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32 titres de presse
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Closer
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Le Figaro
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Bande à part
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CNews
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Dernières Nouvelles d'Alsace
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Franceinfo Culture
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LCI
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La Croix
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Le Dauphiné Libéré
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Le Parisien
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Libération
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Public
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Télérama
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Voici
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L'Ecran Fantastique
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Les Fiches du Cinéma
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Marianne
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Première
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Ecran Large
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Les Inrockuptibles
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Positif
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aVoir-aLire.com
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Critikat.com
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L'Obs
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse
Closer
Une réussite.
Le Figaro
Rob Marshall orchestre avec brio Le Retour de Mary Poppins. Interprétée par Emily Blunt, l'héroïne de Disney a conservé tout son charme.
Bande à part
Rob Marshall rallume le réverbère de l'émerveillement en apesanteur de Mary Poppins. Une copie ? Un bis repetita. La vieille école Disney.
CNews
Alors que la jeune génération se laissera envoûter par cette version moderne aux décors et à la musique réussis, les adultes nostalgiques apprécieront les nombreux clins d’œil à leur enfance [...].
Dernières Nouvelles d'Alsace
La plus célèbre des nounous anglaises fait son come-back et réenchante la nostalgie, fidèle à l’esprit du premier film de 1964.
Franceinfo Culture
Irrésistible ! On ne pouvait avoir plus parfaite Mary Poppins qu’Emily Blunt pour l’incarner. Sa beauté, sa fraîcheur, son port parfait pour revêtir les costumes les plus excentriques avec un style impeccable font mouche.
LCI
La nounou la plus magique de Hollywood s'offre une seconde jeunesse sous les traits délicats d'Emily Blunt dans un film bonbon qui ravira jusqu'aux plus grincheux.
La Croix
Le réalisateur qui confie avoir découvert les sortilèges du 7e art grâce au premier Mary Poppins, manie avec brio les atouts de la comédie musicale et insère une scène anthologique où se mêlent images réelles et animation.
Le Dauphiné Libéré
Michael Banks travaille à la banque où son père était employé, et il vit toujours au 17 allée des Cerisiers avec ses trois enfants, Annabel, Georgie et John, et leur gouvernante Ellen. On aime.
Le Parisien
Enthousiasmant, le film distille des scènes dansées et chantées bondissantes, qui donnent envie de se lever de son siège. Et Emily Blunt prend magnifiquement la relève de Julie Andrews.
Libération
Cette fois, Marshall réussit à rapiécer du vieux avec du neuf, probablement grâce à la nature même de ce récit qui assume les sutures foutraques sous couvert de sorcellerie, et de cette dame qui ouvre en grand les frontières de l’imagination, se moque du passé, du futur, et s’occupe de ce qui doit être résolu, là, à présent : c’est-à-dire réinjecter un peu de fraîcheur et d’espoir dans un monde qui en manque cruellement.
Ouest France
La magie est toujours là.
Public
Emily Blunt reprend dignement le flambeau et le parapluie de la nounou fantastique.
Sud Ouest
Mary Poppins est jeune pour l’éternité : après avoir été incarnée par Julie Andrews il y a plus de 50 ans, elle réapparaît sous les traits d’Emily Blunt. L’actrice de "Looper" et de "Sicario" lui donne son élégance, son chic, et cette austérité qui masque une bienveillance infinie. Sans parler de ce sourire en coin qui préfigure tant de folies.
Télérama
Difficile, malgré quelques longueurs, de résister à une telle déferlante de chansons entraînantes et d’inventivité chorégraphique.
Voici
Un conte enchanteur au casting parfait.
IGN France
Malgré Emily Blunt, Rob Marshall et Disney échouent à nous proposer une suite à la hauteur du film culte original. Trop long, pas vraiment marquant au niveau musical, qu'ont-ils fait à la célèbre nounou anglaise ?
L'Ecran Fantastique
Ce qui fait alors le charme du "Retour de Mary Poppins", c'est à la fois son doux parfum rétro, son habileté à jouer avec nos souvenirs d'enfant et les images d'Epinal du film de 1965, mais aussi ce désir permanent de faire du cinéma une fête.
L'Express
Destiné aux tout petits petits petits enfants, ce "Retour de Mary Poppins" bénéficie de la présence lumineuse d'Emily Blunt, de quelques chorégraphies entraînantes et de quelques scènes joyeuses. Mais ni le scénario ni la mise en scène ne parviennent véritablement à sortir le film du train-train.
Le Journal du Dimanche
Malgré un rythme en dents de scie, il remplit son objectif : offrir une bulle d’espoir et de joyeuse fantaisie au spectateur.
Le Monde
D'un strict point de vue formel, Le Retour de Mary Poppins réussit le pari d'enchevêtrer nostalgie et modernité. Mais à force d'en mettre plein la vue, le film oublie de donner corps à ses personnages et consistance à son histoire.
Le Point
Visuellement, c’est une réussite. On se laisse emporter par le joli conte de Rob Marshall, parfaitement mis en scène. Mais pour la musique, on lui préfère l’ancien et ses mélodies entêtantes.
Les Fiches du Cinéma
Entièrement inféodé au grand classique original, ce "Retour..." en grande pompe souffre d'une mise en scène d'une extrême platitude. Heureusement, les acteurs séduisent.
Marianne
Spectaculaire mais sans folie.
Première
Un copié-collé charmant et accrocheur du classique de Disney. Charmant et accrocheur, mais moralement discutable.
CinemaTeaser
Retour de la célèbre nanny dans une fausse sucrerie vintage, bourrée de colorants criards, à l'arrière-goût vraiment douteux.
Ecran Large
Mary Poppins est de retour, pour nous jouer un mauvais tour. Artificiel, mal fini et mécanique, ce remake qui voit dans la finance la planche de salut de ses personnage a des airs de cauchemar.
Les Inrockuptibles
En pilotage automatique, le réalisateur de "Chicago" aligne les séquences de comédies musicales comme des tableaux trop chargés, sans que jamais l’émotion ne surgisse.
Positif
[...] maelstrom de bons sentiments si bien usiné [...].
aVoir-aLire.com
Un remake déguisé en suite, qui ne se donne même pas la peine de poser un regard neuf sur l’ouvrage original, et qui surtout se termine sur une morale plus que douteuse.
Critikat.com
En cinq décennies, qu’y a-t-il de changé dans l’univers de la nurse de l’allée des cerisiers ? Rien du tout. Et dans le cinéma ? Rien non plus, selon Rob Marshall.
L'Obs
Certes, c'est bien usiné ; certes, c'est du sur-mesure pour les enfants, les mamies et les fans de la Gay Pride ; certes, le numéro de danse des allumeurs de réverbère (vers la fin) est sympa. Mais deux heures de rose bonbon, c'est long, c'est luminomagilong !