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virnoni
98 abonnés
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2,5
Publiée le 1 juillet 2018
Une suite pour faire une suite. Rien à se mettre sous la dent côté scénario. C'est assez plat,l'enlèvement de la fille du chef de cartel prenant au final tout le film, sans véritablement enjeu si ce n'est sauver ou tuer cette jeune demoiselle. Choisissez votre camp. On ne comprend plus qui fait quoi et leurs motivations. Reste la relation entre le personnage de Benicio Del Toro et la jeune fille enlevée. Il créé également un personnage assez mystique, qui pourrait même bénéficier de sa propre saga tant ce personnage a tout du mythe : charismatique sans un mot, brutal mais tendre avec cette jeune fille, un survivant de tout. Benicio donne tout encore dans ce rôle ambigu. Il est juste géant! Josh Brolin tire également son épingle du jeu, de manière plus classique mais avec comme d'habitude son physique impressionnant, son interprétation toujours juste. Le duo qu'il forme avec Benicio a pris de l'ampleur et leurs scènes sont les plus intéressantes. Dommage qu'elles soient peu nombreuses au final. Reste également un joli visuel, les scènes d'action sont musclées et prenantes, réelles et stressantes. Le film propose une vision assez glauque au final, noire, sans subtilité. spoiler: La fin laisse présager un 3ème opus et explique peu de choses. .
Histoire de mettre les choses bien au clair avant de commencer, je tiens à préciser que je n’ai vraiment pas aimé « Sicario » premier du nom. Mais alors vraiment pas du tout. C’est dire, seulement trois ans après, je ne m’en souviens déjà plus et il m’a fallu relire ma critique de l’époque pour revoir des bribes ressurgir de mes souvenirs. Maintenant que j’ai dit cela, une question doit certainement émerger dans votre esprit. Cette question, c’est sûrement : « Mais pourquoi diable est-il allé voir cette suite alors que le premier opus l’a débecté ? » Eh bien, sachez mes cher(e)s ami(e)s qu’en fait, dans mon esprit, je ne suis pas allé voir la suite du film de Denis Villeneuve, je suis plutôt allé voir le nouveau long-métrage de Stefano Sollima. Parce que oui, après tout il n’y a pas de raison : d’habitude je n’aime pas les films de Denis Villeneuve, donc le problème vient peut-être davantage de lui que de l’univers de « Sicario ». Non ? Ah ça vous parait tordu comme raisonnement ? Eh bah regardez pourtant la mise que je viens de récolter sur ce pari là ! Ah ça ! Le Stefano Sollina, il ne m’a pas déçu ! Il faut dire qu’après avoir vu « Suburra », j’avais du mal à voir comment la maestria de ce type là ne pourrait pas ressortir dans un univers comme celui de « Sicario ». Et franchement, ça se ressent dès les premiers plans. Il y a dès cette introduction un véritable sens de la mesure. On n’en fait pas trop. On questionne en permanence ce que dit l’image. On n’en montre pas trop. Suffisamment pour le spectateur comprenne ce qui se passe et saisisse la tension qui monte. Mais pas trop non plus afin que la scène puis être sèche et bien impactante. Et s’il faut chercher quelques maladresses dans ce film, c’est bien dans le début qu’elles se trouvent (notamment dans la gestion des attaques terroristes). Mais une fois la machine lancée en plein guerre des cartels, alors là, ça commence à envoyer de plus en plus du lourd. Sorte de croisée des chemins entre « Zero Dark Thirty », « Traffic » et… – bah « Sicario » premier du nom ! – cette « Guerre des cartels » s’impose progressivement comme une sorte de « thriller de guerre », terme que j’ai moi-même du mal à valider mais qui témoigne quand-même à mon sens l’étrange atmosphère dans laquelle finit par nous plonger ce film. Et si au départ j’étais un petit peu sur ma réserve à cause d’un scénario très « América Fock Yeah », je me suis mis à découvrir petit à petit que la démarche de Stefano Sollina était bien totalement aux antipodes de cela. Au contraire, à nous montrer ces Etats-Unis emmuraillés, agressifs, et destructeurs de leur propre droit, Sollina ne nous fait pas la peinture d’une Amérique toute puissante et légitime dans sa démonstration de force. Au contraire, il nous dépeint un empire qui s’effrite et qui est en train de prendre conscience comment toutes ses exactions passées deviennent aujourd’hui les raisons de son effondrement progressif et presque inexorable. Plus ce film avance, et plus il ébauche un monde nouveau autour de cette frontière. Il ébauche une nouvelle féodalité face auxquels les Empires et autres Républiques sont déjà des pantins désarticulés ; une féodalité dans laquelle les rapports de force se recomposent à échelle