Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
22 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Alors qu’on croyait le filon Transformers épuisé, cette fresque animée redonne confiance en son avenir si les films suivants demeurent de cette qualité.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Thibault Liessi
Avec une direction artistique marquante et un scénario étonnamment humain pour un récit de robots géants, Transformers : Le Commencement remet les Transformers sur le devant de la scène.
Diverto
par La Rédaction
Transformers : le commencement revient aux origines de la saga, dans un film d'animation s'alignant sur les petits bijoux sortis ces dernières années, comme Spider-Man : New Generation ou le trop sous-estimé Ninja Turtles : Teenage Years.
La critique complète est disponible sur le site Diverto
Ecran Large
par Antoine Desrues
Voilà comment on fait un grand film pour toute la famille. Transformers : Le Commencement est beau et divertissant, mais cache derrière son écrin une charge politique que l’on n’espérait plus de la part de la franchise au cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Thibault Liessi
Sur le plan artistique comme celui du scénario, Transformers : Le Commencement réussit à remettre de l’huile dans le moteur des robots-véhicules.
Le Journal du Dimanche
par S. B.
En dépit d’un scénario conventionnel qui convoque les références en termes de thrillers futuristes (Blade Runner, Total Recall, Ready Player One, Snowpiercer), ce film d’animation fait preuve d’une ambition visuelle folle, tout en soignant la psychologie de ces colosses de métal qui ont une âme et un cœur.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Imparfait, mais réjouissant, le long-métrage parvient à atteindre son but : nous redonner l'envie de voir un Transformers en salles.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par Renaud Baronian
Comment est née la guerre entre les « gentils » Autobots et les vilains Decepticons ? C’est ce que raconte le film, avec pas mal d’humour, une action incessante et des transformations spectaculaires, en déroulant une ligne graphique mi-futuriste mi-vieille école.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Un film d’action enlevé, qui ne cherche pas à être malin et sait se mettre à la hauteur des plus jeunes.
Mad Movies
par Fabien Mauro
Cet opus animé signé Josh Cooley est la réinvention parfaite et inattendue d'une marque quadragénaire qui semblait avoir tiré toutes ses cartouches.
Télé Loisirs
par Y.J.
Un film familial qui devrait replonger en enfance les amoureux de la première heure et passionner les plus jeunes.
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Un film d’animation détonnant, à la mise en scène ébouriffante et à l’esthétique ultra-contemporaine. Une vraie claque.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
CNews
par La rédaction
Le film s’intéresse à la psychologie de ces personnages au cœur des sept films à gros budgets qui l’ont précédé dans les salles obscures à travers cette histoire simple, mais attachante.
La critique complète est disponible sur le site CNews
Le Point
par La Rédaction
Retour à l'animation réussi donc pour la licence créée par Hasbro et malgré un fan-service omniprésent qui pourra agacer, même les néophytes y trouveront leur compte, grâce à la générosité de l'action, et un puissant message politique.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Arnaud Hallet
Cette modulation burlesque des corps donne aux courses-poursuites l’impression de voir des géants en train d’apprendre à marcher, pourtant jetés dans une grande orgie chaotique qui ne freine jamais. À tous les niveaux, l’amour de la transformation retrouvé.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Nice-Matin
par Cédric Coppola
Réalisateur de « Toy Story 4 », Josh Cooley met un point d’honneur à créer un véritable lore, en représentant une planète de Cybertron régie par ses propres codes… a variation biblique, inspirée de celle de Moïse et Ramsès, n’est guère originale, mais l’ensemble est rondement mené pour tenir en haleine le spectateur.
La critique complète est disponible sur le site Nice-Matin
Ouest France
par François Léger
On aime… Le mélange d’humour cartoonesque et d’un propos très sérieux (inattendu de la part d’une franchise bien éloignée de la politique) sur la lutte des classes. (...). On aime moins… Le design froid des visages des personnages, qui ne rend pas forcément hommage à la qualité du doublage et de l’animation.
Première
par François Léger
Le coup de force du film est d’arriver à jongler entre le sérieux imposé par sa trame et la comédie cartoonesque que seule l’animation peut permettre. S’il faudra accepter des designs de personnages un peu froids et une première partie longuette pour les néophytes, la suite, spectaculaire dans son déchaînement pyrotechnique, mettra tout le monde d’accord.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Laurent Djian
Le film ne se prend pas pour autant au sérieux, alternant gags, poursuites et combats titanesques. Le tout servi par une animation soignée.
Télérama
par Augustin Pietron-Locatelli
Dans ce film garanti sans humains, à l’animation ambitieuse et souvent impressionnante par son traitement des textures métalliques, la quête de nos deux camarades les mènera à renverser l’ordre établi. Et, surtout, à devenir des personnages enfin bien connus. On roule pour ce salutaire retour aux sources, son humour et son énergie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Guillaume Loison
Rien à signaler dans cette énième déclinaison fictionnelle des jouets Hasbro si ce n’est le recours à l’animation, choix pertinent qui colle avec le cœur de cible de la franchise. Mais, de la mise en scène à l’imaginaire, le film n’est qu’un copier-coller paresseux et brouillon des leviers habituels des studios Pixar.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Ma. Mt
Libéré de toute référence au réel, ce nouveau volet remonte aux sources de la guerre entre Autobots et Decepticons. Vaguement dystopique, le récit se révèle surtout abracadabrant, pur prétexte au vacarme de tôles froissées et de carrosseries reconfigurées dont la série s’est rendue familière.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
20 Minutes
Alors qu’on croyait le filon Transformers épuisé, cette fresque animée redonne confiance en son avenir si les films suivants demeurent de cette qualité.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Avec une direction artistique marquante et un scénario étonnamment humain pour un récit de robots géants, Transformers : Le Commencement remet les Transformers sur le devant de la scène.
