j'ai trouve romain duris tres bon mais a par ca le scenario est assez mince et le film s’oubllie aussi vite qu’il a ete vu. sinon ca se regarde sans deplaisir mais sans grande emotion non plus - un film juste moyen
J'ai bien aimé cette adaptation du prix Goncourt de 1952 par Béatrix BECK. J’ignorais ce roman, tout comme la 1ere adaptation de JP Melville “Léon Morin, prêtre”, avec JP Belmondo, en 1961, et Emmanuelle Riva. J'y ai vu, surtout, le portrait d’une femme, Barny, communiste dans l’âme, qui tombe amoureuse du prêtre et ira jusqu’à se convertir pour tenter de le séduire … elle y réussira mais il n’y aura pas de coups de reins. Léon restera inflexible, même s’il avouera son amour à la sublime Barny, confession inversée, et celà restera platonique, ils se quitteront pour toujours. Le film vaut pour les deux très bons acteurs, leurs dialogues ciselés, les réponses du prêtre sur la foi, et la subtilité avec laquelle on ressent la montée du désir chez Barny. J’émettrais un gros bémol sur les seconds rôles : les postières, collègues de Barny, sont ridicules, pas crédibles.
J'ai été voir ce film superbe ce matin, si vous aimez les bons films français, n'hésitez pas à aller le découvrir. Je l'ai trouvé vraiment superbe, très passionné mais tout dans les sentiments ! C'est un film très bien réalisé, très calme, très silencieux. Je ne saurais pas comment définir ce que j'ai ressenti en quittant la salle mais je me sentais sereine et légère..... c'est très étrange, pourtant je suis un peu fâchée avec la religion dans laquelle j'ai brièvement été éduquée ... Mais il n'empêche que ce film , ces dialogues, ces paroles, résonnent en vous sans vous prévenir et en vous prenant pas surprise... Tout comme l'histoire nous le raconte si bien finalement ;) ! Et que dire de ce duo d'acteur qui fait toute la différence =) ! J'ai toujours adoré Romain Duris et son immense talent, je n'ai, une fois de plus, pas été déçue =D !
Une très belle interprétation de Romain Duris et de Marine Vacth dans une impossible histoire d'amour, chacun ayant un attachement personnel : l'église pour l'un et son époux pour l'autre. Le film aurait pu s'appeler la tentation tant elle est grande, mais le titre choisi est bien plus fort encore.
Voila un film qui pourrait plaire à un chrétien ; mais pour celui qui a abandonné toute croyance, se retrouver dans l'ambiance triste et morbide de l'ambiance d'une église n'est pas un réel moment de plaisir. Toutefois, le film est bien réalisé et se regarde .... tristement.
« La Confession » est une libre adaptation du roman "Léon Morin, Prêtre" de Béatrix Beck (Prix Goncourt 1952). Béatrix Beck fut la dernière secrétaire d'André Gide. Ce dernier l'incita vivement à écrire sur ses propres expériences. L'histoire de "la Confession" est donc en partie tirée d'une histoire vraie : celle de Béatrix Beck elle-même. Au soir de sa vie, une vielle femme demande un prêtre pour entendre sa confession. Un jeune prêtre arrive, un peu impressionné, car « elle n’est pas croyante ». Arrivé à son chevet, la confession va dérouler le récit d’une histoire, d’une rencontre qui a bouleversé sa vie... Lire la suite sur mon blog..
Film très réussi, et pourtant il y avait de nombreux pièges. Comme croyant, puis prêtre, accompagnant des personnes en recherche, je me suis retrouvé dans cette situation de diaolgue ouvert, qui n'aboutit pas toujours à l'acte de foi et qui interpèle autant l'accompagnant que l'accompagné. Il m'est arrivé aussi, jeune converti, de confondre l'amour de Dieu et celui de l'homme (de la femme!). La fin est très juste : comme le disais cet éveque très sage " si Claudia Schiffer (ça date) se retrouve dans mon lit, bien sûr que je vais succomber! le secret est de ne pas la retrouver dans son lit !!!!! un bémol sur la longueur: 20 min de mois par ci par là aurait été appécié 2 très bon acteurs
Un film qui manque de substance, heuresement presque sauvé par le beau duo Romain Duris / Marine Vacth. Mais la fin est nulle et ces flashbacks agaçants.
Sous l’Occupation allemande, dans une petite ville française, l’arrivée d’un nouveau prêtre suscite l’intérêt de toutes les femmes... Barny, jeune femme communiste et athée, ne saurait cependant être plus indifférente. Poussée par la curiosité, la jeune sceptique se rend à l’église dans le but de défier cet abbé : Léon Morin. Habituellement si sûre d’elle, Barny va pourtant être déstabilisée par ce jeune prêtre, aussi séduisant qu’intelligent. Intriguée, elle se prend au jeu de leurs échanges, au point de remettre en question ses certitudes les plus profondes. Barny ne succomberait-elle pas au charme du jeune prêtre ?
Je n'ai pas adhéré au film tout simplement par la longueur de sa narration et de son scénario peu original. Bien que le jeu d'acteurs est bon, le film ne relate rien et finit par ennuyer.
Enormément aimé ce film sobre et parfaitement maîtrisé. Très impressionnés par le jeu magistral de Romain Duris. Les dialogues ciselés excellents. Très bien joué dans l'ensemble même si on aurait aimé voir l'actrice sourire au moins une fois... Le casting était parfait. Personnellement, j'ai aimé retrouver ces ambiances de maison d'autrefois sans bruit de télé, où on entend le bois qui craque dans l'escalier...
Spectateurs très concentrés... Deux dames discutaient en sortant, l'une disant à l'autre "infiniment plus réussi que celui de Melville !". Moi je n'ai pas vu le Melville mais j'essayais d'imaginer le Belmondo gringalet de l'époque et ça ne m'inspirait guère, à mon avis certainement moins crédible que Romain Duris.
C''est vraiment un beau film, avec une atmosphère, qui touche par l'universalité du questionnement, un film intelligent et délicat, rien qui ne s'impose, tout en finesse, respectant chacun. À ne pas manquer, il fait du bien en ce moment, il élève singulièrement le débat.
Barny, sur son lit de mort, fait appel à un prêtre pour se confesser. C’est à travers son récit que nous nous retrouvons dans la France occupée de la seconde guerre mondiale dans un petit village français. La jeune Berny (interprétée par la ravissante Marine Vatch), vivant seule avec ses deux enfants car son mari est fait emprisonner en allemagne par les nazis va doucement tomber amoureuse du nouveau prêtre du bourg. De nature très fidèle, elle va mettre du temps avant de comprendre ce sentiment d’attirance qu’elle récent pour le père Mourin. Amour, religion, occupation de nombreux thèmes sont évoqués dans ce film.
L’atmosphère est très particulière. On retrouve la dureté de la guerre tout en profitant de la douceur des personnages. Le dynamisme est adapté à l’histoire, il faut davantage rechercher les sentiments plutôt que l’action. Le seul bémol que nous avons à partager est qu’on a l’impression que les acteurs misent plus sur leurs physiques et leurs poses que sur leur jeu. Sinon, le film est assez prenant et on ne voit pas passer les deux heures. Si vous avez l’occasion allez y ! A bientôt !