d’hommes et de femmes ; et surtout une féodalité face à laquelle chaque individu est amené à se choisir un camp sans forcément que ce soit la question éthique qui soit à la base de ce choix. Et si je parle de peinture depuis un certain moment ce n’est pas un hasard. Ce film est plastiquement magnifique. La photographie est un pur régal pour les esthètes. La grammaire cinématographique ici employée est une démonstration de maitrise devenue très rare de nos jours. Certaines scènes – surtout sur la fin – sont d’une virtuosité que moi je trouve éclatante d’évidence (spoiler: Je pourrais en citer vingt, mais je retiendrai personnellement la lutte finale entre les deux hélicos et les deux voitures de trafiquants ). En plus, il y a dans ce film d’excellentes idées (spoiler: comme le fait de faire mourir le personnage d’Alejandro. Ça rajoute de la crudité au film en rompant avec la logique du sauvetage attendu ). Bon certes, il y a parfois des idées un peu plus discutables (spoiler: comme le fait de ne pas faire mourir Alejandro… Est-il nécessaire que j’explique pourquoi ? ) Mais bon c’est toujours justifié par des exploitations pertinentes donc ça passe. (spoiler: Moi, ce dernier plan du film avec – donc toujours lui – Alejandro. J’ai trouvé ça juste dantesque. ) En somme – et j’avoue que j’en suis le premier surpris – je trouve ce film vraiment exceptionnel. Ce n’est pas compliqué, à peine j’en sors que j’ai déjà envie d’y retourner. Ce n’est pas par fascination morbide pour les grands gangsters ou par goût pour l’effusion de sang. Non. Vraiment, je trouve qu’il y a vraiment quelque-chose de visionnaire (et de somptueusement visuel là-dedans) dans ce film. Et c’est vraiment cela qui en fait l’un de mes gros coups de cœur de l’année. Bon après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
Effet visuel grandioses, scènes d'actions réussies, force et puissance des affrontements, formules lapidaires de "vrais mecs"... désert hostile comme principal décor : tous les éléments d'un bon film d'action sont réunis. Or, après le film "Sicario" de Denis Villeneuve, on attendait autre chose, des personnages denses et qui émettent des doutes sur ce qu'ils font, par exemple ! Ici, rien de tout ça. Shéridan, à l'écriture, a conçu des figures monolithiques plus que des personnages. Ils ont beau être excellents, l'intrigue ne décolle pas. Tout se passe entre les quelques personnages principaux, avec amitiés viriles, fâcheries et trahisons, avec des rebondissements façon "24H chrono". Les cartels : où sont-ils ? ils se réduisent à des mexicains qui braillent avant de se faire buter systématiquement. Par ailleurs, le début laisse entrevoir une enquête sur les chemins empruntés par Al-Qaida au Mexique pour rejoindre les Etats-Unis, mais sans suite (et puis, c'est assez fatigant que dans les films US, les seuls musulmans qu'on voit dans la prière sont ceux qui vont commettre des actes terroristes !). Ce volet ne vaut que pour introduire sans doute... une troisième partie ?
Taylor Sheridan signe un scénario particulièrement dense, qui aurait pu devenir très vite fouilli mais après un prologue efficace de mise en place des tenants et aboutissants le film se recentre sur une mission bien précise. Outre le scénario qui découpe un peu le récit en trois parties (prologue, la guerre des cartels et le "nettoyage") Stefano Sollima impose un rythme musclé, plus agressif que dans le premier grâce à une mission où "presque" tous les coups sont permis. Pas de quartier, pas de pitié et des soldats de par et d'autre qui sont pourtant les pions des corruptions et des conditions médiatico-politique. Bientôt le 3... Site : Selenie
La chieuse du FBI et ses questions gênantes (" On a le droit de faire ça ? ", "C'est légal, ça?" ) ayant été dégagée, on se retrouve entre vrais mecs et la règle, " c'est qu'y a pas de règles ". Bémol : Sheridan a délégué son job à un stagiaire et y a pas de scénario non plus, juste un prétexte à quelques fusillades filmées efficacement mais sans génie. Pire: aucun morceau de bravoure comme en regorgeait le film de Villeneuve. Restent, c'est peu mais il faudra s'en contenter, la cinégénie du désert et le jeu de plus en plus dépouillé (dans un rôle quasiment mutique) de Benicio del Toro.
Les cartels sud-américains ont évolué, ils ne trafiquent plus la drogue mais les migrants… La seule présence du captivant Benicio Del Toro est l’atout majeur de cette suite globalement inutile, qui laisse annoncer un troisième opus sans grand intérêt non plus. La brutalité de notre monde sans merci est visuellement bien mise en scène par Stefano Sollima. Rien de nouveau sous le soleil du Mexique.
