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Votre avis sur Transformers : le commencement ?
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Voilà la bonne surprise ! Tranformers One est une réussite totale que ce soit dans son animation que son récit.
Le film nous raconte de façon complète et cohérente les débuts de Optimus Prime et Megatron. On y découvre une belle amitié très bien développée jusqu'au déclenchement de leur premier affrontement. L'aventure est géniale et la découverte est magnifique.
Les seuls bémols c'est la VF pas ouf et le perso de Bumblebee qui parle.. Trop.
A part ça, foncez le voir !
Le film nous raconte de façon complète et cohérente les débuts de Optimus Prime et Megatron. On y découvre une belle amitié très bien développée jusqu'au déclenchement de leur premier affrontement. L'aventure est géniale et la découverte est magnifique.
Les seuls bémols c'est la VF pas ouf et le perso de Bumblebee qui parle.. Trop.
A part ça, foncez le voir !
J'ai eu la chance de pouvoir visualiser ce film en avant-première et je ne regrette absolument pas la démarche. Je ne suis pas du tout cinéma ou film en général mais ayant vu tous les films Transformers que sa soit du Bay Univers ou le plus récent Rise of the Beast ... Je dois admettre sans aucune honte que Transformers One est le meilleur d'entre eux. Sans rentrer dans le détail du film et de son scénario, j'ai retrouvé dans ce film un réel effort dans l'introduction permettant aux personnes qui n'ont jamais vu ou connu l'univers de Transformers de comprendre les enjeux autour de l'univers de Transformers. Le pari de faire un reset total est donc pour moi totalement réussi, les personnages sont beaucoup plus attachant et plus moderne correspondant à un humour accessible à tous. J'ai craignais que le film soit plus accès sur les enfants mais je vous rassure que ce n'est pas du tout le cas et soyons honnête ce film est magnifique par sa direction artistique.
Quelle surprise ! En plus de nous offrir une esthétique soignée, Josh Cooley fait l'effort de développer les personnages et nous offre une histoire marquée par une subtile thématique de lutte des classes. J'attends avec impatience le prochain opus.
Fêtons le cinéma
Le passage des prises de vues réelles au tout-numérique laisse le champ libre à la société talentueuse Industrial Light & Magic, fondée par George Lucas en 1975. Le paradoxe tient pourtant à ce qu’une telle conversion rende le film visuellement lisse, là où les précédents volets tiraient de la confrontation entre le vrai et le faux une présence plus authentique à l’écran : le déferlement des séquences d’action, bien réalisées au demeurant, assomme un spectateur qui n’a le temps de reprendre son souffle que lors des sempiternelles blagues lourdingues, second degré révélateur d’un assujettissement de la saga aux codes dictés par l’écurie Marvel. Ce déficit est compensé par un scénario davantage fourni, qui étoffe la caractérisation des personnages robotiques en cultivant leur ambivalence voire leur ambiguïté : l’idée principale d’une
spoiler:
conquête du pouvoir par des robots mineurs
, contraints jusqu’alors à la vie laborieuse en souterrain, ne pouvant ni se transformer ni voler, oppose de façon certes manichéenne les rouages (techniques) et le cœur (sensible) pour sanctifier ce dernier. La question environnementale est également posée, avec la reprise des motifs du tri sélectif et la destruction de la nature…
De belles idées sur le papier, qui demeurent artificielles et gonflées par les innombrables courses, attaques et castagnes au son industriel de Brian Tyler. En somme, le succès critique et public de Transformers One tient certainement davantage au rejet de Michael Bay et de son cinéma tourné vers l’action, position aujourd’hui au goût du jour, qu’à sa valeur véritable.
, contraints jusqu’alors à la vie laborieuse en souterrain, ne pouvant ni se transformer ni voler, oppose de façon certes manichéenne les rouages (techniques) et le cœur (sensible) pour sanctifier ce dernier. La question environnementale est également posée, avec la reprise des motifs du tri sélectif et la destruction de la nature…
De belles idées sur le papier, qui demeurent artificielles et gonflées par les innombrables courses, attaques et castagnes au son industriel de Brian Tyler. En somme, le succès critique et public de Transformers One tient certainement davantage au rejet de Michael Bay et de son cinéma tourné vers l’action, position aujourd’hui au goût du jour, qu’à sa valeur véritable.
