Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Critikat.com
par Morgan Pokée
Si un mystère drolatique enveloppe ainsi "Deux Rémi deux", il ne faudrait pas négliger pour autant le sentiment d’inquiétude généralisé que le cinéaste distille tout au long de son métrage.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Isabelle Regnier
La manière qu'a le cinéaste de teinter le naturalisme de son film d'une forme de comique surréaliste fait le charme de ce conte philosophique.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
(…) derrière son apparente légèreté, Deux Rémi, deux dit quelque chose, avec nonchalance et élégance, de notre peine à rester toujours unis avec nous-mêmes, sur les doubles (voir les multiples) visages, voix, métiers que le monde contemporain nous invite ou nous oblige à endosser.
Télérama
par Jacques Morice
Un genre de comédie pince-sans-rire, une divagation instruite mais s'amusant de l'esprit de sérieux, et servie par une bande piquante de comédiens excentriques. Du cinéma minimaliste, malicieux, matois.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Si l’argument offre à Pascal Cervo un double rôle qu’il compose avec l’apparente facilité la plus mystérieuse, c’est sur ce versant trouble et menaçant que le film achoppe quelque peu : ces termes à peine exposés, la brièveté du film, sa résolution immédiate font que l’aventure tourne court.
L'Obs
par La Rédaction
C’est une variation parfois amusante, qui offre à de bons acteurs de donner libre cours à leur fantaisie, sous le regard attentif d’un cinéaste résolument en marge. Singulier, gentiment narquois, et extrêmement fragile.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
TF1 News
par Romain Le Vern
Une adaptation très libre du Double de Dostoïevski transmuée en douce fantaisie qui se moque de l'esprit de sérieux comme de l'esprit d'entreprise, qui dit deux trois choses sur nos vies virtuelles et dans laquelle le spectateur n'a aucune idée de ce qui peut se passer au détour du plan suivant.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Une fable existentielle dont le minimalisme décalé ne convainc pas.
Critikat.com
Si un mystère drolatique enveloppe ainsi "Deux Rémi deux", il ne faudrait pas négliger pour autant le sentiment d’inquiétude généralisé que le cinéaste distille tout au long de son métrage.
Le Monde
La manière qu'a le cinéaste de teinter le naturalisme de son film d'une forme de comique surréaliste fait le charme de ce conte philosophique.
Les Inrockuptibles
(…) derrière son apparente légèreté, Deux Rémi, deux dit quelque chose, avec nonchalance et élégance, de notre peine à rester toujours unis avec nous-mêmes, sur les doubles (voir les multiples) visages, voix, métiers que le monde contemporain nous invite ou nous oblige à endosser.
Télérama
Un genre de comédie pince-sans-rire, une divagation instruite mais s'amusant de l'esprit de sérieux, et servie par une bande piquante de comédiens excentriques. Du cinéma minimaliste, malicieux, matois.
Cahiers du Cinéma
Si l’argument offre à Pascal Cervo un double rôle qu’il compose avec l’apparente facilité la plus mystérieuse, c’est sur ce versant trouble et menaçant que le film achoppe quelque peu : ces termes à peine exposés, la brièveté du film, sa résolution immédiate font que l’aventure tourne court.
L'Obs
C’est une variation parfois amusante, qui offre à de bons acteurs de donner libre cours à leur fantaisie, sous le regard attentif d’un cinéaste résolument en marge. Singulier, gentiment narquois, et extrêmement fragile.
TF1 News
Une adaptation très libre du Double de Dostoïevski transmuée en douce fantaisie qui se moque de l'esprit de sérieux comme de l'esprit d'entreprise, qui dit deux trois choses sur nos vies virtuelles et dans laquelle le spectateur n'a aucune idée de ce qui peut se passer au détour du plan suivant.
Studio Ciné Live
Une fable existentielle dont le minimalisme décalé ne convainc pas.