C'est un film solide et efficace. Bien qu'il ne soit pas révolutionnaire, le film assure sa fonction sans aucun doute qui est de maintenir sous tension tout du long. Le casting est solide avec bien sur deux têtes d'affiche qui se détache assez largement.
« Sicario 2 La Guerre des Cartels » de Stefano Sollima- La chronique qui a une carte à jouer !
C’est perplexe que l’on ressort de la séance de ce second volet de Sicario. Déjà la traduction française induit en erreur, le titre original étant « le jour du soldat » (Day of Soldado) et non « la guerre des cartels » ce qui est plus juste.
Perplexe car le film plutôt réussi et intéressant ne transcende pas son matériau de base. Certes c’est un actionner excitant, plus nerveux que le premier opus. Mais que l’on y gagne en nervosité on le perd en intensité, on y reviendra plus bas. Le premier Sicario réalisé par Denis Villeneuve était maîtrisé dans sa réalisation (un chef-d’œuvre de réalisation et de technicité) et proposait une atmosphère étouffante et humide mais s’enlisait avec son personnage principal pleurnichard, jouée par une Emily Blunt en demi-teinte, au détriment des excellents Josh Brolin et Benicio Del Toro. On était ressorti de la salle avec un sentiment de frustration aiguë, convaincu d’être passé à côté d’un grand film.
Pour cette suite, exit Villeneuve (ouch !) et exit Blunt (ouf!), welcome to Stefano Sollima (« ACAB » et « Suburra ») et on garde la paire Brolin/Del Toro (yesss !) qui voit son importance renforcée.
Si l’on perd donc l’intensité de la réalisation d’un Denis Villeneuve que Sollima n’égale pas sur ce point, loin s’en faut, il faut avouer que ce dernier y apporte une viscéralité plus immédiate et une efficacité qui faisait défaut au canadien. Les scènes s’enchaînent sans temps mort avec une envie d’en découdre. Du coup, le métrage est prenant et t’embarque vers un voyage sans retour en terre mexicaine. C’est l’actoring qui est la réussite principale du film. Brolin et Del Toro y sont magistraux. Leurs scènes partagées proposent de grands moments vibrants de cinéma et c’est avec délice que l’on se laisse glisser dans leurs bras quitte à y récolter le baiser vénéneux de leurs étreintes mortifères. Par moment, ça sonne comme du Pacino/De Niro période « Heat ». Pas moins. C’est dire. L’autre surprise venant de la jeune Isabela Moner qui joue la fille d’un baron de la drogue et dont le jeu mêle force et fragilité avec une facilité déconcertante.
Beaucoup de belles choses donc dans un amoncellent de thématiques. Et c’est principalement ici que le bât blesse. Taylor Sheridan, le scénariste surdoué du premier opus et de l‘excellent « Comancheria » pêche ici par excès.
Le sentiment que le film change systématiquement de direction et ne va jamais au bout de son propos est déroutant. Je déroule, prenez votre respiration : Débuter sur une attaque terroriste d’islamistes sur le sol américain puis enchainer sur le déclenchement d’une guerre entre cartels au Mexique pour finalement devenir une chasse à l’homme - tout en proposant une réflexion sur la paternité - et terminer en survival, cela fait beaucoup pour un seul et même film et donne l’impression d’assister à un film pas abouti. C’est frustrant et c’est dommage.
De plus, si le film reste plaisant, il n’imprégnera pas de manière aussi durable les rétines comme avait réussi à le faire Denis Villeneuve avec son premier opus, les plans sont moins définitifs, la photographie moins somptueuse.
Cependant, « Sicario La Guerre des Cartels » est un bon summer movie décomplexé qui ne se prend pas la tête et distraie efficacement. Ne boudons donc pas le plaisir mais souhaitons le troisième volet soit plus resserré dans son propos.
L'excellent Denis Villeneuve fait confiance à Stefano Sollima (dont j'entends le nom pour la première fois) pour réaliser une suite à son magistral « Sicario ». S'il est bien légitime de s'interroger sur l'utilité d'un nouvel épisode, on est rapidement rassuré par les bonnes intentions de ce cinéaste inconnu. En effet, la tension s'installe dès les premières minutes et ne fait qu'augmenter tout au long du film qui se révèle tout aussi sombre et violent que son prédécesseur. L'action est omniprésente et on ne peut que se passionner pour cette intrigue qui ne manque pas de réalisme. On imagine parfaitement les tensions extrêmes qui empoisonnent les relations entre le Mexique et les USA, véritable paradis pour les nombreux immigrants qui tentent en permanence de franchir la frontière. Entre immigration clandestine et trafic de drogues, les cartels s'enrichissent sur le dos des pauvres Mexicains, totalement dépassés par la violence et la corruption qui les entourent. Heureusement (ou pas), l'oncle Sam n'est jamais très loin...
