Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
"Souvenir" de Bavo Defurne passe d’un réalisme façon frères Dardenne à un rêve de paillettes réjouissant, idéal en cette fin d’année.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Mélo, rétro, micro : ainsi pourrait-on résumer la délicieuse recette de cette histoire d'amour légère, surannée et charmante, interprétée avec brio et rythmée par une bande originale signée du groupe Pink Martini.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Le Figaro
par La Rédaction
Bavo Defurne dirige le duo avec doigté, juste ce qu'il faut pour rapprocher une femme d'âge mûr et un garçon qui pourrait être son fils. La réalisation léchée dans une époque passée mais indéterminée fait l'éloge du kitsch.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Isabelle Huppert est flamboyante dans ce rôle de chanteuse éteinte qui renaît sur scène, poussée par un jeune collègue.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
C'est léché, drôle et émouvant... Tout doucement.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Parfois, la féérie est dans un verre d’aspirine, la preuve par le générique de "Souvenir" qui a le mérite de placer immédiatement la barre à bonne hauteur. Ni trop haut, ni trop bas. Entre le trivial du quotidien et le glamour des étoiles, allant de la volaille aux feux de la rampe et du firmament au désenchantement.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Louis Guichard
Un charme baroque s'installe, dans une simplicité presque désarmante. Entre prosaïsme et féerie (un alliage assurément belge), sur fond de Pink Martini (le groupe lui aussi un peu oublié qui signe les chansons d'Huppert), "Souvenir" est une fable plus subtile que prévu.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Dans la même veine que le Quand j’étais chanteur de Xavier Giannoli, cette chronique sentimentale placée sous le signe de l’amour et de la musique se déguste délicieusement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Isabelle Huppert, si convaincante en crooneuse qu’on la verrait bien entamer une carrière musicale, est le piment indispensable de cette œuvre modeste et délicate.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Entre Isabelle Huppert et Kévin Azaïs, le courant est passé, et il permet à ce premier film de filer son train. C’est pour eux que l’on peut voir cette gentille sucrerie colorée de rose bonbon qui fait la part belle à des chansonnettes banales ou plaisantes, c’est affaire de goût.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Un film au charme amer, à l’atmosphère surannée dont témoignent la mince moustache qu’arbore Jean le boxeur et la ritournelle ringarde que Liliane répète avec des gestes usés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre nostalgie un peu grise et rêverie un peu rose, un film qui ne manque pas d’un petit charme lancinant, ne serait-ce que dans la façon dont Isabelle Huppert, plus caméléon que jamais, investit son personnage.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Remarquée au Festival de Toronto, cette fable romantique de Bavo Defurne, l’électron libre flamand, s’impose comme l’ovni de la semaine, à la fois léger, kitsch et résolument insolite. On pardonne les invraisemblances du scénario grâce à son charme suranné.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Une idylle asymétrique avec un jeune boxeur (Kevin Azaïs), qui est l’occasion de quelques séquences profondément troublantes.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Une comédie à la fois décalée, tendre et revigorante.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Au lieu de s'en tenir au simple rendu esthétique, le cinéaste aurait gagné à aller au bout de sa logique, soit vers la comédie musicale, soit vers le drame torride. Cela dit, grâce à ses interprètes principaux (...) et grâce à la candeur assumée de ses séquences chantées, ce "Souvenir" laisse une belle empreinte dans notre esprit.
Critikat.com
par Fabien Reyre
Hélas, "Souvenir", malgré son joli potentiel, ne parvient jamais à dépasser le stade des bonnes intentions.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Christophe Foltzer
En lieu et place du Sunset Boulevard qu'il aurait pu être, "Souvenir" se transforme rapidement en petit film du dimanche soir.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un charme agit au début, puis s'estompe au fil d'un scénario terriblement creux et sans enjeu.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Impossible de croire à cette amourette ponctuée de vilains raccords.
Libération
par Didier Péron
Rien ne tient debout dans cette histoire. (...) Y a-t-il vraiment des raisons de s’énerver ? Un peu, si l’on veut bien considérer que le film repose sur une claire hiérarchie entre célébrité et anonymes, et que passer de l’un à l’autre signifie nécessairement une chute, une relégation.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
"Souvenir" de Bavo Defurne passe d’un réalisme façon frères Dardenne à un rêve de paillettes réjouissant, idéal en cette fin d’année.
