Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
33 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
"Frantz" est un film intense et rapide, d’une densité inouïe. L’interprétation précise, la mise en scène élégante, les cadres rigoureux et le montage incisif contribuent sans cesse à des glissements, de sentiment en sentiment, d’émotion en émotion.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Humanité
par Jean Roy
"Frantz" n'est ni un film confit en cinéphilie, ni un effort artificiel de co-production européenne. C'est une belle histoire de notre temps, qui dit à la fois la créativité du cinéma français et la force d'un cinéaste qu'on sait assez doué pour prendre tous les risques.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sa présence va causer bien des troubles. Reprenant un sujet déjà traité par Lubitsch, François Ozon, plus qu’un plaidoyer pacifiste, y trouve la matière d’une pénétrante analyse du coeur : tout l’art, subtil et grave, d’un cinéaste parvenu à maturité.
Le Parisien
par Thierry Dague
Le réalisateur de "Huit femmes" nous bouleverse dans son nouveau film, un mélo historique qui se déroule juste après la guerre 14-18.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par La Rédaction
On tombe d'abord sous la séduction. Celle de la jeune actrice allemande Paula Beer qui a la grâce et la beauté d'une Romy Schneider. Celle de Pierre Niney dont la silhouette élancée et la diction posée n'en finissent pas de troubler depuis Yves Saint Laurent.
Positif
par Christian Viviani
Avec "Frantz", François Ozon crée une oeuvre à la beauté austère, mais où l'émotion fourmille sous une forme de classicisme maîtrisé. Sûr dans sa direction d'acteur sans faille, dans la jusesse méticuleuse des cadrages, dans la conduite du récit, "Frantz" est l'oeuvre de maturité d'un cinéaste qui nous épatait jusqu'ici par sa boulimie et son enthousiasme juvénile.
VSD
par Olivier de Bruyn
Derrière "Frantz", il y a un coeur, une sensibilité, énormes. La sensation de la rentrée.
20 Minutes
par Caroline Vié
"Frantz" est, en tout cas, l’une de ses plus grandes réussites.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
Avec ce premier long-métrage historique ayant pour thèmes l’amour, le mensonge et le secret en toile de fond, François Ozon confirme son statut de réalisateur sachant sublimer la femme.
Critikat.com
par Adrien Dénouette
Multipliant les fausses pistes pour mieux revenir, infatigablement, sur le terrain classique du mélodrame, "Frantz" est sans doute le film français le plus surprenant de cette rentrée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
par Florence Ben Sadoun
Ici encore, dans cette nouvelle histoire de deuil et de mensonge, au lendemain de la Première Guerre mondiale, Ozon magnifie le goût du secret et inscrit dans sa narration un point de bascule qui va bousculer le spectateur.
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Après "Une nouvelle amie", François Ozon ose le vrai mélo, en noir et blanc, au charme un rien suranné, lent, trouble et troublant, brodant et multipliant les faux-semblant autour des thèmes du mensonge, du deuil et de l'amour – perdu, réincarné, fantasmé, coupable. Paula Beer, magnifique Anna, est la véritable révélation du film.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
François Ozon a toujours aimé le contre-pied, surgir là où on ne l'attend pas. Résolument mélodramatique, son film est cohérent et inattendu. On aime.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
C'est intellectuellement ambitieux, d'autant que le développement est parfois un peu austère. Mais, sur un tel sujet, on ne peut reprocher à Ozon de ne pas user de sa sulfureuse ironie. D'autant que, formellement, c'est magnifique (…). Comprenne qui verra.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le cinéaste fait preuve ici d’une grande délicatesse. Les années passant, il résiste à la tentation des provocations un peu infantiles et vaines, assume le classicisme du projet et offre à des interprètes toujours justes de se montrer à leur avantage.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Marilyne Letertre
Pierre Niney, parfaitement tenu, trouve l'un de ses meilleurs rôles aux côtés de Paula Beer, sublime révélation de ce récit sentimental.
La Croix
par Marie Soyeux
François Ozon signe l’un des rares films français sur l’entre-deux-guerres adoptant le point de vue des Allemands. Dans un délicat jeu de miroirs entre les deux pays.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
C'est une belle et triste histoire d'amuor que signe François Ozon avec une délicatesse empreinte de nostalgie. Le noir et blanc donne une gravité élégante au récit romanesque et renforce l'esthétisme très pictural de la mise en scène (...).
