Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
Transfuge
par Damien Aubel
Avec "Les Rives du destin", l'Iranien Abdolreza Kahani conjugue exigence formelle et chronique sociale contemporaine. Brillant.
L'Humanité
par Dominique Widemann
La mise en scène ménage des effets de suffocation en rencognant les personnages contre des angles, en leur comptant l’espace. Face à la censure, ces clôtures permettent que se déploient des formes d’intimité impossibles à montrer. En plans larges, le chantier où Hamed se traîne en contrepoint des corps au travail pour un très maigre salaire. Une vue des lumières de la ville qui assombrit la palette des gris sourds. Mais quelque chose de Samira existe.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
Ce mélodrame assez poignant, d'une belle densité d'écriture, cède malheureusement, au dernier moment, à une facilité pathétique qui en gâche les effets.
Première
par Alexandre Bernard
Malgré quelques longueurs, il montre les difficultés qu’une mère célibataire doit affronter pour se désenchaîner du diktat des hommes, toujours présent. Un combat plus que jamais d’actualité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Nicolas Didier
Le film dépeint le quotidien des classes pauvres de la capitale avec un réalisme saisissant : méticuleuse description d’un trafic de récepteurs ou scène de fou rire osée autour d’un joint… Moins victime que combattante, l’héroïne luttant pour son indépendance devient finalement l’alter ego du cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Naturaliste et engagé, ce drame, interprété par des acteurs convaincants, se place du côté des plus faibles tout en restant à bonne distance du misérabilisme et du pathos. Reste qu’on a l’impression d’avoir déjà vu ça cent fois.
Le Monde
par Thomas Sotinel
La peinture d’une économie précaire aux franges de la légalité donne une teinte documentaire inattendue au destin (hélas prévisible et scellé dès les premiers plans) de Samira.
Transfuge
Avec "Les Rives du destin", l'Iranien Abdolreza Kahani conjugue exigence formelle et chronique sociale contemporaine. Brillant.
L'Humanité
La mise en scène ménage des effets de suffocation en rencognant les personnages contre des angles, en leur comptant l’espace. Face à la censure, ces clôtures permettent que se déploient des formes d’intimité impossibles à montrer. En plans larges, le chantier où Hamed se traîne en contrepoint des corps au travail pour un très maigre salaire. Une vue des lumières de la ville qui assombrit la palette des gris sourds. Mais quelque chose de Samira existe.
Les Fiches du Cinéma
Ce mélodrame assez poignant, d'une belle densité d'écriture, cède malheureusement, au dernier moment, à une facilité pathétique qui en gâche les effets.
Première
Malgré quelques longueurs, il montre les difficultés qu’une mère célibataire doit affronter pour se désenchaîner du diktat des hommes, toujours présent. Un combat plus que jamais d’actualité.
Télérama
Le film dépeint le quotidien des classes pauvres de la capitale avec un réalisme saisissant : méticuleuse description d’un trafic de récepteurs ou scène de fou rire osée autour d’un joint… Moins victime que combattante, l’héroïne luttant pour son indépendance devient finalement l’alter ego du cinéaste.
Le Journal du Dimanche
Naturaliste et engagé, ce drame, interprété par des acteurs convaincants, se place du côté des plus faibles tout en restant à bonne distance du misérabilisme et du pathos. Reste qu’on a l’impression d’avoir déjà vu ça cent fois.
Le Monde
La peinture d’une économie précaire aux franges de la légalité donne une teinte documentaire inattendue au destin (hélas prévisible et scellé dès les premiers plans) de Samira.