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    La Confession
    Note moyenne
    3,5
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    154 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 mars 2017
    Que c'est poussif et je comprends pourquoi devant tant de non dit, d'interdits, d'auto-censure Freud a connu un tel succès ! L'ambivalence des sentiments, renforcée par le mauvais jeu de M.Vacth qui joue plus la petite peste boudeuse qui récite sa leçon, dans une ambiance post-sthendalienne du récit qui se déroule à la vitesse d'une huître, fait que lon souhaite deux choses : une passage à l'acte si possible avant les dix dernières minutes, sout une fin rapide du film. La confession pré mortem n'en rend que plus insupportable l'atmosphère du film.
    Je conseille donc ce film aux pauvres élèves de première qui doivent préparer le bac de français. Grâce à la Confession, ils auront une synthèse du romantisme littéraire de la fin du XIX ème.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 mars 2017
    Une belle rencontre entre deux âmes animées de détermination et de conviction...et d'amour. Belle adaptation !
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 mars 2017
    Ce devait être un sacré challenge pour l'équipe les réalisateurs de reprendre ce classique du cinéma français sans commettre d'impair ; c'est au final une réussite totale ! Romain Duris, fidèle à lui même, excelle tant en justesse qu'en retenue dans le rôle du prêtre, quant à Marine Vacth, elle confirme ses dispositions d'actrice de premier plan. Les images, de grande qualité et filmées dans une douceur perceptible, offrent à cet opus une dimension supplémentaire en termes d'intimité et d'émotion. Un grand bravo à toute l'équipe
    Agathe R.
    Agathe R.

    13 abonnés 83 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 mars 2017
    Un film original emprunt d'émotion. Belle rencontre entre une paroissienne réticente à croire en la religion catholique et un prêtre à la fois séduisant et habité par son choix (être prêtre). Romain Duris est convaincant dans ce rôle de prêtre et Marine Vacth est émouvante. Tout les sépare, ils s'affrontent mais ils se respectent. Une grande richesse de dialogue. Les sentiments sont forts, et illustrent une de ces histoires d'amour improbables ou condamnables de cette période.
    Hervé L
    Hervé L

    14 abonnés 76 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 mars 2017
    Bilan mitigé: le film est intéressant mais on peut regretter que le réalisateur n'ait pas clairement fait le choix d'une oeuvre méditative, en recentrant davantage son film sur les passionnants dialogues entre ce jeune prêtre et cette jeune femme communiste athée. Le contenu de leurs discussions est en effet une véritable réflexion sur la foi et la religion. Hélas, trop de personnages secondaires caricaturaux et d'intrigues accessoires viennent parasiter l'essentiel du film: ces échanges captivants entre un prêtre et une non-croyante, la possibilité d'une conversion. Avec cette question centrale du film autour du prêtre et de la jeune femme: "Aimait-elle véritablement Dieu à travers lui, ou seulement lui à travers Dieu?".
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 mars 2017
    beau, simple, efficace, bien joué, musique en accord. un bon moment. le sujet est très bien servi. les deux heures passent très vite.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 11 mars 2017
    j'ai beaucoup aimé ce film qui raconte la rencontre d'une jeune femme mariée et d'un jeune prêtre pendant la seconde guerre mondiale. le scénario est bien écrit et c'est surtout la qualité de jeu des deux interprètes qui m'a séduit. Romain Duris incarne Léon Morin avec justesse et passion, Marina Vacth est rayonnante et déterminée dans sa volonté de résister à l'amour. à voir actuellement dans les salles gaumont.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 11 mars 2017
    "L'amour jusqu'à l'impossible" c'est ce message qui m'a incité à aller voir le film. Le début assez touchant lorsque l'héroïne se confie au prêtre. Mais alors la première partie très longue. Rebondissement à la deuxième partie toute la révélation du sujet principal. Je signale que je n'ai pas vu Léon prêtre.
    zoupeurman
    zoupeurman

    13 abonnés 328 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mars 2017
    Quelle beauté. On tombe amoureuse de Romain Duris en même temps que Marine Vacth. L'amour est sublimé à travers les mots, les regards et les souffles. Les plans du réalisateur sont parfaits pour capter le meilleur des deux acteurs principaux.
    Fanadri123
    Fanadri123

    27 abonnés 116 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 mars 2017
    Sous l’Occupation allemande, dans un petit village français, l’arrivée d’un nouveau prêtre suscite l’intérêt de toutes les femmes. En particulier celui de Barny, jeune femme communiste et athée, qui va être de plus en plus intriguée par ce nouvel arrivant aussi séduisant qu’intelligent.

