Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Bien que "Que Dios Nos Perdone" prenne le polar au pied de la lettre (on est dans une enquête pur jus) -comme "Les Enquêtes du département V" le fait côté Scandinave -, il ne cesse de nous surprendre par ses choix narratifs ou son refus obstiné de la facilité.
Femme Actuelle
par Amélie Cordonnier
Violent et désenchanté, ce polar nous prend aux tripes pour nous mener jusqu'aux tréfonds de l'âme humaine.
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Ce remarquable thriller de Rodrigo Sorogoyen confirme les ressources de la nouvelle vague espagnole.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Sur une trame balisée, l'auteur-réalisateur espagnol surprend en dressant un portrait en creux de deux handicapés des relations humaines. Ajoutons quelques moments de bravoure de mise en scène, comme ce plan-séquence inattendu, quand l'assassin... A vous de voir! Ça vaut le coup.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Après "la Isla minima" d'Alberto Rodríguez et "la Colère d'un homme patient" de Raúl Arévalo, voici un nouveau polar ibérique d'exception.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Rien de bien neuf, mais du lourd ! Hyper polar.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un thriller à l’espagnole, bien noir et bien sanglant, qui cultive un macabre à la Goya, dans une atmosphère glauque et tendue : malgré quelques complaisances, ça fonctionne plutôt bien…
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec "Que Dios nos perdone", l'Espagnol Rodrigo Sorogoyen dresse le portrait d'une société en crise. Et confirme que le 7e art ibérique est en pleine forme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Le réalisateur espagnol Rodrigo Sorogoyen signe un polar sous haute tension avec un psychopathe sévissant dans les rues de Madrid.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Très sombre, ce polar tient aussi en haleine avec une investigation en forme de course contre la montre et des scènes spectaculaires. Une infernale poursuite à pied dans Madrid va rester dans les annales.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une intrigue oppressante ouvrant sur une mise en abyme éclairante de l’Espagne.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Une intrigue oppressante ouvrant sur une mise en abime éclairante de l'Espagne.
Ouest France
par La Rédaction
Un polar phénoménal qui prouve la vitalité du cinéma de genre espagnol.
Paris Match
par Yannick Vely
Le talent de Rodrigo Sorogoyen est de rendre palpable la chaleur qui donne envie de mordre, de nous faire oublier les ficelles du scénario grâce à l'atmosphère qui se dégage des rues poussiéreuses de Madrid.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Philippe Rouyer
La bonne idée de Rodrigo Sorogoyen est d'avoir situé l'action à Madrid au cours de l'été 2011 (...). A la canicule, qui amplifie le côté poisseux de cette affaire de violeur et tueur en série de vieilles bigotes, s'ajoute un climat anti-flic qui s'accorde au portrait ambigu des deux enquêteurs.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Sans cesse sur le qui-vive, la caméra à l'épaule traduit admirablement cette atmosphère suffocante, amène une rugosité à ce thriller fincherien, tendance Zodiac.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Jérémie Couston
Après La Isla mínima, qui mêlait, déjà, les codes du polar à la politique contemporaine, ce thriller vient confirmer l'excellente santé du cinéma de genre espagnol.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Madrid, été 2011. Alors que les gens manifestent contre la crise, que la visite du pape se prépare, deux policiers traquent un tueur en série. Une plongée dans la noirceur qui les gangrène de l'intérieur.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un thriller haletant, glauque et hyper violent, qui vous fera regretter d’avoir vécu un peu trop longtemps...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Thomas Choury
(...) la très bonne facture classique du film joue son rôle à plein, assurant la cohérence de la démonstration.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec son atmosphère tendue et pessimiste, ce polar dense et haletant dresse un tableau très sombre des hommes, criminels ou policiers, qu’il met en scène.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Tout surchauffe ici : la météo, le climat social, les troubles freudiens, les personnages, et le style de Sorogoyen, tendu, fébrile, physique, presque transpirant, branché à cent mille volts sur la rue madrilène, comme s’il y avait du Scorsese en lui.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
(...) tout n’est pas toujours d’une grande finesse dans ce film inégal à force de foisonnement. Mais, notamment parce qu’il creuse des idées auxquelles il croit, Rodrigo Sorogoyen évite le mimétisme cinéphilique et les vaines esbroufes qui sont le lot de tant d’autres films de genre espagnols.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Humanité
par Vincent Ostria
Hélas, les personnages sont surchargés, en particulier les deux flics tarés qui mènent l’enquête, alourdissant ce tableau de la médiocrité humaine.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
Filmant les autopsies des victimes avec autant de détails que les turpitudes des enquêteurs chargés de l’enquête, Rodrigo Sorogoyen produit un film aussi nauséabond qu’ennuyeux.