Femme Actuelle
Mélo, rétro, micro : ainsi pourrait-on résumer la délicieuse recette de cette histoire d'amour légère, surannée et charmante, interprétée avec brio et rythmée par une bande originale signée du groupe Pink Martini.
Le Figaro
Bavo Defurne dirige le duo avec doigté, juste ce qu'il faut pour rapprocher une femme d'âge mûr et un garçon qui pourrait être son fils. La réalisation léchée dans une époque passée mais indéterminée fait l'éloge du kitsch.
Le Parisien
Isabelle Huppert est flamboyante dans ce rôle de chanteuse éteinte qui renaît sur scène, poussée par un jeune collègue.
Ouest France
C'est léché, drôle et émouvant... Tout doucement.
Sud Ouest
Parfois, la féérie est dans un verre d’aspirine, la preuve par le générique de "Souvenir" qui a le mérite de placer immédiatement la barre à bonne hauteur. Ni trop haut, ni trop bas. Entre le trivial du quotidien et le glamour des étoiles, allant de la volaille aux feux de la rampe et du firmament au désenchantement.
Télérama
Un charme baroque s'installe, dans une simplicité presque désarmante. Entre prosaïsme et féerie (un alliage assurément belge), sur fond de Pink Martini (le groupe lui aussi un peu oublié qui signe les chansons d'Huppert), "Souvenir" est une fable plus subtile que prévu.
aVoir-aLire.com
Dans la même veine que le Quand j’étais chanteur de Xavier Giannoli, cette chronique sentimentale placée sous le signe de l’amour et de la musique se déguste délicieusement.
L'Humanité
Isabelle Huppert, si convaincante en crooneuse qu’on la verrait bien entamer une carrière musicale, est le piment indispensable de cette œuvre modeste et délicate.
L'Obs
Entre Isabelle Huppert et Kévin Azaïs, le courant est passé, et il permet à ce premier film de filer son train. C’est pour eux que l’on peut voir cette gentille sucrerie colorée de rose bonbon qui fait la part belle à des chansonnettes banales ou plaisantes, c’est affaire de goût.
La Croix
Un film au charme amer, à l’atmosphère surannée dont témoignent la mince moustache qu’arbore Jean le boxeur et la ritournelle ringarde que Liliane répète avec des gestes usés.
Le Dauphiné Libéré
Entre nostalgie un peu grise et rêverie un peu rose, un film qui ne manque pas d’un petit charme lancinant, ne serait-ce que dans la façon dont Isabelle Huppert, plus caméléon que jamais, investit son personnage.
Le Journal du Dimanche
Remarquée au Festival de Toronto, cette fable romantique de Bavo Defurne, l’électron libre flamand, s’impose comme l’ovni de la semaine, à la fois léger, kitsch et résolument insolite. On pardonne les invraisemblances du scénario grâce à son charme suranné.
Le Monde
Une idylle asymétrique avec un jeune boxeur (Kevin Azaïs), qui est l’occasion de quelques séquences profondément troublantes.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie à la fois décalée, tendre et revigorante.
Les Inrockuptibles
Au lieu de s'en tenir au simple rendu esthétique, le cinéaste aurait gagné à aller au bout de sa logique, soit vers la comédie musicale, soit vers le drame torride. Cela dit, grâce à ses interprètes principaux (...) et grâce à la candeur assumée de ses séquences chantées, ce "Souvenir" laisse une belle empreinte dans notre esprit.
Critikat.com
Hélas, "Souvenir", malgré son joli potentiel, ne parvient jamais à dépasser le stade des bonnes intentions.
Ecran Large
En lieu et place du Sunset Boulevard qu'il aurait pu être, "Souvenir" se transforme rapidement en petit film du dimanche soir.
Studio Ciné Live
Un charme agit au début, puis s'estompe au fil d'un scénario terriblement creux et sans enjeu.
La Voix du Nord
Impossible de croire à cette amourette ponctuée de vilains raccords.
Libération
Rien ne tient debout dans cette histoire. (...) Y a-t-il vraiment des raisons de s’énerver ? Un peu, si l’on veut bien considérer que le film repose sur une claire hiérarchie entre célébrité et anonymes, et que passer de l’un à l’autre signifie nécessairement une chute, une relégation.