Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Le Parisien
par Renaud Baronian
Nathalie Baye fait également forte impression dans le rôle de la mystérieuse Marlène et, au final, ces deux grandes actrices au sommet de leur art contribuent à la belle réussite de ce « Moka » aussi fort qu'acide.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Moka est également le portrait d’une femme, superbement interprétée, par Emmanuelle Devos qui est de tous les plans. Magnétique, elle sait distiller une impression d’étrangeté, une légère inquiétude, sans cesser d’être attachante, dans un étonnant mélange de fragilité et de détermination.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un drame au suspense hitchcockien, où les rebondissements de l’intrigue épousent les replis tortueux du sentiment.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Le film de Frédéric Marmoud offre à Emmanuelle Devos et à Nathalie Baye de démontrer à nouveau leur talent.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Noémie Luciani
Un film rigoureusement mis en scène, à la fois plein de retenue dans son lyrisme feutré et riche d’un relief humain accidenté et changeant.
Le Point
par Victoria Gairin
Deux femmes s'opposent et deux formidables actrices se rencontrent. Vibrant.
Ouest France
par La Rédaction
Un duel d'actrices au sommet.
Télérama
par Guillemette Odicino
Une atmosphère délicatement hitchcockienne, où la peur et la culpabilité changent de visage.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Pour Moka, adapté du roman de Tatiana de Rosnay, Mermoud amenuise l'effet thriller au profit d'une haletante confrontation de femmes dont on se demande, jusqu'au bout, où elle va nous mener.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un face-à-face captivant, qui fait oublier un dénouement prévisible.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Positif
par Olivier de Bruyn
Si le scénario pâtit de ses invraisemblances et si la mise en scène manque de souffle, "Moka" compte un atout majeur dans son jeu : les prestations de ses deux comédiennes principales.
Première
par Christophe Narbonne
Le face-à-face entre Devos et Baye est là où on l'attend, c'est-à-dire dans le registre de l'émotion pure.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Avec un peu plus d’humour et/ou de fiel, ça pourrait rappeler le cinéma de Chabrol. Mais, malgré la qualité du duel entre deux actrices telles que Natalie Baye et Emmanuelle Devos, ce n’est pas encore ça.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Que le courant passe entre Emmanuelle Devos (Diane) et Nathalie Baye (Marlène) fait oublier par instants ce que l’intrigue, tirée d’un livre de Tatiana de Rosnay, peut avoir de prévisible et de platement sentimental. Mais le film ne réussit pour autant jamais à s’élever au-dessus du niveau d’une production très ordinaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Ce deuxième long métrage de Frédéric Mermoud perd l'attention du spectateur en raison d'une intrigue mal tenue et au souffle court.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
On pourrait parler de trop de déjà vu, voire de situations-clichées, dans ce thriller chabrolo-hitchcockien façon suisse dilué dans une douceur de vivre désuète, voire ringarde. C'est bien agencé, bien interprété, mais un brin poussif.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Le suspense lié au coupable tourne court avec une unique scène. Le jeu du chat et de la souris, qui est au coeur du film, traîne paradoxalement en longueur, en dépit du plaisir de voir s'affronter Emmanuelle Devos et Nathalie Baye, toutes deux impeccables.
L'Express
par Eric Libiot
Le premier long métrage du Suisse Frédéric Mermoud, "Complices", séduisait par ses petits arrangements avec le genre polar. C'est dire si ce "Moka" déçoit.
Le Parisien
Nathalie Baye fait également forte impression dans le rôle de la mystérieuse Marlène et, au final, ces deux grandes actrices au sommet de leur art contribuent à la belle réussite de ce « Moka » aussi fort qu'acide.
La Croix
Moka est également le portrait d’une femme, superbement interprétée, par Emmanuelle Devos qui est de tous les plans. Magnétique, elle sait distiller une impression d’étrangeté, une légère inquiétude, sans cesser d’être attachante, dans un étonnant mélange de fragilité et de détermination.
Le Dauphiné Libéré
Un drame au suspense hitchcockien, où les rebondissements de l’intrigue épousent les replis tortueux du sentiment.
Le Figaro
Le film de Frédéric Marmoud offre à Emmanuelle Devos et à Nathalie Baye de démontrer à nouveau leur talent.
Le Monde
Un film rigoureusement mis en scène, à la fois plein de retenue dans son lyrisme feutré et riche d’un relief humain accidenté et changeant.
Le Point
Deux femmes s'opposent et deux formidables actrices se rencontrent. Vibrant.
Ouest France
Un duel d'actrices au sommet.
Télérama
Une atmosphère délicatement hitchcockienne, où la peur et la culpabilité changent de visage.
aVoir-aLire.com
Pour Moka, adapté du roman de Tatiana de Rosnay, Mermoud amenuise l'effet thriller au profit d'une haletante confrontation de femmes dont on se demande, jusqu'au bout, où elle va nous mener.
Le Journal du Dimanche
Un face-à-face captivant, qui fait oublier un dénouement prévisible.
Positif
Si le scénario pâtit de ses invraisemblances et si la mise en scène manque de souffle, "Moka" compte un atout majeur dans son jeu : les prestations de ses deux comédiennes principales.
Première
Le face-à-face entre Devos et Baye est là où on l'attend, c'est-à-dire dans le registre de l'émotion pure.
L'Humanité
Avec un peu plus d’humour et/ou de fiel, ça pourrait rappeler le cinéma de Chabrol. Mais, malgré la qualité du duel entre deux actrices telles que Natalie Baye et Emmanuelle Devos, ce n’est pas encore ça.
L'Obs
Que le courant passe entre Emmanuelle Devos (Diane) et Nathalie Baye (Marlène) fait oublier par instants ce que l’intrigue, tirée d’un livre de Tatiana de Rosnay, peut avoir de prévisible et de platement sentimental. Mais le film ne réussit pour autant jamais à s’élever au-dessus du niveau d’une production très ordinaire.
Les Fiches du Cinéma
Ce deuxième long métrage de Frédéric Mermoud perd l'attention du spectateur en raison d'une intrigue mal tenue et au souffle court.
Les Inrockuptibles
On pourrait parler de trop de déjà vu, voire de situations-clichées, dans ce thriller chabrolo-hitchcockien façon suisse dilué dans une douceur de vivre désuète, voire ringarde. C'est bien agencé, bien interprété, mais un brin poussif.
Studio Ciné Live
Le suspense lié au coupable tourne court avec une unique scène. Le jeu du chat et de la souris, qui est au coeur du film, traîne paradoxalement en longueur, en dépit du plaisir de voir s'affronter Emmanuelle Devos et Nathalie Baye, toutes deux impeccables.
L'Express
Le premier long métrage du Suisse Frédéric Mermoud, "Complices", séduisait par ses petits arrangements avec le genre polar. C'est dire si ce "Moka" déçoit.