités et glaçants. requiemovies.over-blog.com
L’arme principale de cette suite, sans être la seule, est évidemment son casting. La magnétique Benicio Del Toro et le charismatique Josh Brolin forme un duo dont la crédibilité ne peut être critiqué. Il semble même que Stefano Soliman n’est pas besoin de beaucoup les diriger tant les deux compères se connaissent et avaient déjà su dessiner leur personnage dans le premier opus. Ajoutons à cela le fait que ce sont de grands comédiens, et l’interprétation qui se dévoile à nos yeux correspond parfaitement à leur personnage dans la crédibilité comme dans l’intensité demandés. Là est la principale force du film, tout comme cette note de réalisme, très présente dans les séries et films du réalisateur, et cette impression constante d’atmosphère oppressante. L’ambiance tendu et étouffante composaient les atouts principaux du film de Villeneuve, ici, la violence hachée, ciselée donne à l’ensemble encore un côté documenté mais au regard un peu plus humain dans les rapports de chacun. Si certains pourront y voir les fibres d’une série B, l’ADN pur du film est tout autre ; tendu et viscéral, où l’action, bien que plus présente, ne sacrifie en rien les enjeux majeurs du film. Sorte de cartographie du fonctionnement des cartels et des états, guerres internes et magouilles politiques en mode off. Si la lecture de l’ensemble peut sembler un peu trop gourmande (richesse du scénario qui complexifie les liens entre tous par excès) rien n’est sacrifié en ce qui concerne la mise en scène et son efficacité redoutable en terme de tension et d’action. En résulte une maestria visuelle, n’en déplaise, et surtout une tension glaçante sur de nombreuses séquences. En sacrifiant la mise en scène plus classique que ce que Denis Villeneuve avait su imposer, Stefano Sollina, dans un autre style, marque le deuxième chapitre de ce qui semble se dessiner comme une trilogie, pas nécessaire à la base mais terriblement efficace, et complémentaire à la fin de ce deuxième chapitre. L’action y est redoutable sans jamais sacrifié le fond, ni la forme du récit, le tout porté par deux comédiens habités et glaçants. requiemovies.over-blog.com
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