Bon film animation est très bien réussi
L’histoire est bien amenée et le doublage est assez bon
L’histoire est bien amenée et le doublage est assez bon
Des étoiles pleins les yeux 🤩
Transformers One est une énorme réussite
Les personnages sont très bien exploités, l’action très bien rythmé, les décors a coupés le souffle et une intrigue plus que génialissime.
Dommage que ce film soit un petit ratage au box office parce que franchement il mérite largement mieux.
Transformers One est une énorme réussite
Les personnages sont très bien exploités, l’action très bien rythmé, les décors a coupés le souffle et une intrigue plus que génialissime.
Dommage que ce film soit un petit ratage au box office parce que franchement il mérite largement mieux.
Genail il raconte bien ce qui a opposé optimus et megatron alors qu'il etait ami cette animation vaut coup d'oeil
C'était étonnamment bien ! On en apprend plus sur l'univers de Transformers, et leur origine. C'est bien rythmé, plutôt bien écrit également pour un film d'animation. Une jolie surprise.
En voilà une sacrée bonne surprise! En effet, il faut avouer que l’on ne misait pas grand-chose sur ce « Transformers, le commencement », premier avatar animé basé sur les jouets Hasbro après une demi-douzaine de films en live patronnés par l’artificier Michael Bay et à la qualité très variable. On pense au sympathique premier et à l’impressionnant troisième épisode où le cinéaste était à l’apogée de son art en termes de très grand spectacle à base de destruction massive. Sinon, plus ça allait, plus tout cela devenait n’importe quoi à tous niveaux. Donc oui, peut-être était-on échaudé par l’abus de films en prises de vues réelles faisant parti de la fameuse saga, des films dont la qualité n’allait clairement pas en s’arrangeant. Peut-être aussi par la crainte de voir un objet purement mercantile destiné à promouvoir de nouveau les célèbres jouets auprès de plus jeunes à l’animation et à la qualité générale douteuse. Ou bien les deux à la fois. Et même s’il y a un peu ce côté destiné à promouvoir les figurines dans les rayons des magasins de jouets, le film est bon. Dès le premier acte, nos craintes sont vites mises de côté tant ce film est une petite merveille niveau animation. Et que, sans être parfaite, la narration est plus que correcte.
C’est cependant clairement sur le côté visuel qu’on en prend plein la vue. Déjà ce n’est pas le type d’animation qu’on voit souvent. Le contexte de la science-fiction et de toute la mythologie autour de ces robots est quelque chose d’inédit dans le domaine (même « Wall-E », « Le Robot sauvage » ou le vieux et oubliable « Robots » de Blue Sky ont beau prendre des robots comme personnages principaux, cela se déroule sur Terre et pas vraiment dans un univers si futuriste). Et on en prend plein la vue : de la texture de l’image à la qualité du mouvement en passant par le design des Transformers et du monde dans lequel ils évoluent c’est un sans-faute. L’œil est flatté et on est émerveillé sans discontinuer durant plus d’une heure et demie. Même les séquences d’action sont majoritairement lisibles à la perfection, ce qui était rarement le cas dans le barnum de fureur métallique dans lequel nous plongeait Michael Bay sur certaines séquences au point d’avoir une migraine ophtalmique. Et on en vient même à se demander si finalement la saga n'aurait pas dû être dès le départ faite en animation au vu du résultat, formellement impeccable, de « Transformers, le commencement » qui a tout de même bénéficié d’un réalisateur venu de chez Pixar et à qui l’on doit « Toy Story 4 ».
