Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
L'Ecran Fantastique
par Pascal Pinteau
Les meilleurs ingrédients des blockbusters américains et des héritages narratifs de King Kong et de la saga japonaise de Godzilla ont été habilement choisis, dosés et mêlés dans le scénario pour construire un combat de Kaijus divertissant de bout en bout, drôle, extraordinairement spectaculaire, et ponctué de petites touches d'émotion prévisibles mais bienvenues.
Cahiers du Cinéma
par Raphaël Nieuwjaer
Fait capitaliste indiscutable, Godzilla vs Kong n’est toutefois pas dépourvu de séduction.(…) La chose n’est pas nouvelle, mais Adam Wingard trouve dans les combats titanesques l’occasion d’une impressionnante fantasmagorie numérique.
Critikat.com
par Josué Morel
Le film contient au moins une scène qui rappelle que le tumulte des blockbusters sait encore produire, ici et là, du cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Budget confortable, moyens techniques opulents, bestiaire culte et scénario décomplexé, Adam Wingard avait tout pour nous offrir une orgie totalement monstrueuse. Sauf peut-être l'ambition et ce que le sujet requiert de talent.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Une fois acceptée la bêtise du scénario, on peut s’amuser de ce combat de monstres auquel les effets spéciaux de 2021 offrent un réalisme et quelques séquences efficaces de castagne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Mad Movies
par Alexandre Poncet
Le problème est ailleurs, déjà dans un sens de l'iconisation assez limité, ensuite dans un mépris assez abject de la mort [...], enfin dans une caractérisation d'une bêtise insondable.
Les Inrockuptibles
par Jean-Marc Lalanne
Succès en salles aux Etats-Unis (...) le combat des deux titans s’avère bien peu impressionnant. Ce grand saccage, cet éboulement continu de tout, s’exerce sur un monde qui ne touche sous aucune forme le réel. La faiblesse des enjeux dramatiques et l’inexistence des personnages humains achèvent de rendre ce spectacle purement visuel vide de tout affect.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
L'Ecran Fantastique
Les meilleurs ingrédients des blockbusters américains et des héritages narratifs de King Kong et de la saga japonaise de Godzilla ont été habilement choisis, dosés et mêlés dans le scénario pour construire un combat de Kaijus divertissant de bout en bout, drôle, extraordinairement spectaculaire, et ponctué de petites touches d'émotion prévisibles mais bienvenues.
Cahiers du Cinéma
Fait capitaliste indiscutable, Godzilla vs Kong n’est toutefois pas dépourvu de séduction.(…) La chose n’est pas nouvelle, mais Adam Wingard trouve dans les combats titanesques l’occasion d’une impressionnante fantasmagorie numérique.
Critikat.com
Le film contient au moins une scène qui rappelle que le tumulte des blockbusters sait encore produire, ici et là, du cinéma.
Ecran Large
Budget confortable, moyens techniques opulents, bestiaire culte et scénario décomplexé, Adam Wingard avait tout pour nous offrir une orgie totalement monstrueuse. Sauf peut-être l'ambition et ce que le sujet requiert de talent.
L'Obs
Une fois acceptée la bêtise du scénario, on peut s’amuser de ce combat de monstres auquel les effets spéciaux de 2021 offrent un réalisme et quelques séquences efficaces de castagne.
Mad Movies
Le problème est ailleurs, déjà dans un sens de l'iconisation assez limité, ensuite dans un mépris assez abject de la mort [...], enfin dans une caractérisation d'une bêtise insondable.
Les Inrockuptibles
Succès en salles aux Etats-Unis (...) le combat des deux titans s’avère bien peu impressionnant. Ce grand saccage, cet éboulement continu de tout, s’exerce sur un monde qui ne touche sous aucune forme le réel. La faiblesse des enjeux dramatiques et l’inexistence des personnages humains achèvent de rendre ce spectacle purement visuel vide de tout affect.