Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
C’est une tragédie amoureuse toute en discrétion qu’il offre au spectateur. Ce qui rend son film touchant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Alex Masson
"La Confession" ravive la fibre éternelle des beaux mélos : la découverte de l'amour comme une révolution.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Femme Actuelle
par La Rédaction
Romain Duris et Marine Vacth interprètent magnifiquement cette histoire d'amour impossible.
L'Obs
par Jérôme Garcin
On a compris que Nicolas Boukhrief a réussi à filmer ce qui est infilmable : l’amour absolu, débarrassé de tout ce qui l’encombre, l’abîme et le condamne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
La réalisation, avec ses atmosphères hivernales et ses lumières intérieures soignées, fait surgir des moments de grâce et porte une émotion délicate jusqu’à la dernière image.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Nicolas Boukhrief (Le Convoyeur, Made in France ) s'attaque efficacement à un genre inédit. Avec La Confession, il raconte d'abord la naissance d'un amour et, à travers les questions de religion, prêche, sans doute comme dans Made in France, le respect des différences.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Marie-Noëlle Tranchant
Marine Vacth est magnifique d’intelligence, de sensibilité, d’inquiétude, de défaillance parfois. Face à elle, Romain Duris, clair, vif, garde un naturel presque désinvolte.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Nicolas Boukhrief revisite librement le roman de Béatrix Beck, dans un film porté par les prestations de Romain Duris et Marine Vacth.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Jeanne de Maisonneuve
Un beau portrait de femme tourmentée.
VSD
par Olivier Bousquet
L’adaptation touchée par la grâce de Léon Morin, prêtre.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une joute verbale toute en subtilité et en séduction entre deux êtres aux convictions diamétralement opposées.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Le mélo, qui bénéfice d’une belle lumière, n’en reste pas moins une émouvante histoire d’amour en forme de confrontation à laquelle Romain Duris, convaincant en ecclésiastique charmeur et spirituel, et la magnétique Marine Vacth apportent un supplément d’âme.
Télérama
par Jacques Morice
Il est clair, en revanche, qu'on se serait bien passé des moments montrant Barny, en fin de vie, confessant son secret à un jeune prêtre. Mais ce faux pas ne fait pas oublier l'intensité incantatoire du « duel » amoureux, les yeux dans les yeux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Lola Sciamma
Sans pour autant démériter, cette nouvelle adaptation disciplinée du roman "Léon Morin, prêtre" souffre de la comparaison avec le film de Melville.
Critikat.com
par Clément Graminiès
Mais au-delà de cette rhétorique qui ne sort pas des sentiers battus, "La Confession" se satisfait de trop peu, à l'image des seconds rôles absolument catastrophiques qui gravitent autour de la jeune femme.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet
Nicolas Boukhiref passe à coté de l’oeuvre méditative qu’il semble vouloir livrer à trop tergiverser. Plus qu’un réel ratage, La Confession est un film bancal.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La reprise de “Léon Morin, prêtre”, le beau roman de Béatrix Beck, déjà porté deux fois à l’écran, sans que cette troisième adaptation fasse la preuve d’une grande originalité, voire d’une grande nécessité.
Le Monde
par Mathieu Macheret
L’efficacité de la mise en scène rend justice aux personnages, mais sa littéralité dilapide le trouble et l’ambiguïté de leur relation.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Une mise en scène trop lisse pour raconter cette histoire d'amour impossible.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Une petite ville française sous l’Occupation. L’arrivée d’un nouveau prêtre suscite l’intérêt de ces dames. Léon Morin ainsi revisité, tout sonne faux, les dialogues, les décors, les acteurs et Romain Duris en particulier.
20 Minutes
C’est une tragédie amoureuse toute en discrétion qu’il offre au spectateur. Ce qui rend son film touchant.
CinemaTeaser
"La Confession" ravive la fibre éternelle des beaux mélos : la découverte de l'amour comme une révolution.
Femme Actuelle
Romain Duris et Marine Vacth interprètent magnifiquement cette histoire d'amour impossible.
L'Obs
On a compris que Nicolas Boukhrief a réussi à filmer ce qui est infilmable : l’amour absolu, débarrassé de tout ce qui l’encombre, l’abîme et le condamne.
La Croix
La réalisation, avec ses atmosphères hivernales et ses lumières intérieures soignées, fait surgir des moments de grâce et porte une émotion délicate jusqu’à la dernière image.
Le Figaro
Nicolas Boukhrief (Le Convoyeur, Made in France ) s'attaque efficacement à un genre inédit. Avec La Confession, il raconte d'abord la naissance d'un amour et, à travers les questions de religion, prêche, sans doute comme dans Made in France, le respect des différences.
Le Figaroscope
Marine Vacth est magnifique d’intelligence, de sensibilité, d’inquiétude, de défaillance parfois. Face à elle, Romain Duris, clair, vif, garde un naturel presque désinvolte.
Les Fiches du Cinéma
Nicolas Boukhrief revisite librement le roman de Béatrix Beck, dans un film porté par les prestations de Romain Duris et Marine Vacth.
Ouest France
Un beau portrait de femme tourmentée.
VSD
L’adaptation touchée par la grâce de Léon Morin, prêtre.
aVoir-aLire.com
Une joute verbale toute en subtilité et en séduction entre deux êtres aux convictions diamétralement opposées.
Le Journal du Dimanche
Le mélo, qui bénéfice d’une belle lumière, n’en reste pas moins une émouvante histoire d’amour en forme de confrontation à laquelle Romain Duris, convaincant en ecclésiastique charmeur et spirituel, et la magnétique Marine Vacth apportent un supplément d’âme.
Télérama
Il est clair, en revanche, qu'on se serait bien passé des moments montrant Barny, en fin de vie, confessant son secret à un jeune prêtre. Mais ce faux pas ne fait pas oublier l'intensité incantatoire du « duel » amoureux, les yeux dans les yeux.
Voici
Sans pour autant démériter, cette nouvelle adaptation disciplinée du roman "Léon Morin, prêtre" souffre de la comparaison avec le film de Melville.
Critikat.com
Mais au-delà de cette rhétorique qui ne sort pas des sentiers battus, "La Confession" se satisfait de trop peu, à l'image des seconds rôles absolument catastrophiques qui gravitent autour de la jeune femme.
Culturopoing.com
Nicolas Boukhiref passe à coté de l’oeuvre méditative qu’il semble vouloir livrer à trop tergiverser. Plus qu’un réel ratage, La Confession est un film bancal.
Le Dauphiné Libéré
La reprise de “Léon Morin, prêtre”, le beau roman de Béatrix Beck, déjà porté deux fois à l’écran, sans que cette troisième adaptation fasse la preuve d’une grande originalité, voire d’une grande nécessité.
Le Monde
L’efficacité de la mise en scène rend justice aux personnages, mais sa littéralité dilapide le trouble et l’ambiguïté de leur relation.
Studio Ciné Live
Une mise en scène trop lisse pour raconter cette histoire d'amour impossible.
La Voix du Nord
Une petite ville française sous l’Occupation. L’arrivée d’un nouveau prêtre suscite l’intérêt de ces dames. Léon Morin ainsi revisité, tout sonne faux, les dialogues, les décors, les acteurs et Romain Duris en particulier.