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ffred
1 720 abonnés
4 019 critiques
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1,0
Publiée le 11 octobre 2023
C’est tellement mauvais que ça en devient comique. Les anciennes stars ne manquent pas d’auto-dérision mais on ne peut pas dire qu’ils savent jouer. Et puis fallait il ressortir Renaud, c’était pathétique. Le premier opus reste tout de même meilleur. A mettre en bruit de fond comme on met la radio, car niveau cinéma…
Quelle déception cette suite. J'avais été agréablement surpris par le premier volet mais là, rien ne marche. Ce n'est pas drôle, Anconina tente de faire de "La vérité si je mens", les situations ubuesques aux limites du ridicule, bref, un naufrage total.
Le deuxième volet de Stars 80 est un film moyen avec une bonne musique mais sans scénario. C'est sympa de voir les stars des années 1980 mais ce ne sont pas des acteurs et ne permettent pas de relever le niveau de ce second opus sans intérêt.
C'est un film soporifique, on retrouve plusieurs habitués de la télévision. Le groupe se retrouvent tous dans un hôtel cinq étoiles à Méribel. Ils passent leurs temps à s'entraîner en groupe. Pour gagner des minutes dans le film il y a plusieurs scènes cocasses. Après il y a toujours des problèmes d'argent, alors il faut en trouver, à la recherche désespérément de sous afin de financer la tournée. Des petits problèmes et des petits tracas, mais rien de grave.
Bien mais manque d'intensité. On sent que les chanteurs ne sont pas acteurs. Même pour les fans de la musique des années 1980, le film manque de passages musicaux. Le scénario est farfelu aussi. Le manque de réalisme ne colle pas avec des personnages qui interprètent leurs propres rôles. Les nostalgiques de ces années-là pourront y trouver leur compte en voyant leurs idoles dans des situations plus ou moins inconfortables.
2/5 C'est clairement "on prend les même et on recommence". Des artistes des années 80, un concert à préparer pour renflouer des ennuis d'argent. On part à la montagne et aux USA (la marque des mauvaises comédies n°2), on met 40 minutes de duo / trio... autour du piano et Inch Allah. Pas d'histoire, pas de rire, pas d'intéret.
Une suite bien plus faible que l'original. Le scénario est léger et un peu alambiqué. Reste le plaisir de retrouver le duo Anconina/Timsit qui fonctionne toujours aussi bien et aussi de se replonger dans la musique des années 80 aux côtés des stars francaises de l'époque.
Si l'on avait pu ressentir un soupçon de sympathie à la vision de "Stars 80" en raison de la naïveté bon enfant qui se dégageait du duo formé par Richard Anconina et Patrick Timsit, on se demandait comment il était possible d'envisager un deuxième épisode à cet élan de nostalgie dont le propos semblait tout de même limité. Quatre ans plus tard, toute l'équipe et principalement Thomas Langmann, le producteur se sont dit qu'il y avait sans doute un moyen de solliciter encore une fois l'obole des gentils spectateurs qui s'étaient rués dans les salles obscures à près de deux millions pour se remémorer leur jeunesse en compagnie des Lio, Sabrina, Gilbert Montagné et autre Patrick Hernandez. Après tout, la saga "Les Tuche" qui ne brille guère plus par sa finesse en est bien à son troisième épisode sans veine semble s'épuiser. Frédéric Forestier qui a prudemment quitté le navire laisse Thomas Langmann seul à la réalisation comme au scénario. Le résultat est tout simplement navrant et tout ce qui pouvait prêter à sourire dans le premier opus devient ici pathétique. "Stars 80, la suite" tout comme "Les Tuche 2 et 3" ou encore "La ch'tite famille" sont le reflet d'un cinéma populaire français qui semble ne plus avoir d'autre ambition que de miser sur une soi-disant indulgence d'un public médiocre et inculte forcément incapable de voir que toute l'équipe du film et ici en premier le réalisateur/producteur se moquent comme d'une guigne de la qualité de leur travail. Thomas Langmann qui touche encore une fois le fond devrait se demander ce que penserait son illustre père (Claude Berri) qui quoiqu'étant un producteur très avisé et soucieux de la rentabilité n'a jamais mis en scène ou produit un film indigne. Heureusement la sanction est tombée et "Stars 80, la suite" s'est largement planté au box-office. On peut donc espérer éviter un "Stars 80, le retour". Il faut enfin ajouter que deux artistes reconnus comme Richard Anconina et Patrick Timsit même s'ils ne sont plus au sommet de leur activité ne devraient pas ternir leur parcours par des compromissions grosses comme le nez au milieu du visage. Il faut savoir parfois raccrocher à temps. Et ce n'est pas la présence finale du pauvre Renaud complètement perdu sur la scène du Stade de France qui déclenchera l'indulgence à l'égard de cette entreprise mal née. Bien au contraire.