    La Confession est la troisième adaptation du roman Léon Morin, Prêtre de Béatrix Beck, après la version de Jean-Pierre Melville avec Jean-Paul Belmondo et Emmanuelle Riva (1961) et celle de Pierre Boutron avec Robin Renucci et Nicole Garcia (1991), c’est au tour de Nicolas Boukhrief de livrer sa vision du roman, et pour cela il s’entoure de deux excellents comédiens : Romain Duris et Marine Vacth.
    Le réalisateur Nicolas Boukhrief, habitué aux films d’actions (Le Convoyeur (2004) et Made In France (2016)), s’essaie au drame intimiste et gagne son pari honorablement même si le film aurait pu avoir une dimension plus ample et plus empathique.

    Deux êtres que tout oppose, l’un est prêtre et l’une est sans religion. Tous les deux sont dotés d’une sincérité absolue dans leur foi et leur ouverture. Romain Duris et Marine Vacht forment un véritable couple de cinéma, sincère et sensible mais impossible.

    Romain Duris s’en est allé faire une petite retraite à l’Abbaye de Lérins, sur l’île Saint-Honorat (près de Cannes), afin de se préparer au mieux pour son rôle du Père Léon Morin. Certes ! Ici, Duris est charmeur et le personnage de Marine Vacth, au caractère rebelle, est si sûr d’elle-même qu’elle ne peut être que déstabilisée par le naturel désinvolte du père Morin, leur rencontre étant si peu conformiste. Tourmentée jusqu’au bout, Vacth est magnétique et brille par son orgueil.

    Le réalisateur cadre ses acteurs avec une précision ultime, certains plans sont magnifiquement photographiés. Malgré quelques scènes prévisibles, c’est sobre, juste et bien accompagné par la bande originale de Nicolas Errera.

    En revanche, le questionnement sur la spiritualité et la foi manque peut-être de profondeur, la sensation de survol du sujet se fait quelque peu ressentir. Le manque d’enjeux externes à leur relation impossible peut sonner creux mais ce n’était peut-être pas dans l’optique du réalisateur qui préférait se focaliser sur l’amour ambigu de ses deux protagonistes.

    La Confession est un joli film dramatique, bien réalisé et bien joué qui laisse cependant un goût de trop peu.
    pierre72
    pierre72

    138 abonnés 367 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 mars 2017
    "La confession" est une nouvelle adaptation d'un roman de Beatrix Beck, Goncourt du début des années 50. Une précédente version cinématographique de Jean-Pierre Melville avec Emmanuelle Riva et Jean-Paul Belmondo avait fait date. Nous étions alors au début des années 60.
    Je me demande bien, à part un retour certain du religieux en général, ce qui a pu motiver cette nouvelle version. Franchement, cette vague histoire d'amour durant la dernière guerre mondiale entre une athée communiste et un prêtre apparaît bien gnangnan aujourd'hui. On me rétorquera, comme essaie de nous le redire le film, que les plus belles amours sont souvent platoniques. Pourquoi pas ? Soyons romantiques alors !
    En regardant de plus près que voit-on ? Que lit-on derrière ces beaux plans agrémentés par deux très bons acteurs ? Encore les vieux poncifs que l'on croyait disparus ! Elle ( prénommée Barny), vit seule avec sa fille, son mari étant prisonnier en Allemagne. Comme toute les femmes du village, le manque d'homme se fait sentir. Et quand elle découvre l'abbé Morin dont toutes ses copines disent le plus grand bien, son sang ne fait qu'un tour. Il est canon ! ( Oui en 40, on parlait comme ça madame !). En plus c'est Romain Duris, cheveux longs, barbe hipster... Il ne lui en faut pas plus pour aller le narguer, opposer sa pensée de mécréante à celle du vendeur d'évangiles. Bon ça marche moyen mais, intuition féminine aidant, en essayant la conversion au catholicisme, elle pense bien pouvoir arriver à mettre le petit Jésus dans la crèche. Las, si la femme n'est finalement qu'une chaudasse prête à tout, le mâle ecclésiastique lui sait résister à l'appel de la chair ... Ca c'est du curé, bu bon, du vrai, la foi chevillée au corps !
    Totalement estampillé "Bon pour le caté" et d'ailleurs sponsorisé par "Le pélerin magazine" , le film enchantera "Sens commun". La communiste vacille. Même si cette traînée rêve en fait de tâter le goupillon, la brebis est au bord de rentrer dans le bon bercail. Elle rebroussera chemin en fait ( je ne révèle rien, c'est au début du film ) mais ne sera pas arrivée à ses fins ( ouf !)! Si l'abbé avait enlevé sa soutane comme quelques confrères, sans doute aurait-il réussi... mais là, on sort du chemin balisé des histoires bien pensantes.
    Nicolas Boukhrief a certes un peu dépoussiéré l'histoire. Il filme avec un certain détachement cet affrontement et parce qu'il évite presque totalement l'ambiguïté, il ne réussit pas à gommer tous les clichés qui traînaient déjà dans le roman. (Et je vous fais grâce des personnages secondaires, tous plus stéréotypés les uns que les autres). Pourtant, le film parvient quand même à ne pas être rasoir car tous les face à face entre Romain Duris et Marine Vacth, filmés en plans rapprochés et enveloppés par de légers et gracieux mouvements de caméra, sont formidables.
    La fin sur le blog
    benoitG80
    benoitG80