Diverto
Transformers : le commencement revient aux origines de la saga, dans un film d'animation s'alignant sur les petits bijoux sortis ces dernières années, comme Spider-Man : New Generation ou le trop sous-estimé Ninja Turtles : Teenage Years.
Ecran Large
Voilà comment on fait un grand film pour toute la famille. Transformers : Le Commencement est beau et divertissant, mais cache derrière son écrin une charge politique que l’on n’espérait plus de la part de la franchise au cinéma.
Le Dauphiné Libéré
Sur le plan artistique comme celui du scénario, Transformers : Le Commencement réussit à remettre de l’huile dans le moteur des robots-véhicules.
Le Journal du Dimanche
En dépit d’un scénario conventionnel qui convoque les références en termes de thrillers futuristes (Blade Runner, Total Recall, Ready Player One, Snowpiercer), ce film d’animation fait preuve d’une ambition visuelle folle, tout en soignant la psychologie de ces colosses de métal qui ont une âme et un cœur.
Le Journal du Geek
Imparfait, mais réjouissant, le long-métrage parvient à atteindre son but : nous redonner l'envie de voir un Transformers en salles.
Le Parisien
Comment est née la guerre entre les « gentils » Autobots et les vilains Decepticons ? C’est ce que raconte le film, avec pas mal d’humour, une action incessante et des transformations spectaculaires, en déroulant une ligne graphique mi-futuriste mi-vieille école.
Les Fiches du Cinéma
Un film d’action enlevé, qui ne cherche pas à être malin et sait se mettre à la hauteur des plus jeunes.
Mad Movies
Cet opus animé signé Josh Cooley est la réinvention parfaite et inattendue d'une marque quadragénaire qui semblait avoir tiré toutes ses cartouches.
Télé Loisirs
Un film familial qui devrait replonger en enfance les amoureux de la première heure et passionner les plus jeunes.
aVoir-aLire.com
Un film d’animation détonnant, à la mise en scène ébouriffante et à l’esthétique ultra-contemporaine. Une vraie claque.
CNews
Le film s’intéresse à la psychologie de ces personnages au cœur des sept films à gros budgets qui l’ont précédé dans les salles obscures à travers cette histoire simple, mais attachante.
Le Point
Retour à l'animation réussi donc pour la licence créée par Hasbro et malgré un fan-service omniprésent qui pourra agacer, même les néophytes y trouveront leur compte, grâce à la générosité de l'action, et un puissant message politique.
Les Inrockuptibles
Cette modulation burlesque des corps donne aux courses-poursuites l’impression de voir des géants en train d’apprendre à marcher, pourtant jetés dans une grande orgie chaotique qui ne freine jamais. À tous les niveaux, l’amour de la transformation retrouvé.
Nice-Matin
Réalisateur de « Toy Story 4 », Josh Cooley met un point d’honneur à créer un véritable lore, en représentant une planète de Cybertron régie par ses propres codes… a variation biblique, inspirée de celle de Moïse et Ramsès, n’est guère originale, mais l’ensemble est rondement mené pour tenir en haleine le spectateur.
Ouest France
On aime… Le mélange d’humour cartoonesque et d’un propos très sérieux (inattendu de la part d’une franchise bien éloignée de la politique) sur la lutte des classes. (...). On aime moins… Le design froid des visages des personnages, qui ne rend pas forcément hommage à la qualité du doublage et de l’animation.
Première
Le coup de force du film est d’arriver à jongler entre le sérieux imposé par sa trame et la comédie cartoonesque que seule l’animation peut permettre. S’il faudra accepter des designs de personnages un peu froids et une première partie longuette pour les néophytes, la suite, spectaculaire dans son déchaînement pyrotechnique, mettra tout le monde d’accord.
Télé 7 Jours
Le film ne se prend pas pour autant au sérieux, alternant gags, poursuites et combats titanesques. Le tout servi par une animation soignée.
Télérama
Dans ce film garanti sans humains, à l’animation ambitieuse et souvent impressionnante par son traitement des textures métalliques, la quête de nos deux camarades les mènera à renverser l’ordre établi. Et, surtout, à devenir des personnages enfin bien connus. On roule pour ce salutaire retour aux sources, son humour et son énergie.
L'Obs
Rien à signaler dans cette énième déclinaison fictionnelle des jouets Hasbro si ce n’est le recours à l’animation, choix pertinent qui colle avec le cœur de cible de la franchise. Mais, de la mise en scène à l’imaginaire, le film n’est qu’un copier-coller paresseux et brouillon des leviers habituels des studios Pixar.
Le Monde
Libéré de toute référence au réel, ce nouveau volet remonte aux sources de la guerre entre Autobots et Decepticons. Vaguement dystopique, le récit se révèle surtout abracadabrant, pur prétexte au vacarme de tôles froissées et de carrosseries reconfigurées dont la série s’est rendue familière.