Le premier était lamentable, ce second opus ne mérite même pas d’être qualifié de film. C’est une succession de sketchs consternants et jamais drôles, le tout agrémenté des tubes plutôt dispensables des années 80. Un film qui ne m’a donné ni envie de rire, ni de danser, plutôt de me faire du mal.
Typique de la suite qui ne s'imposait pas. Dans un scénario à court d'idées qui recycle ce qu'il peut du premier et en tentant quelques trucs (un peu ratés, malheureusement), le film de Langmann n'arrive pas à susciter le même élan de sympathie. On sent trop le caractère forcé de l'entreprise, malgré la bonne volonté d'Anconina et Timsit (Lochet dans une moindre mesure) qui se démènent dans un semblant d'intrigue poussive et convenue. Un peu de musique pour rattraper ce qu'il est possible, mais c'est un peu trop juste.
On prend les mêmes et on recommence, sauf que là, l'effet de surprise n'est plus et on se retrouve avec une succession de scènettes inutiles qui ne font pas rire. On se retrouve avec la troupe des années 80 sans pour autant tous les identifier. On aurait pu mettre une troupe des années 70, 90, ou 2000,l'histoire serait la même !
La suite...mmmhh, dangereuses les suites...Celle ci semble réussie avec les même ficelles scénaristique que le premier, rien de nouveau mais du prévisible. Cependant, le film est aussi bien rythmé que le premier, on danse et chante à travers les très nombreuses bandes son qui l'accompagnent. L'humour est aussi présent, la mayo prend, on accepte volontiers les clichés et les scènes déjà vu, ça fait parti de la griffe Star 80 . Les chanteurs, eux, semblent se forcer un peu, manquent d'enthousiasmes face au premier volet, certains se seraient ils senti obligé d'y participer?
Déjà qu’on attendait pas forcément de voir débarquer la tournée Stars 80 au cinéma, on est encore plus surpris avec ce nouveau volet. A l’image de son titre sans inspirations; Stars 80, la suite n’existe que pour rentabiliser une marque surfant abusivement sur la nostalgie. A travers un scénario fainéant, le film de Thomas Langmann aura eu l’avantage d’envoyer la fine équipe de goûter aux joies des sports d’hiver et entre 2 chansonnettes, de faire un peu de placement de produits pour son jeu de société. Reste tout de même que l’apothéose au Stade de France réserve quelques frissons mais cela on le doit surtout au charisme de l’artiste. On est presque désolé pour lui de sa présence dans un tel film et ça … ba non je n’achète pas !
Thomas Langmann réalisateur : une catastrophe ! Scénariste : une catastrophe ! « Astérix aux Jeux olympiques » : une catastrophe. Pour sa défense, il n'était pas seul à la réalisation. Il n'est pas plus aidé. La filmographie de Frédéric Forestier n'est guère convaincante. Comme il est producteur, il fait ce qu’il veut. Il a l’argent et réalise. Heureusement, qu’il ne s’est pas mis en tête de réaliser une suite à « The Artist ». La troupe des chanteurs des années 80 reléguée au rang de silhouettes. Oui, j’ai bien dit silhouettes, pas figurants… Inutile de détailler, une CATASTROPHE !
En cette suite, Star 80, nous donne peut de nouveauté, le spectacle final compte bon nombre de reprise du premier opus. Seul Kool & The Gang et Renaud sont montrés dans le spectacle au Stade De France. Mais les Gipsy Kings ont disparu ! Ce deuxième volet se veut tourner vers les stars US des années 80. Quel dommage, le spectateur malgré une bonne idée de départ, se retrouve un peu perdu dans ce mélange des cultures. Grand bien nous fasse, la magie est pourtant là, mais n'a pas le même effet que le premier. On a plaisir à se dandiner sur ces mélodies, ces musiques qui ont fait de leur interprètes le succès d'aujourd'hui et perdureront avec le temps. Pour le plaisir de ré entendre ces tubes.