    3 416 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 mars 2017
    "La Confession" semblait sur le papier une bonne idée d'autant plus que le roman "Léon Morin, prêtre" en est à la source !
    Hélas, je n'ai absolument pas vibré avec ces deux acteurs beaucoup trop démonstratifs dans leur physique et dans leurs intentions...
    Avoir choisi Romain Duris, plus tout jeune, au look de barbu très tendance et contemporain, avec ce pouvoir de séduction qui crève l'écran face à une Marine Vacth hautaine et d'emblée aussi déterminée dans ses idées et dans son attirance vis à vis de cet homme d'église n'était pas le meilleur choix.
    Ce qui ne laisse finalement aucune surprise au spectateur puisque tout semble tellement évident et flagrant au premier regard...
    Il aurait fallu au contraire semer progressivement l'interrogation, le doute dans la naissance de cette relation, la suggérer davantage avec toute la retenue que l'époque et le contexte d'occupation l'exigeait...
    Une approche plus sensible et délicate entre cet homme et cette femme avait tout lieu d'être !
    Il aurait été judicieux de choisir un très jeune prêtre, fragile et inexpérimenté où le trouble se serait indiciblement installé face à la présence de la féminité...
    Tout est montré assez lourdement, de manière appuyée jusque dans les dialogues où apparaissent des expressions forcément inusitées dans les années 40 (être canon, se faire allumer, et même le fait de dire "du coup" dans la bouche du prêtre Morin, impensable car étant un véritable tic de langage du XXI ème siècle !)...
    Si bien que de nous servir aussi brutalement tous ces ingrédients sur un plateau sans prendre le soin d'y mettre toute l'alchimie et la subtilité nécessaires, rend cette histoire incohérente, voire impossible dans ces conditions.
    À titre d'exemple, le fait de pouvoir se rendre aussi facilement chez l'un, chez l'autre en pleine nuit, sans même prévenir de son arrivée, sans taper à la porte est parfaitement inconcevable.
    De plus, pour ne rien arranger les personnages jouent pour la plupart faux, récitent leur texte sans conviction aucune et finissent par ne pas être crédibles du tout, comme lors de cet office où Romain Duris insiste si lourdement sur le mot "Amour"...
    Là où la sensibilité avait toute sa raison d'être, le réalisateur Nicolas Boukhrief a préféré montrer et démontrer comme s'il avait peur de ne pas se faire comprendre, de ne pas être assez clair sur les sentiments de ces deux êtres.
    Dommage vraiment de ne pas avoir su extraire toute la subtilité, toute la complexité de cet amour dont le livre fait parfaitement état, en le résumant ici à des idées toutes faites, à des clichés dont on se serait bien passés.
    Cette adaptation intéressante sur le fond, le célibat dans le catholicisme étant toujours d'actualité, aurait juste mérité un autre traitement...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 11 mars 2017
    Super émouvant, un bon rythme, une lumière magnifique, une musique très belle. Je ne pensais pas que Nicolas Boukhrief arriverait à faire un tel film. Un film original avec deux acteurs au sommet de leur forme. On retrouve le Duris qu'on aimait et qu'on avait perdu depuis quelques temps.
    PaulGe G
    PaulGe G

    109 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2017
    deux comédiens excellents sur un sujet difficile et combien actuel . deux comédiens pour un dialogue au plus que parfait. deux comédiens dans une mise en scène délibérément lente. sans oublier le rôle important de l'admirable Anne Le Ny . un film philosophique un film sur le droit d'avoir une foi ou pas. sur le droit d'aimer ou pas.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 mars 2017
    Magnifique. J'ai hésité à le voir car la bande annonce est étrange. Mais poussé par un ami j'y suis quand même allé pour voir Duris. Il est génial en prêtre et Marine Vacth est super séduisante à ses côtés. J'ai été complètement pris par cette histoire jusq'au bout du film car on a envie de savoir qui va convaibcre l'autre et jusqu'où cette histoire va les mener. Ca me donne envie de voir le film avec Belmondo.
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