Transformers: Rise Of The Beasts : Critique presse
Transformers: Rise Of The Beasts
Note moyenne
2,7
19 titres de presse
20 Minutes
Les Fiches du Cinéma
Ouest France
Dernières Nouvelles d'Alsace
Ecran Large
L'Ecran Fantastique
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Geek
Le Parisien
Les Inrockuptibles
Sud Ouest
Franceinfo Culture
Le Monde
Le Point
Les Echos
Première
Mad Movies
aVoir-aLire.com
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Lorenzo Di Bonaventura a clairement été généreux sur les deux tableaux ce qui permet d’apporter un souffle nouveau à l’univers des Transformers. Optimus Primal, imposant gorille et Airrazor, faucon majestueux doublé par Dorothée dans la version française, sont les plus attachants des nouveaux venus.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Steven Caple Jr. remplit son contrat, signant un blockbuster rythmé, plutôt drôle et immersif, qui est aussi une jolie carte postale de la cordillère des Andes.
Ouest France
par Anaïs Berno
Un savant mélange d'humour et d'action.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Juliette Berliat
Le film évite les longueurs, rythmé aussi bien par les scènes de combats aux chorégraphies fluides et aux décors impressionnants que par les musiques de groupes emblématiques du hip-hop new-yorkais des années 90, tels que le Wu Tang Clan ou Digable Planets. Ce n'est cependant pas une totale réussite à cause de la pauvreté des dialogues.
Ecran Large
par Antoine Desrues
Sans la maestria technique de Michael Bay, Transformers perd beaucoup de sa cinégénie mécanique. Mais Rise of the Beasts compense par le soin porté à son univers, et par l’efficacité de sa course effrénée. Imparfait et régressif, mais diablement satisfaisant pour les grands enfants en manque de gros robots.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Jean-Pierre Andrevon
[...] rien n’a changé concernant la perfection des effets spéciaux (ahurissantes, ces montagnes de ferraille déglinguée se battant comme des samouraïs !), pas plus que le rythme endiablé ni l’empathie fonctionnant au quart de tour pour de jeunes héros porteurs de l’humanisme obligé [...].
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Moins frénétique et visuellement moins délirant que sous l’ère de Michael Bay, ce nouvel épisode introduit une nouvelle espèce de robots Transformers et s’attache à divertir généreusement des fans en quête de plaisir régressif.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Juliette Berliat
Ce premier opus, fortement inspiré de la série d’animation Animutants, s’annonce tout de même très prometteur pour la nouvelle trilogie produite par Paramount Pictures, alors que les précédents films n’avaient pas connu un franc succès au box-office, mis à part Bumblebee.
Le Journal du Geek
par Julie Hay
Sans Michael Bay, la saga continue sur la même ligne et ne se réinvente qu'à de très rares occasions. Les amateurs vont adorer, les autres risquent de rester sur le carreau. Tant pis, c'est avant tout aux fans de la première heure que cette aventure avec les Maximals s'adresse.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par La Rédaction
Clairement, on comprend mieux le scénario si on connaît les jouets ou qu’on a moins de 13 ans, mais le reste du public peut aussi apprécier les effets spéciaux toujours aussi dingues, les batailles homériques entre robots géants, voire le début de critique sociale qui pointe avec le portrait des deux personnages principaux, amenant ici un souffle bienvenu de diversité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Loin des grossières séquences narratives qui parsèment le film, l’émotion est à chercher ailleurs, dans les terres les plus fertiles de la saga : du côté des affrontements invraisemblables devenus soudain lisibles, gracieux même.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Sud Ouest
par Cédric Coppola
Moins clippé que la pentalogie de Michael Bay (...) moins feel good movie que « Bumblebee », ce « Rise of the Beasts » s’assume comme un divertissement pur jus qui, à défaut de surprendre ou de soigner les psychologies des protagonistes, est parfaitement rythmé. Hautement recommandable donc…
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La franchise Transformers au cinéma avait bien démarré avec le premier opus de Michael Bay en 2007, car bourré d’humour et d’effets spéciaux révolutionnaires, dans lequel jouait Shia LeBeouf. Un cinéma "bourrin" mais qui ne se la jouait pas. Mais Rise of the Beasts se prend au sérieux, sur une intrigue manichéenne, comme un vaste film d'animation de SF pour adolescents.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Monde
par Ma. Mt.
Rise of the Beasts opère plusieurs mues : la première est d’ouvrir son casting aux minorités visibles, la seconde de se doter d’une nouvelle gamme de robots, les Maximals, introduits comme protecteurs de la nature. Ces précautions morales n’enlèvent rien à la vraie nature du spectacle : l’hypertrophie conquérante de colosses de titane qui détruisent tout sur leur passage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Philippe Guedj
Rise of the Beasts n'a cinématographiquement pas d'autre intérêt que d'occuper du temps de cerveau disponible entre deux bouchées lasses de popcorn racorni.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Echos
par Adrien Gombeaud
Le septième épisode s'adresse uniquement aux fans ou aux anciens fans nostalgiques de leurs coffres à jouets.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Première
par Sylvestre Picard
Rise of the Beasts ne parvient pas à combler cet écart, ni avec la franchise, ni avec lui-même. Ne reste qu'un film de robots aliens, qui fait simplement son job, et pas trop mal en fait, mais rien de plus.
