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christophe D10
17 abonnés
631 critiques
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3,0
Publiée le 18 décembre 2022
j'ai trouve romain duris tres bon mais a par ca le scenario est assez mince et le film s’oubllie aussi vite qu’il a ete vu. sinon ca se regarde sans deplaisir mais sans grande emotion non plus - un film juste moyen
Perturbant, les dialogues posent souvent de bonnes questions mais malheureusement beaucoup restent sans réponse. Les personnages sont opposés et pourtant attirés. Une période trouble où les voisins étaient souvent aussi dangereux que les envahisseurs. Une autre forme de film de guerre qui voit le côté civil.
Bon film, belle romance impossible avec Romain Duris, super comme d'habithude. J'ai versé quelques larmes car c'est un film dramatique, j'aurais aimé comme beaucoup je pense une autre fin...
Comme dans beaucoup de films actuels la bande son est si mauvaise que l'on doit constamment augmenter le volume pour comprendre les acteurs. A moins que l'actrice principale ne se donne pas la peine d'être compréhensible. Romain Duris reste audible, heureusement. Cette critique mise à part, c'est un beau film, plein de sensibilité, d'amour, Romain Duris est tres crédible en prêtre résistant à la tentation.
Un film qui manque de substance, heuresement presque sauvé par le beau duo Romain Duris / Marine Vacth. Mais la fin est nulle et ces flashbacks agaçants.
Nicolas Boukhrief réalise un thriller amoureux avec un Romain Duris en séduisant curé suscitant l’intérêt de toutes les femmes d’un village, laissées seules par leur homme durant la Grande Guerre. L’une d’elle, Marine Vacth, pourtant en est complètement indifférente. Peut-être est-ce parce qu’elle est athée et communiste. Elle va alors se lancer le défi de manipuler l'abbé dans le confessionnal. Qui gagnera au jeu de la séduction ? Avec ses dialogues merveilleusement écrit, La Confession s’avère être une œuvre de tension sexuelle tout en remettant en question la notion de foi. Déjà adapté deux fois à l’écran par Jean-Pierre Melville et Pierre Boutron, le roman Léon Morin, prêtre se découvre une nouvelle intensité dans les yeux de deux acteurs fabuleux. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
J'ai été très touchée par ce film. Après un début que j'ai trouvé parfois maladroit, le film a décollé et j'ai beaucoup aimé le jeu de Romain Duris notamment.
La confession s'efforce de raconter la relation entre un prêtre d'un village sous l'occupation nazie avec une jeune femme du village, aux tourments concernant sa foi... Une relation ambigüe, dont on pense que les barrières vont cédées mais il n'en est rien. Autant, le film jouit d'une belle mise en scène, très vétuste d'époque, de grisaille et de ton relativement austère, la relation avec le prête joué par Romain Duris rend le film trop penché sur leur cas, où les dialogues en finissent par être insignifiants. En vérité, rien ne semble véritablement prendre le public dans le coup du film dont on ne trouve que quelques banalités et sans émotion
Quel gâchis!! J'ai pas lu le livre mais il peut pas être pire. Le style est louuuuurd mais lourd, on n'y croit pas une seconde, et les acteurs sont d'un grotesque à faire pleurer, même Romain Duris. Mais le pompon sur le gâteau de la médiocrité c'est quand même Marine Vacth, sans blague? Non mais ils l'ont pas vu qu'elle débite son texte (profondément insipide lui aussi) vraiment, mais alors vraiment, de la pire manière possible, entre le robot et les instructions de boites vocales. Sans déc', j'ai jamais vu personne jouer aussi mal, même pas dans les sitcoms AB, et portant il y a du niveau dans ces abominations télévisuelles. Je m'enfonçais de honte dans mon siège à chaque fois qu'un personnage prenait la parole.... Un manque criant de naturel, qui, lorsqu'il est un choix peut fonctionner dans certains films, sous réserve d'une réalisation originale (ou simplement lorsque le talent est au rendez-vous). Alors si les dialogues sont inconsistants, que les acteurs jouent mal et que la mise en scène est à foutre à la poubelle, il ne reste plus grand chose. Oh! Et j'allais oublier ces flashbacks naïfs qui ne font qu'entrecouper un film déjà bien bancal et trop saccadé. Bref, ridicule et inutile. Il y a des tomates pourries qui se sont perdues....
Voici donc une nouvelle variation adaptée du roman "Léon Morin, prêtre", 30 ans après le film de Melville avec Belmondo. Si Romain Duris comme toujours entre avec aisance et sincérité dans le personnage du Prêtre, c'est Marine Vacth qui éclaire véritablement le film, transcendée par son personnage de femme dévorée par l'émoi de ses échanges avec l'homme de foi. Long flashback sur la durée du film, cette "confession", partition littéraire plutôt austère réussit le pari du sous-texte et les regards comme les non-dits sensuels ponctuent les réunions quotidiennes de ce couple interdit. un joli film qui honore le roman sans le dénaturer.
en pleine période de la guerre 39/45, la confession est d'abord un drame narré et réalisé sobrement. bien qu'il s'étire un peu sur la longueur, c'est une histoire d'amour que l'on attend, c'est aussi une réflexion sur la foi. un joli face à face entre R. Duris (qui peut tout jouer avec une grande justesse) et M. Vacth.
Nicolas Boukhrief change radicalement de style et se confronte à un thème classique. On est d'ailleurs ici davantage dans une nouvelle adaptation du roman et non devant un remake du classique de Melville. Le cinéaste privilégie ici l'histoire d'amour impossible entre deux êtres que tout semble opposer. Il ne tombe jamais dans le mélodrame et signe un drame digne et finalement poignant. A noter l'excellence de l'interprétation des deux acteurs principaux. Un bien beau film donc, malgré une thématique quelque peu surannée.