Alors bien sûr tout n’est pas parfait mais le défaut majeur de cet essai animé sur ces robots qui se transforment vient davantage de la narration. On a un film un peu déséquilibré où toute l’action est concentrée sur la dernière partie. Et il faut dire que l’histoire des origines de cette guerre entre robots que l’on voit dans la saga originale est certes bienvenue mais elle reste triviale au possible, immature même parfois. Cependant, dans le dernier acte, qui voit la naissance de la rivalité entre Optimus Prime et Megatron, il y a une sorte de courant plus sombre et de mythologie tragique qui pointe le bout de son nez mais qui reste survolée pour rester probablement accessible à un public familial. Si ce n’est cela, « Transformers, le commencement » est un petit bijou d’animation dont l’esthétique fluo, science-fictionnel et métallique est un régal de chaque instant et le tout est assez rythmé et doté de séquences qui en mettent plein la vue pour réjouir n’importe quel allergique aux films de Michael Bay. Vraiment une excellente surprise!
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
C’est cependant clairement sur le côté visuel qu’on en prend plein la vue. Déjà ce n’est pas le type d’animation qu’on voit souvent. Le contexte de la science-fiction et de toute la mythologie autour de ces robots est quelque chose d’inédit dans le domaine (même « Wall-E », « Le Robot sauvage » ou le vieux et oubliable « Robots » de Blue Sky ont beau prendre des robots comme personnages principaux, cela se déroule sur Terre et pas vraiment dans un univers si futuriste). Et on en prend plein la vue : de la texture de l’image à la qualité du mouvement en passant par le design des Transformers et du monde dans lequel ils évoluent c’est un sans-faute. L’œil est flatté et on est émerveillé sans discontinuer durant plus d’une heure et demie. Même les séquences d’action sont majoritairement lisibles à la perfection, ce qui était rarement le cas dans le barnum de fureur métallique dans lequel nous plongeait Michael Bay sur certaines séquences au point d’avoir une migraine ophtalmique. Et on en vient même à se demander si finalement la saga n'aurait pas dû être dès le départ faite en animation au vu du résultat, formellement impeccable, de « Transformers, le commencement » qui a tout de même bénéficié d’un réalisateur venu de chez Pixar et à qui l’on doit « Toy Story 4 ».
Alors bien sûr tout n’est pas parfait mais le défaut majeur de cet essai animé sur ces robots qui se transforment vient davantage de la narration. On a un film un peu déséquilibré où toute l’action est concentrée sur la dernière partie. Et il faut dire que l’histoire des origines de cette guerre entre robots que l’on voit dans la saga originale est certes bienvenue mais elle reste triviale au possible, immature même parfois. Cependant, dans le dernier acte, qui voit la naissance de la rivalité entre Optimus Prime et Megatron, il y a une sorte de courant plus sombre et de mythologie tragique qui pointe le bout de son nez mais qui reste survolée pour rester probablement accessible à un public familial. Si ce n’est cela, « Transformers, le commencement » est un petit bijou d’animation dont l’esthétique fluo, science-fictionnel et métallique est un régal de chaque instant et le tout est assez rythmé et doté de séquences qui en mettent plein la vue pour réjouir n’importe quel allergique aux films de Michael Bay. Vraiment une excellente surprise!
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J'avais craint un peu le mode enfantin sachant que cet opus est un film d'animation et la bande annonce montrait plus le côté "comique" mais finalement certes cela permet au plus jeune de pouvoir regarder et en même temps le fossé qui se creuse petit à petit entre le futur Optimus prime et futur Megatron. C'est ce pourquoi on veut voir ce film , le pourquoi ces deux bots sont devenus les pires ennemis et se sot fait la guerre pendant des années. Si on a suivit ou on connait la série, on entend les noms de certains autobots qu'on a vu dans les films. Le rythme est bon , un peu d'humour avec une bonne histoire et on a un très bon film à voir.
