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Après "Le Concert" et "La Source des femmes", Radu Mihaileanu réalise une lumineuse fresque romanesque, aussi espiègle que grave, qui embrasse généreusement personnages, pays et époques.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le réalisateur de Vas, vis et deviens et du Concert aime les vastes fresques qui font voyager les sentiments à travers les tragédies de l'histoire. Il est porté par une inspiration généreuse, il déborde de vitalité chaleureuse, et son invitation lyrique à célébrer les cœurs sincères et l'amour durable ne peut laisser insensible.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
On passe d’une époque à l’autre, d’une Alma à l’autre, avec une construction plus proche de la série télé que du cinéma. Mais la beauté fraîche et la générosité de jeu de Gemma Arterton emporte dans son sillage les circonvolutions un peu langoureuses du scénario sur fond de violons.
La critique complète est disponible sur le site Elle
Radu Mihaileanu ("La Source des femmes"), en adaptant le roman de Nicole Krauss, brasse plusieurs destins et plusieurs périodes. C’est ambitieux, trop ambitieux : on perd parfois le fil, mais la présence de Gemma Arterton illumine le film.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Sans se départir d’une efficacité trempée dans l’eau bénite, l’emphatique Radu cavale avec sa caméra à la manière de Luc Besson et flatte les anciens tout en tentant d’harponner le public adolescent (...). Sa chance : s’appuyer sur un récit béton et des comédiens légendaires.
Les points forts du film sont principalement dus au jeu des intérprètes, tous excellents, Derek Jacobi en particulier, et au travail très élaboré sur les éclairages signés Laurent Dailland. En revanche, la musique composée par Armand Amar est très envahissante et nuit parfois au propos plutôt touchant des auteurs.
Un embrouillamini romanesque, où les destins se croisent comme dans un film de Lelouch et qui, au lieu de la grande fresque universaliste projetée, se résout en roman de gare…
Radu Mihaileanu, à qui l'on doit « Va, vis et deviens » et « le Concert », semble n'avoir pas mesuré la complexité de son entreprise inspirée d'un roman. Le spectateur est confronté à une intrigue labyrinthique en dépit de la rayonnante Gemma Arterton.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Une narration qui, hélas, ne masque en rien la cucuterie de ses propos sur l'amour, la mort, le nazisme ou la littérature. Et empêche l'humour, pilier habituel de son cinéma, de se déployer pleinement.
Le professionnalisme grandiloquent du réalisateur de "Train de vie" n’aboutit qu’à une tambouille sans goût où se noie toute trace de sincérité des sentiments et du rapport au temps.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cette construction acrobatique, qui met en abîme un roman écrit dans un shtetl biélorusse avant la Shoah et le New York des années 2000, est ici peuplée de caractères sans autre épaisseur que le stéréotype auquel ils renvoient.
Parmi ces destins mis en pièce par l’Holocauste, difficile de faire plus lacrymal que cette série de hasards fortuits et d’invraisemblables chassés-croisés dont le cinéaste tire avec une délectation palpable les ficelles outrancières.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Le réalisateur Radu Mihaileanu (...) retombe, hélas, dans l'emphase et la grandiloquence de son film précédent, "Le Concert". Deux fois il déclenche une averse torrentielle, avec avalanche de violons, pour signifier l'effondrement intérieur du (ou des) personnage(s). Deux fois de trop.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ouest France
Une grande fresque romantique inscrite dans l'Histoire pour rire et pleurer. Et se dire que l'amour est toujours un espoir.
La Croix
Après "Le Concert" et "La Source des femmes", Radu Mihaileanu réalise une lumineuse fresque romanesque, aussi espiègle que grave, qui embrasse généreusement personnages, pays et époques.
Le Figaro
Le réalisateur de Vas, vis et deviens et du Concert aime les vastes fresques qui font voyager les sentiments à travers les tragédies de l'histoire. Il est porté par une inspiration généreuse, il déborde de vitalité chaleureuse, et son invitation lyrique à célébrer les cœurs sincères et l'amour durable ne peut laisser insensible.
Elle
On passe d’une époque à l’autre, d’une Alma à l’autre, avec une construction plus proche de la série télé que du cinéma. Mais la beauté fraîche et la générosité de jeu de Gemma Arterton emporte dans son sillage les circonvolutions un peu langoureuses du scénario sur fond de violons.
L'Obs
Radu Mihaileanu ("La Source des femmes"), en adaptant le roman de Nicole Krauss, brasse plusieurs destins et plusieurs périodes. C’est ambitieux, trop ambitieux : on perd parfois le fil, mais la présence de Gemma Arterton illumine le film.
La Voix du Nord
Sans se départir d’une efficacité trempée dans l’eau bénite, l’emphatique Radu cavale avec sa caméra à la manière de Luc Besson et flatte les anciens tout en tentant d’harponner le public adolescent (...). Sa chance : s’appuyer sur un récit béton et des comédiens légendaires.
Paris Match
L'exercice est difficile, et Radu Mihaileanu s'en tire bien, même si son embarcation cinématographique est parfois lourde à manœuvrer.
Positif
Les points forts du film sont principalement dus au jeu des intérprètes, tous excellents, Derek Jacobi en particulier, et au travail très élaboré sur les éclairages signés Laurent Dailland. En revanche, la musique composée par Armand Amar est très envahissante et nuit parfois au propos plutôt touchant des auteurs.
L'Express
Début trop long, fin expédiée.
Le Dauphiné Libéré
Un embrouillamini romanesque, où les destins se croisent comme dans un film de Lelouch et qui, au lieu de la grande fresque universaliste projetée, se résout en roman de gare…
Le Parisien
Radu Mihaileanu, à qui l'on doit « Va, vis et deviens » et « le Concert », semble n'avoir pas mesuré la complexité de son entreprise inspirée d'un roman. Le spectateur est confronté à une intrigue labyrinthique en dépit de la rayonnante Gemma Arterton.
Les Fiches du Cinéma
Entre excès et sincérité, Mihaileanu s'emmêle dans un appel vibrant aux valeurs fondamentales de l’humanité.
Studio Ciné Live
Une narration qui, hélas, ne masque en rien la cucuterie de ses propos sur l'amour, la mort, le nazisme ou la littérature. Et empêche l'humour, pilier habituel de son cinéma, de se déployer pleinement.
Voici
Un film choral indigeste, peu subtil.
Critikat.com
Le professionnalisme grandiloquent du réalisateur de "Train de vie" n’aboutit qu’à une tambouille sans goût où se noie toute trace de sincérité des sentiments et du rapport au temps.
Le Monde
Cette construction acrobatique, qui met en abîme un roman écrit dans un shtetl biélorusse avant la Shoah et le New York des années 2000, est ici peuplée de caractères sans autre épaisseur que le stéréotype auquel ils renvoient.
Libération
Parmi ces destins mis en pièce par l’Holocauste, difficile de faire plus lacrymal que cette série de hasards fortuits et d’invraisemblables chassés-croisés dont le cinéaste tire avec une délectation palpable les ficelles outrancières.
Télérama
Le réalisateur Radu Mihaileanu (...) retombe, hélas, dans l'emphase et la grandiloquence de son film précédent, "Le Concert". Deux fois il déclenche une averse torrentielle, avec avalanche de violons, pour signifier l'effondrement intérieur du (ou des) personnage(s). Deux fois de trop.