CinemaTeaser
Bien que "Que Dios Nos Perdone" prenne le polar au pied de la lettre (on est dans une enquête pur jus) -comme "Les Enquêtes du département V" le fait côté Scandinave -, il ne cesse de nous surprendre par ses choix narratifs ou son refus obstiné de la facilité.
Femme Actuelle
Violent et désenchanté, ce polar nous prend aux tripes pour nous mener jusqu'aux tréfonds de l'âme humaine.
Franceinfo Culture
Ce remarquable thriller de Rodrigo Sorogoyen confirme les ressources de la nouvelle vague espagnole.
L'Express
Sur une trame balisée, l'auteur-réalisateur espagnol surprend en dressant un portrait en creux de deux handicapés des relations humaines. Ajoutons quelques moments de bravoure de mise en scène, comme ce plan-séquence inattendu, quand l'assassin... A vous de voir! Ça vaut le coup.
L'Obs
Après "la Isla minima" d'Alberto Rodríguez et "la Colère d'un homme patient" de Raúl Arévalo, voici un nouveau polar ibérique d'exception.
La Voix du Nord
Rien de bien neuf, mais du lourd ! Hyper polar.
Le Dauphiné Libéré
Un thriller à l’espagnole, bien noir et bien sanglant, qui cultive un macabre à la Goya, dans une atmosphère glauque et tendue : malgré quelques complaisances, ça fonctionne plutôt bien…
Le Figaro
Avec "Que Dios nos perdone", l'Espagnol Rodrigo Sorogoyen dresse le portrait d'une société en crise. Et confirme que le 7e art ibérique est en pleine forme.
Le Journal du Dimanche
Le réalisateur espagnol Rodrigo Sorogoyen signe un polar sous haute tension avec un psychopathe sévissant dans les rues de Madrid.
Le Parisien
Très sombre, ce polar tient aussi en haleine avec une investigation en forme de course contre la montre et des scènes spectaculaires. Une infernale poursuite à pied dans Madrid va rester dans les annales.
Les Fiches du Cinéma
Une intrigue oppressante ouvrant sur une mise en abyme éclairante de l’Espagne.
Les Fiches du Cinéma
Une intrigue oppressante ouvrant sur une mise en abime éclairante de l'Espagne.
Ouest France
Un polar phénoménal qui prouve la vitalité du cinéma de genre espagnol.
Paris Match
Le talent de Rodrigo Sorogoyen est de rendre palpable la chaleur qui donne envie de mordre, de nous faire oublier les ficelles du scénario grâce à l'atmosphère qui se dégage des rues poussiéreuses de Madrid.
Positif
La bonne idée de Rodrigo Sorogoyen est d'avoir situé l'action à Madrid au cours de l'été 2011 (...). A la canicule, qui amplifie le côté poisseux de cette affaire de violeur et tueur en série de vieilles bigotes, s'ajoute un climat anti-flic qui s'accorde au portrait ambigu des deux enquêteurs.
Studio Ciné Live
Sans cesse sur le qui-vive, la caméra à l'épaule traduit admirablement cette atmosphère suffocante, amène une rugosité à ce thriller fincherien, tendance Zodiac.
Télérama
Après La Isla mínima, qui mêlait, déjà, les codes du polar à la politique contemporaine, ce thriller vient confirmer l'excellente santé du cinéma de genre espagnol.
Voici
Madrid, été 2011. Alors que les gens manifestent contre la crise, que la visite du pape se prépare, deux policiers traquent un tueur en série. Une plongée dans la noirceur qui les gangrène de l'intérieur.
aVoir-aLire.com
Un thriller haletant, glauque et hyper violent, qui vous fera regretter d’avoir vécu un peu trop longtemps...
Critikat.com
(...) la très bonne facture classique du film joue son rôle à plein, assurant la cohérence de la démonstration.
La Croix
Avec son atmosphère tendue et pessimiste, ce polar dense et haletant dresse un tableau très sombre des hommes, criminels ou policiers, qu’il met en scène.
Les Inrockuptibles
Tout surchauffe ici : la météo, le climat social, les troubles freudiens, les personnages, et le style de Sorogoyen, tendu, fébrile, physique, presque transpirant, branché à cent mille volts sur la rue madrilène, comme s’il y avait du Scorsese en lui.
Libération
(...) tout n’est pas toujours d’une grande finesse dans ce film inégal à force de foisonnement. Mais, notamment parce qu’il creuse des idées auxquelles il croit, Rodrigo Sorogoyen évite le mimétisme cinéphilique et les vaines esbroufes qui sont le lot de tant d’autres films de genre espagnols.
L'Humanité
Hélas, les personnages sont surchargés, en particulier les deux flics tarés qui mènent l’enquête, alourdissant ce tableau de la médiocrité humaine.
Le Monde
Filmant les autopsies des victimes avec autant de détails que les turpitudes des enquêteurs chargés de l’enquête, Rodrigo Sorogoyen produit un film aussi nauséabond qu’ennuyeux.