NOTE : 7.5/10
NOTE : 7.5/10
Quelle joie d'enfin revoir de la qualité au sein de cette licence ! Je n'y croyais plus, mais "Transformers : le commencement" est finalement arrivé sur nos écrans pour nous faire mentir. Après les gros échecs des trois derniers films de la saga (je ne compte pas "Bumblebee"), c'est avec un projet d'animation que celle-ci réussit finalement à redevenir intéressante. Prenant place dans le passé de nos héros, le long-métrage avait pour mission d'expliquer les origines des Transformers et le lien qui les unissait. Sur le papier, on pourrait croire que la saga retourne dans ces travers, quand on découvre le ton qu'elle emploie et le scénario qu'elle suit. Effectivement, il y a un peu d'humour, et l'histoire suit une route assez prévisible. Se déroulant dans le passé, et connaissant les liens qui unissent nos personnages à l'avenir, on voit rapidement comment la conclusion va amener les choses. Pourtant, ce serait assez réducteur de penser que le long-métrage ne peut pas nous offrir de jolies surprises. Déjà, on remarque bien rapidement que l'animation est particulièrement soignée ! Je trouve qu'il y a un soin qui a été apporté au niveau des lumières ! Je trouve que le travail sur les reflets des armures est vraiment impressionnant. Et cela se caractérise aussi par une grosse dose de créativité au niveau des décors, que ce soit ceux de la ville ou ceux de la surface de la planète. Ensuite, la deuxième grosse qualité de ce projet vient clairement de son rythme et de la qualité de son montage. Globalement, oui, il y aura de l'humour, mais je trouve que cela ne vient jamais freiner ou ralentir le rythme. Dans l'ensemble, le récit se développe à une vitesse vraiment agréable, sans jamais de temps morts. Il est vrai que le scénario a tendance à beaucoup renouveler les enjeux, et cela pourra déstabiliser certaines personnes, mais c'est pourtant ce qui m'a plu. On est toujours relancé, et même si la fin n'apporte pas de surprises, on se rend quand même compte qu'il s'est passé beaucoup de choses durant le film. Et je parle surtout de la relation entre Orion et B-127, car même si les personnages secondaires sont un peu survolés, eux sont très réussis. On y sent beaucoup de sincérité, des liens assez forts et une entente vraiment touchante. Donc même si le basculement de B-127 se fait de manière brutale, je trouve que l'on n'a jamais autant été secoué par leur relation, au sein de cette saga. Dans l'ensemble, je vous encourage donc à foncer voir ce film ! Je ne pensais pas dire cela un jour, mais j'ai apprécié voir un film de cette licence. Et malgré les résultats compliqués au box-office, j'espère une suite à cet univers ! Pour conclure, une grosse surprise.
Innatendu, le film d'animation Transformers, est LA surprise de l'année 2024. 8e film Transformers, et Transformers One est probablement le meilleur de la franchise ! Outre son animation extraordinaire, c'est un film qui faut retenir sur la profondeur de son scénario. Un scénario bien écrit, accompagné par de très bons personnages, donnent à ce film son empreinte et se détaché complètement de la saga de Michael Bay. Ce film d'animation est la preuve que l'on peut donner espoir à cette franchise et que l avenir de cette franchise, pourrait être dans l animation. En espérant avoir une suite. Un des meilleurs films d'animations de l'année 2024
Un excellent film d'animation sur l'origine des Transformers réalisé par Josh Cooley avec la voix de Chris Hemsworth.
c'est un dessin animé qui a marqué mon enfance, et puis les films sont arrivés en permettant de propulser cet univers avec des effets spéciaux dantesques !
j'avais hâte de voir l'origine story de cette histoire et je n'ai pas été déçu ! je l'ai vu en avant première ce dimanche et c'est mordant, plein d'humour, magnifiquement réalisé on ne s'ennuie pas une seule seconde.
qu'on soit fan de la première heure et débutant peu importe, on est embarqué dans cette histoire qui nous amène à voir la naissance d'un héros et d'un méchant charismatique !
j'avais hâte de voir l'origine story de cette histoire et je n'ai pas été déçu ! je l'ai vu en avant première ce dimanche et c'est mordant, plein d'humour, magnifiquement réalisé on ne s'ennuie pas une seule seconde.
qu'on soit fan de la première heure et débutant peu importe, on est embarqué dans cette histoire qui nous amène à voir la naissance d'un héros et d'un méchant charismatique !
Vu en avant-première. Le film met du temps à montrer son plein potentiel. Ce transformers est bien quand il est humoristique mais encore mieux quand il est sérieux.
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