Paris, mon petit corps est bien las de ce grand monde : Critique presse
Paris, mon petit corps est bien las de ce grand monde
Note moyenne
2,7
11 titres de presse
Libération
Télérama
Cahiers du Cinéma
Chronic'art.com
L'Humanité
L'Obs
Ciné Live
Le Monde
Première
Repérages
Studio Magazine
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Libération
par P.Azoury
Sous ses aspects décousus, Franssou Prenant nous donne une leçon de découpage, avec ses accélérations et ses cristallisations, ses moments où les corps semblent tous vouloir se heurter (...)
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Marine Landrot
Pour cette vision si unique et si envoûtante de la capitale, ce film nombriliste et bavard vaut vraiment le détour.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Elisabeth Lequeret
Pour que Paris, mon petit corps... aille au-delà du simple dispositif mental, sans doute aurait-il fallu qu'il obéisse à une loi, une nécessité intérieure. Peut-être aurait-il simplement fallu une mise en scène.
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Hélas, tout parfum est volatile, et celui de Paris, mon petit corps... disparaît bien vite dans la trop grande disparité des images, des pistes et des mots. Encombrée d'élucubrations toujours plus obscures, la poésie devient pose intellectuelle.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Agaçante et naïve par moments, cette ouvre libre dégage une formidable sensualité par sa manière inspirée de mettre en valeur des objets ou des détails poétiques.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par J.M.
Le talent de Franssou Prenant gagnerait (...) a être canalisé car, noyé derrière un parti pris formel déconcertant, il laisse ici un sentiment d'inachevé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Ciné Live
par Emmanuel Cirodde
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
par Jean-Michel Frodon
Ce jekyll-et-hydisme de pacotille a l'inconvénient de pontifier en méditations existentielles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christophe Carrière
(...) c'est bien se moquer du «monde» que de le filmer et le raconter avec autant de prétention et de vacuité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Repérages
par Franck Beauvais
Ce n'est finalement un film qui ne pose de regard que sur lui-même, au mépris du monde, de ceux qui le peuplent, du cinéma et surtout de ceux qui le voient.
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Libération
Sous ses aspects décousus, Franssou Prenant nous donne une leçon de découpage, avec ses accélérations et ses cristallisations, ses moments où les corps semblent tous vouloir se heurter (...)
Télérama
Pour cette vision si unique et si envoûtante de la capitale, ce film nombriliste et bavard vaut vraiment le détour.
Cahiers du Cinéma
Pour que Paris, mon petit corps... aille au-delà du simple dispositif mental, sans doute aurait-il fallu qu'il obéisse à une loi, une nécessité intérieure. Peut-être aurait-il simplement fallu une mise en scène.
Chronic'art.com
Hélas, tout parfum est volatile, et celui de Paris, mon petit corps... disparaît bien vite dans la trop grande disparité des images, des pistes et des mots. Encombrée d'élucubrations toujours plus obscures, la poésie devient pose intellectuelle.
L'Humanité
Agaçante et naïve par moments, cette ouvre libre dégage une formidable sensualité par sa manière inspirée de mettre en valeur des objets ou des détails poétiques.
L'Obs
Le talent de Franssou Prenant gagnerait (...) a être canalisé car, noyé derrière un parti pris formel déconcertant, il laisse ici un sentiment d'inachevé.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
Le Monde
Ce jekyll-et-hydisme de pacotille a l'inconvénient de pontifier en méditations existentielles.
Première
(...) c'est bien se moquer du «monde» que de le filmer et le raconter avec autant de prétention et de vacuité.
Repérages
Ce n'est finalement un film qui ne pose de regard que sur lui-même, au mépris du monde, de ceux qui le peuplent, du cinéma et surtout de ceux qui le voient.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com