Marianne
par Grégoire Chertok
"Frantz" (...) illustre la maîtrise de la réalisation (de François Ozon).
Première
par Christophe Narbonne
Face à l'impeccable Pierre Niney, fiévreux à souhait, Paula Beer impose sa présence délicate et sa beauté classique. Mieux qu'une révélation, une évidence.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Un duo majeur pour un film délicatement romanesque.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film n'en finit pas de dégoupiller sa trame, bombe narrative qui couve avant de disloquer le récit.
Télérama
par Pierre Murat
François Ozon semble avoir atteint une véritable maîtrise : l'osmose délicate, imprécise, entre audace et lyrisme. Désormais, ses mises en scènes semblent s'étendre, amples, belles et sereines. Mais cette épure n'empêche pas le tourment.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Malgré la trame ample et romanesque du récit, le souffle mélodramatique est comme étouffé par la mise en scène délibérément distanciée d’Ozon (...). Il faut attendre la fin du film (...) pour voir l’émotion percer. Dommage. "Frantz" aurait pu être un grand film.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Un exercice élégant, souvent séduisant, mais en définitive trop théorique pour convaincre pleinement.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Ozon s'empare d'un mélo muet de Lubitsch pour un (nouveau) fascinant portrait de femme à la fois victime, entêtée et forte.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Filmée dans un beau noir et blanc, joliment interprétée, cette oeuvre pâtit d'un petit côté exercice de style qui dessert la sincérité qui se joue à l'écran.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Récit hitchcockien certes un peu candide mais transcendé par la belle Paula Beer.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Louis Séguin
Il manque résolument une fébrilité à Frantz pour lui donner son envol, et toute émotion étouffe sous la soigneuse apesanteur des belles images.
La Septième Obsession
par Thomas Aïdan
L’ensemble se lie avec beaucoup trop de facilité, sans débordements, ni trop de romantisme.
Libération
par Julien Gester
Malgré son noir et blanc léché, «Frantz» peine à émouvoir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Le tout filmé au premier degré, sans la moindre note de cynisme ou de dérision à la Ozon. Pourquoi pas ? À condition que les acteurs y mettent du leur. Sauf qu’en choisissant Pierre Niney, l’auteur réalisateur commet l’erreur fatale.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Bande à part
"Frantz" est un film intense et rapide, d’une densité inouïe. L’interprétation précise, la mise en scène élégante, les cadres rigoureux et le montage incisif contribuent sans cesse à des glissements, de sentiment en sentiment, d’émotion en émotion.
L'Humanité
"Frantz" n'est ni un film confit en cinéphilie, ni un effort artificiel de co-production européenne. C'est une belle histoire de notre temps, qui dit à la fois la créativité du cinéma français et la force d'un cinéaste qu'on sait assez doué pour prendre tous les risques.
Le Dauphiné Libéré
Sa présence va causer bien des troubles. Reprenant un sujet déjà traité par Lubitsch, François Ozon, plus qu’un plaidoyer pacifiste, y trouve la matière d’une pénétrante analyse du coeur : tout l’art, subtil et grave, d’un cinéaste parvenu à maturité.
Le Parisien
Le réalisateur de "Huit femmes" nous bouleverse dans son nouveau film, un mélo historique qui se déroule juste après la guerre 14-18.
Ouest France
On tombe d'abord sous la séduction. Celle de la jeune actrice allemande Paula Beer qui a la grâce et la beauté d'une Romy Schneider. Celle de Pierre Niney dont la silhouette élancée et la diction posée n'en finissent pas de troubler depuis Yves Saint Laurent.
Positif
Avec "Frantz", François Ozon crée une oeuvre à la beauté austère, mais où l'émotion fourmille sous une forme de classicisme maîtrisé. Sûr dans sa direction d'acteur sans faille, dans la jusesse méticuleuse des cadrages, dans la conduite du récit, "Frantz" est l'oeuvre de maturité d'un cinéaste qui nous épatait jusqu'ici par sa boulimie et son enthousiasme juvénile.
VSD
Derrière "Frantz", il y a un coeur, une sensibilité, énormes. La sensation de la rentrée.
20 Minutes
"Frantz" est, en tout cas, l’une de ses plus grandes réussites.
CNews
Avec ce premier long-métrage historique ayant pour thèmes l’amour, le mensonge et le secret en toile de fond, François Ozon confirme son statut de réalisateur sachant sublimer la femme.
Critikat.com
Multipliant les fausses pistes pour mieux revenir, infatigablement, sur le terrain classique du mélodrame, "Frantz" est sans doute le film français le plus surprenant de cette rentrée.
