Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Duval
Carlos Saboga signe un huis clos à la photographie majestueuse dans le Portugal des années 1940. Impeccablement oopressant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Nicolas Bauche
"À une heure incertaine" de Carlos Saboga déréalise l'histoire, le film instillant une once de doute dans ce huis clos débilitant.
L'Obs
par La Rédaction
Avec ce drame où tout est suggéré, où chacun semble chuchoter pour ne pas réveiller la guerre qui gronde au loin, où il ne faut pas se fier aux apparences, Carlos Saboga, qui a plus de talent que de moyens, signe une troublante œuvre au noir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le romanesque s'allie ici généreusement avec une description complexe et attachante des caractères.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Avec un minimum de moyens, Sabota fait vivre tout un monde de pulsions refoulées et prêtes à exploser, tout un univers riche de tensions multiples, érotiques, affectives ou politiques.
Télérama
par Pierre Murat
Ce qui intrigue, cependant, et séduit, par moments, c'est l'habileté de Carlos Saboga (...) à créer entre ses personnages des rapports de force, autant politiques que sexuels.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un exercice de style soigné, mais aussi artificiel et passe-partout.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Première
par Damien Leblanc
Ce huis clos insiste sur la lueur des derniers désirs en temps de guerre, mais l’idée s’incarne trop froidement à l’écran.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Seule l'atmosphère malsaine, nourrie de jalousie perverse et de séduction incestueuse, est réussie.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
On étouffe dans cet univers sans fenêtre où les personnages superficiels sont bien peu attachants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Reste un enchevêtrement d’intentions certes bien raccordées les unes aux autres, mais si schématique qu’il vide la parabole de sa substance.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Un film froid, un peu malsain et superficiel, interprété par des acteurs inégaux.
Les Fiches du Cinéma
Carlos Saboga signe un huis clos à la photographie majestueuse dans le Portugal des années 1940. Impeccablement oopressant.
Positif
"À une heure incertaine" de Carlos Saboga déréalise l'histoire, le film instillant une once de doute dans ce huis clos débilitant.
L'Obs
Avec ce drame où tout est suggéré, où chacun semble chuchoter pour ne pas réveiller la guerre qui gronde au loin, où il ne faut pas se fier aux apparences, Carlos Saboga, qui a plus de talent que de moyens, signe une troublante œuvre au noir.
Le Monde
Le romanesque s'allie ici généreusement avec une description complexe et attachante des caractères.
Les Inrockuptibles
Avec un minimum de moyens, Sabota fait vivre tout un monde de pulsions refoulées et prêtes à exploser, tout un univers riche de tensions multiples, érotiques, affectives ou politiques.
Télérama
Ce qui intrigue, cependant, et séduit, par moments, c'est l'habileté de Carlos Saboga (...) à créer entre ses personnages des rapports de force, autant politiques que sexuels.
L'Humanité
Un exercice de style soigné, mais aussi artificiel et passe-partout.
Première
Ce huis clos insiste sur la lueur des derniers désirs en temps de guerre, mais l’idée s’incarne trop froidement à l’écran.
Studio Ciné Live
Seule l'atmosphère malsaine, nourrie de jalousie perverse et de séduction incestueuse, est réussie.
aVoir-aLire.com
On étouffe dans cet univers sans fenêtre où les personnages superficiels sont bien peu attachants.
Critikat.com
Reste un enchevêtrement d’intentions certes bien raccordées les unes aux autres, mais si schématique qu’il vide la parabole de sa substance.
Le Journal du Dimanche
Un film froid, un peu malsain et superficiel, interprété par des acteurs inégaux.