La critique complète est disponible sur le site Première
Mad Movies
par François Cau
Comment expliquer que ce spectacle grandiose ne provoque absolument aucune émotion, même en 3D ?
aVoir-aLire.com
par Robin Berthelot
Septième service d’un banquet roboratif voire écœurant, Rise of the Beasts est le digne héritier de ses prédécesseurs : interminable, illisible, infantile.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Lorenzo Di Bonaventura a clairement été généreux sur les deux tableaux ce qui permet d’apporter un souffle nouveau à l’univers des Transformers. Optimus Primal, imposant gorille et Airrazor, faucon majestueux doublé par Dorothée dans la version française, sont les plus attachants des nouveaux venus.
Les Fiches du Cinéma
Steven Caple Jr. remplit son contrat, signant un blockbuster rythmé, plutôt drôle et immersif, qui est aussi une jolie carte postale de la cordillère des Andes.
Ouest France
Un savant mélange d'humour et d'action.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Le film évite les longueurs, rythmé aussi bien par les scènes de combats aux chorégraphies fluides et aux décors impressionnants que par les musiques de groupes emblématiques du hip-hop new-yorkais des années 90, tels que le Wu Tang Clan ou Digable Planets. Ce n'est cependant pas une totale réussite à cause de la pauvreté des dialogues.
Ecran Large
Sans la maestria technique de Michael Bay, Transformers perd beaucoup de sa cinégénie mécanique. Mais Rise of the Beasts compense par le soin porté à son univers, et par l’efficacité de sa course effrénée. Imparfait et régressif, mais diablement satisfaisant pour les grands enfants en manque de gros robots.
L'Ecran Fantastique
[...] rien n’a changé concernant la perfection des effets spéciaux (ahurissantes, ces montagnes de ferraille déglinguée se battant comme des samouraïs !), pas plus que le rythme endiablé ni l’empathie fonctionnant au quart de tour pour de jeunes héros porteurs de l’humanisme obligé [...].
La Voix du Nord
Moins frénétique et visuellement moins délirant que sous l’ère de Michael Bay, ce nouvel épisode introduit une nouvelle espèce de robots Transformers et s’attache à divertir généreusement des fans en quête de plaisir régressif.
Le Dauphiné Libéré
Ce premier opus, fortement inspiré de la série d’animation Animutants, s’annonce tout de même très prometteur pour la nouvelle trilogie produite par Paramount Pictures, alors que les précédents films n’avaient pas connu un franc succès au box-office, mis à part Bumblebee.
Le Journal du Geek
Sans Michael Bay, la saga continue sur la même ligne et ne se réinvente qu'à de très rares occasions. Les amateurs vont adorer, les autres risquent de rester sur le carreau. Tant pis, c'est avant tout aux fans de la première heure que cette aventure avec les Maximals s'adresse.
Le Parisien
Clairement, on comprend mieux le scénario si on connaît les jouets ou qu’on a moins de 13 ans, mais le reste du public peut aussi apprécier les effets spéciaux toujours aussi dingues, les batailles homériques entre robots géants, voire le début de critique sociale qui pointe avec le portrait des deux personnages principaux, amenant ici un souffle bienvenu de diversité.
Les Inrockuptibles
Loin des grossières séquences narratives qui parsèment le film, l’émotion est à chercher ailleurs, dans les terres les plus fertiles de la saga : du côté des affrontements invraisemblables devenus soudain lisibles, gracieux même.
Sud Ouest
Moins clippé que la pentalogie de Michael Bay (...) moins feel good movie que « Bumblebee », ce « Rise of the Beasts » s’assume comme un divertissement pur jus qui, à défaut de surprendre ou de soigner les psychologies des protagonistes, est parfaitement rythmé. Hautement recommandable donc…
Franceinfo Culture
La franchise Transformers au cinéma avait bien démarré avec le premier opus de Michael Bay en 2007, car bourré d’humour et d’effets spéciaux révolutionnaires, dans lequel jouait Shia LeBeouf. Un cinéma "bourrin" mais qui ne se la jouait pas. Mais Rise of the Beasts se prend au sérieux, sur une intrigue manichéenne, comme un vaste film d'animation de SF pour adolescents.
Le Monde
Rise of the Beasts opère plusieurs mues : la première est d’ouvrir son casting aux minorités visibles, la seconde de se doter d’une nouvelle gamme de robots, les Maximals, introduits comme protecteurs de la nature. Ces précautions morales n’enlèvent rien à la vraie nature du spectacle : l’hypertrophie conquérante de colosses de titane qui détruisent tout sur leur passage.
Le Point
Rise of the Beasts n'a cinématographiquement pas d'autre intérêt que d'occuper du temps de cerveau disponible entre deux bouchées lasses de popcorn racorni.
Les Echos
Le septième épisode s'adresse uniquement aux fans ou aux anciens fans nostalgiques de leurs coffres à jouets.
Première
Rise of the Beasts ne parvient pas à combler cet écart, ni avec la franchise, ni avec lui-même. Ne reste qu'un film de robots aliens, qui fait simplement son job, et pas trop mal en fait, mais rien de plus.
Mad Movies
Comment expliquer que ce spectacle grandiose ne provoque absolument aucune émotion, même en 3D ?
aVoir-aLire.com
Septième service d’un banquet roboratif voire écœurant, Rise of the Beasts est le digne héritier de ses prédécesseurs : interminable, illisible, infantile.