Elle
Ici encore, dans cette nouvelle histoire de deuil et de mensonge, au lendemain de la Première Guerre mondiale, Ozon magnifie le goût du secret et inscrit dans sa narration un point de bascule qui va bousculer le spectateur.
Femme Actuelle
Après "Une nouvelle amie", François Ozon ose le vrai mélo, en noir et blanc, au charme un rien suranné, lent, trouble et troublant, brodant et multipliant les faux-semblant autour des thèmes du mensonge, du deuil et de l'amour – perdu, réincarné, fantasmé, coupable. Paula Beer, magnifique Anna, est la véritable révélation du film.
Franceinfo Culture
François Ozon a toujours aimé le contre-pied, surgir là où on ne l'attend pas. Résolument mélodramatique, son film est cohérent et inattendu. On aime.
L'Express
C'est intellectuellement ambitieux, d'autant que le développement est parfois un peu austère. Mais, sur un tel sujet, on ne peut reprocher à Ozon de ne pas user de sa sulfureuse ironie. D'autant que, formellement, c'est magnifique (…). Comprenne qui verra.
L'Obs
Le cinéaste fait preuve ici d’une grande délicatesse. Les années passant, il résiste à la tentation des provocations un peu infantiles et vaines, assume le classicisme du projet et offre à des interprètes toujours justes de se montrer à leur avantage.
LCI
Pierre Niney, parfaitement tenu, trouve l'un de ses meilleurs rôles aux côtés de Paula Beer, sublime révélation de ce récit sentimental.
La Croix
François Ozon signe l’un des rares films français sur l’entre-deux-guerres adoptant le point de vue des Allemands. Dans un délicat jeu de miroirs entre les deux pays.
Le Journal du Dimanche
C'est une belle et triste histoire d'amuor que signe François Ozon avec une délicatesse empreinte de nostalgie. Le noir et blanc donne une gravité élégante au récit romanesque et renforce l'esthétisme très pictural de la mise en scène (...).
Marianne
"Frantz" (...) illustre la maîtrise de la réalisation (de François Ozon).
Première
Face à l'impeccable Pierre Niney, fiévreux à souhait, Paula Beer impose sa présence délicate et sa beauté classique. Mieux qu'une révélation, une évidence.
Studio Ciné Live
Un duo majeur pour un film délicatement romanesque.
Sud Ouest
Le film n'en finit pas de dégoupiller sa trame, bombe narrative qui couve avant de disloquer le récit.
Télérama
François Ozon semble avoir atteint une véritable maîtrise : l'osmose délicate, imprécise, entre audace et lyrisme. Désormais, ses mises en scènes semblent s'étendre, amples, belles et sereines. Mais cette épure n'empêche pas le tourment.
Le Monde
Malgré la trame ample et romanesque du récit, le souffle mélodramatique est comme étouffé par la mise en scène délibérément distanciée d’Ozon (...). Il faut attendre la fin du film (...) pour voir l’émotion percer. Dommage. "Frantz" aurait pu être un grand film.
Les Fiches du Cinéma
Un exercice élégant, souvent séduisant, mais en définitive trop théorique pour convaincre pleinement.
Les Inrockuptibles
Ozon s'empare d'un mélo muet de Lubitsch pour un (nouveau) fascinant portrait de femme à la fois victime, entêtée et forte.
Télé 7 Jours
Filmée dans un beau noir et blanc, joliment interprétée, cette oeuvre pâtit d'un petit côté exercice de style qui dessert la sincérité qui se joue à l'écran.
aVoir-aLire.com
Récit hitchcockien certes un peu candide mais transcendé par la belle Paula Beer.
Cahiers du Cinéma
Il manque résolument une fébrilité à Frantz pour lui donner son envol, et toute émotion étouffe sous la soigneuse apesanteur des belles images.
La Septième Obsession
L’ensemble se lie avec beaucoup trop de facilité, sans débordements, ni trop de romantisme.
Libération
Malgré son noir et blanc léché, «Frantz» peine à émouvoir.
La Voix du Nord
Le tout filmé au premier degré, sans la moindre note de cynisme ou de dérision à la Ozon. Pourquoi pas ? À condition que les acteurs y mettent du leur. Sauf qu’en choisissant Pierre Niney, l’auteur réalisateur commet l’erreur fatale.
Le Figaro
Un mélo laborieux et désincarné.