Un thriller brutal, efficace et bien interprété qui souffre d'un scénario boursouflé qui finit par s'effondrer. Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr
La suite de Sicario se déroule plusieurs années après le premier film et pour lequel on retrouve les personnages de Josh Brolin et Benicio Del Toro... pour notre plus grand plaisir. Cette fois-ci, un film autour de la guerre des cartels et la lutte pour protéger la fille d'un grand trafiquant. Moins impressionnant que le film de Villeneuve, on ressent toutefois un certain plaisir à suivre ces personnages et cette histoire. Certaines séquences seront très impressionnantes et ne sont pas pour les âmes sensibles. Bref : un film sur les cartels.
Après le brillant premier opus signé Denis Villeneuve, la déception est totale après visionnage de la suite. Le film est d'une prétention et d'une arrogance scandaleuses, alors que la production finale est au même niveau qu'une franchise Seagal. Le film est bavard, la photographie est ratée car bien trop saturée, l'ensemble souffre d'un manque de rythme terrible. Et que dire des invraisemblables incohérences...spoiler: (Del Toro qui, après s'être fait tiré dans la tête, marche péniblement dans le désert et tombe subitement sur les voitures criblées de balles par Brolin et sa bande... après une poursuite en hélico qui a sans doute duré plusieurs dizaines de minutes... A-t-il pris un passage spatio temporel ? L'hélicoptère a-t-il fait du sur place ? La question demeure...) , et des faiblesses du scénario, tant au début, qu'au milieu, qu'à la fin. Le film se termine en une apothéose de niaiserie, et les acteurs peinent à masquer leur gêne de participer à cette mascarade. Seule éclaircie dans la nuit hollywoodienne, la très jeune actrice qui interprète la fille de Reyes qui dégage une aura incroyable. A suivre car on ne voit pas ça tous les jours.
Voir S. Sollima succéder à D. Villeneuve était au moins l'assurance de voir un metteur en scène plus intéressé par ce qu'il filme que par les louanges qu'on peut lui tresser après. Le départ de R. Deakins offre aussi des images un peu moins époustouflantes, mais le choix de mettre D. Wolski est loin d'être mauvais, il ne faut pas abuser. L'histoire de T. Sheridan est aussi plus labyrinthique, plus explicite dans son propos, mais moins fluide dans son déroulé (ou alors je n'ai pas été assez attentif à tout). Reste que que c'est bien écrit, avec des dialogues suffisamment explicites et une mise en scène qui illustre avec brio ce qui est dit. Donc, visuellement, c'est bien plus complet, les acteurs sont excellents, l'histoire est intéressante, on est face à un thriller d'action vibrant, tendu et bien mené, avec des personnages qui ont aussi plus de chair. Celui de Del Toro devient ainsi plus humain, une scène suffisant à le nuancer, à en faire plus un humain qu'une fonction. C'est beau, c'est noir, c'est violent, c'est une très bonne suite et j'espère que Sollima reviendra vite pour un autre film, après avoir laissé une carte de visite assez impressionnante pour son essai hollywoodien. D'autres critiques sur thisismymovies.over-blog.com
J'ai vu un film... qui m'a beaucoup marqué par la qualité de l'histoire et du jeu de comédiens. Ce film traite du trafic d'humains, des guerres de cartels et de la manipulation des Etats pour maîtriser tout cela. Les images sont parfois dures, intenses et franchement fortes. Les personnages sont intéressants, désabusés, par un cadre qui les dépassent. C'est un film prenant, fort et intenses, et qui monte en puissance tout au long de l'histoire. J'ai une affection particulière pour Bénicio Del Toro et là, je le trouve vraiment puissant, dans son personnage. Et Josh Brolin est vraiment charismatique... Un excellent film...
Trop occupé par les tournages de ses grandes œuvres « Premier contact » et « Blade Runner 2049 », Denis Villeneuve a laissé sa place à Stefano Sollima pour la suite du glaçant « Sicario ». Emily Blunt n’est plus de la partie non plus. Le scénario est pourtant tout aussi anxiogène. L’agent fédéral Matt Graver fait appel au mystérieux Alejandro Gillick, Benicio del Toro, pour organiser le kidnapping d’une jeune fille afin de déclencher une guerre fratricide entre les deux plus gros gangs d’un cartel à la frontière du Mexique et des Etats-Unis. Les scènes d’action sont haletantes, comme celle de l’embuscade du convoi de Humvees. Pourtant et encore une fois, la valeur ajoutée du film est bien la non-action. Le réalisateur étire au maximum la tension pour introduire ses séquences ultra-violentes. Une suite moins complexe mais tout autant efficace. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com