Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de "Pater" (2011) et du "Paradis" (2014) flirte avec le cinéma expérimental pour livrer une véritable œuvre d’art.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par Jérôme Garcin
On ne compte plus les films tonitruants et bavards consacrés à Bartabas. Celui-ci, à la fois sensuel et spirituel, est unique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Positif
par Elise Domenach
Avec le cheval de Bartabas, Cavalier trouve un dispositif réflexif incroyablement puissant pour explorer à nouveaux frais ce mélange d'animalité, d'humanité et de mécanique qu'est un corps filmant.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Le Caravage, c’est le nom du cheval de Bartabas. Les deux, l’animal et l’homme, composent un couple, qu’Alain Cavalier suit avec fluidité de jour en jour, du moment où il se forme, lors du dressage, au travail à deux accompli au manège d’Aubervilliers, jusqu’au moment où ils parviennent à l’accord parfait, à l’harmonie.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Filmeur délicat et passionné, Alain Cavalier dévore de sa petite caméra un cheval au travail. Un portrait amoureux de l'animal et le récit muet de son histoire avec l'écuyer Bartabas. Un film léger, puissant et tendre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Le filmeur enregistre avec sa caméra son regard sur le cavalier et le cheval, le cavalier surveille avec son cerveau les pas du cheval, et le cheval ne semble pas regarder grand-chose. (...) Jusqu’à ce moment sublime et subit où le cheval, brisant soudain la glace, échappe à son cavalier et se rue sur le filmeur (...).
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Anne Diatkine
Le spectateur a tout le temps de réfléchir à comment sont montrés d’habitude les animaux au cinéma. Avec maintes paroles pour combler le silence des bêtes. C’est peu dire qu’Alain Cavalier ne tombe pas dans ce travers.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Isabelle Danel
Tandis que s’apprivoisent mutuellement le dresseur et l’animal, leurs corps unifiés arpentent les manèges du Fort d’Aubervilliers en des rythmes toujours plus harmonieux.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Cavalier filme au quotidien le travail de l'homme et de la bête et enfreint une intimité qui finit par se rebeller. Stimulant.
Télérama
par Samuel Douhaire
Mission accomplie : il y a de la grâce dans ces images du Caravage, masse de muscles qui se révèle d'une légèreté quasi aérienne au galop. On voit aussi les soins apportés à l'animal lors de la maladie, la relation fusionnelle avec son maître... Et, comme souvent chez le cinéaste de Thérèse, cette émotion n'exclut pas la malice.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Arnaud Schwartz
Comment s’approcher suffisamment mais pas trop, au risque de couper la tête de Bartabas – c’est beaucoup le cas au début – ou les pattes du Caravage ? Comment rendre compte de cette union ? (...) Reconnaissons-le, en dépit de l’immense respect qu’on porte à l’homme et à son œuvre, Alain Cavalier n’y réussit qu’imparfaitement.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Le sentiment qui domine au sortir de la projection est la frustration.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
On sent bien que le cinéaste voit quelque chose de sacré dans cette rencontre entre Bartabas et son cheval. Mais faute d’avoir la foi, on n’y voit qu’un animal qui tourne en rond une heure durant, bêtement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Cavalier capture pour mieux la relâcher la beauté fugace, universelle et indispensable du geste artistique
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
A la fin, Alain Cavalier aura décidé de filmer ce qui le meut et l'entoure, relançant à chaque fois, sur un coup de dés, sa folle liberté de n'assujettir rien ni personne, en les filmant.
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
En quelques grossiers coups de pinceaux, Alain Cavalier peint à l’aide de sa caméra les fantasmes anthropomorphiques de passionnés d’équidés. La toile est harmonieuse, à défaut d’être lucide.
20 Minutes
Le réalisateur de "Pater" (2011) et du "Paradis" (2014) flirte avec le cinéma expérimental pour livrer une véritable œuvre d’art.
L'Obs
On ne compte plus les films tonitruants et bavards consacrés à Bartabas. Celui-ci, à la fois sensuel et spirituel, est unique.
Positif
Avec le cheval de Bartabas, Cavalier trouve un dispositif réflexif incroyablement puissant pour explorer à nouveaux frais ce mélange d'animalité, d'humanité et de mécanique qu'est un corps filmant.
Le Dauphiné Libéré
Le Caravage, c’est le nom du cheval de Bartabas. Les deux, l’animal et l’homme, composent un couple, qu’Alain Cavalier suit avec fluidité de jour en jour, du moment où il se forme, lors du dressage, au travail à deux accompli au manège d’Aubervilliers, jusqu’au moment où ils parviennent à l’accord parfait, à l’harmonie.
Les Fiches du Cinéma
Filmeur délicat et passionné, Alain Cavalier dévore de sa petite caméra un cheval au travail. Un portrait amoureux de l'animal et le récit muet de son histoire avec l'écuyer Bartabas. Un film léger, puissant et tendre.
Les Inrockuptibles
Le filmeur enregistre avec sa caméra son regard sur le cavalier et le cheval, le cavalier surveille avec son cerveau les pas du cheval, et le cheval ne semble pas regarder grand-chose. (...) Jusqu’à ce moment sublime et subit où le cheval, brisant soudain la glace, échappe à son cavalier et se rue sur le filmeur (...).
Libération
Le spectateur a tout le temps de réfléchir à comment sont montrés d’habitude les animaux au cinéma. Avec maintes paroles pour combler le silence des bêtes. C’est peu dire qu’Alain Cavalier ne tombe pas dans ce travers.
Première
Tandis que s’apprivoisent mutuellement le dresseur et l’animal, leurs corps unifiés arpentent les manèges du Fort d’Aubervilliers en des rythmes toujours plus harmonieux.
Studio Ciné Live
Cavalier filme au quotidien le travail de l'homme et de la bête et enfreint une intimité qui finit par se rebeller. Stimulant.
Télérama
Mission accomplie : il y a de la grâce dans ces images du Caravage, masse de muscles qui se révèle d'une légèreté quasi aérienne au galop. On voit aussi les soins apportés à l'animal lors de la maladie, la relation fusionnelle avec son maître... Et, comme souvent chez le cinéaste de Thérèse, cette émotion n'exclut pas la malice.
La Croix
Comment s’approcher suffisamment mais pas trop, au risque de couper la tête de Bartabas – c’est beaucoup le cas au début – ou les pattes du Caravage ? Comment rendre compte de cette union ? (...) Reconnaissons-le, en dépit de l’immense respect qu’on porte à l’homme et à son œuvre, Alain Cavalier n’y réussit qu’imparfaitement.
Cahiers du Cinéma
Le sentiment qui domine au sortir de la projection est la frustration.
Critikat.com
On sent bien que le cinéaste voit quelque chose de sacré dans cette rencontre entre Bartabas et son cheval. Mais faute d’avoir la foi, on n’y voit qu’un animal qui tourne en rond une heure durant, bêtement.
La Septième Obsession
Cavalier capture pour mieux la relâcher la beauté fugace, universelle et indispensable du geste artistique
Le Monde
A la fin, Alain Cavalier aura décidé de filmer ce qui le meut et l'entoure, relançant à chaque fois, sur un coup de dés, sa folle liberté de n'assujettir rien ni personne, en les filmant.
aVoir-aLire.com
En quelques grossiers coups de pinceaux, Alain Cavalier peint à l’aide de sa caméra les fantasmes anthropomorphiques de passionnés d’équidés. La toile est harmonieuse, à défaut d’être lucide.