C'est un film incompréhensible et beaucoup trop profond. La romance n'est pas assez présente. Je n'ai pas compris la fin. Il y a trop de problèmes de famille expliqués et pas assez de moments entre les deux garçons. Oui il y a des gays mais pas de romance entre eux.
Alors, Si on omet la qualité et la richesse des images présentes dans ce film, je n'ai qu'un mot pour le décrire : incompréhensible. L'histoire est pas très claire et au lieu de se concentrer sur l'amour naissant des deux jeunes hommes ce qui est, il me semble, le sujet principal du film, on suis plus l'histoire de la famille et franchement je me demandais à quoi ça servait. Avec ça, on a une multitude de scènes qu'on ne comprends pas et qui sont très gênantes à regarder. Comme par ex spoiler: La scène où la mère embrasse Clément ça j'ai pas compris ou encore quand Clément s'énerve dans le camion et fais des bruits de voiture c'est pas crédible. Je suis presque sûre que le personnage principal est autiste, ou dumoins est atteint d'une forme légère d'autisme. je ne dis pas que c'est pas bien, je trouve juste que cela aurait dû être encore plus mis en avant avec par exemple le fait que Clément ai du mal à comprendre son comportement. Bref la mère je déteste son personnage, le père sers à rien et apporte aucune richesse au scénario, l'histoire entre les deux garçons est limite oubliée et représentée par des scènes à caractère sexuel. Aucune passion, aucuns sentiments. On dirait que leurs amour est un fardeau mais qu'on a pas de dénouement. Bref j'étais pas à l'aise lorsque j'ai regardé le film. Et je ne lui ai pas trouvé grand intérêt.
Un joli film sur la fin de l’enfance et le passage à l’âge adulte. Mais aussi la fin d’une relation. Les parents se déchirent pendant que le fils découvre la sensualité et les sentiments. C’est fait avec beaucoup de tact et de douceur. Chacun pourra y retrouver un peu de sa jeunesse et les sentiments de l'adolescence de l’éveil à l’amour et à la sexualité. La très belle interprétation ne gâche rien. Un joli moment plein de délicatesse.
Un très bon film qui prend le temps de s'installer, les éléments de compréhension et les évènements arrivent aux bons moments. Et c'est veau, très veau, superbe. Les acteurs desservent le film. Un très bon moment.
Film très bien léché, un univers a la "Call me by your name," mais bien plus noir et complexe. C'est d'ailleurs ce que je lui reproche, beaucoup trop de choses dans ce film qui manque de légèreté. Cependant, acteurs sublimes, musique envoûtante, et images de vacances très jolies.
dans une ambiance lourde, un couple au bord de l'implosion, un mère en dépression, un fils troublé et seul. et ce dernier inexorablement attiré par cet autre ado, plus fou et plus libre dont une amitié improbable se développe. jusqu'au final qui ne délivre personne, pas même le spectateur, que cherche t-on à nous dire alors que tout est étouffé et abstrait?!
Tout est clairement indiqué dans la synopsie. Juste que le rythme du récit est lent, mou. Que le spectateur s'ennuie, le but de tout ceci, la ou les raisons, qui nous poussent à comprendre, et ressentir le mal être d'une mère et d’Elliot qui découvre peut à peu sa sexualité. Pour ma part, il ne m'a pas emballé. L'histoire est singulière, ou la nature omniprésente, et dans laquelle Elliot à plaisir à découvrir tout en la parcourant. Il fera la connaissance de Clément, et entre ces deux garçons une amitié se liera mais pour Elliot c'est beaucoup plus...
Departure est une vraie merveille tant dans sa réalisation que dans le jeu des acteurs. Chaque plan est un tableau que peint Andrew Stagall à l'aide d'un Alex Lawter brillant et profond et d'un Phénix Brossard charnel et touchant. Tout en finesse, le film accompagne le spectateur dans cette histoire familiale complexe à laquelle se mêle une rencontre amoureuse digne d'un texte de Rimbaud. Une mélancolie et une tristesse profonde en émane mais la poésie des personnages et de leur histoire redonne sur la fin une once d'espoir et de confiance pour un nouveau Départ. Absolument magnifique.
Quel beau film! Très émouvant, tendre et cruel. Tendre quand il montre avec délicatesse un adolescent en pleine découverte de sa sexualité et de ses sentiments (l'acteur Alex Lawther, au visage poupon, m'a scotché par sa sensibilité). Cruel dans sa chronique d'un amour qui se finit et une famille qui se déchire. Je me suis totalement retrouvé dans cette histoire classique mais très bien traité. La beauté des décors naturels, la photographie soignée renforcent l'émotion que l'on peut ressentir tout au long de ce film, certes lent et sans doute trop mélancolique. La musique, rare, ne fait qu'accentuer ce sentiment. Le final ouvre vers un futur qui le sera sûrement moins.
Malgré quelques affêteries de style mais aussi de très belles idées de mise en scène, Andrew Steggall dont c'est le premier film offre un drame intimiste touchant, pudique et surtout très nuancé sur un amour naissant quand un autre se meurt. Il sait parfaitement jouer avec les décors, les différentes lumières de la journée pour accompagner les bouleversements intérieurs des personnages. Et puis, une découverte essentielle : le jeune acteur Alex Lawther qui irradie l'écran d'une foultitude d'expressions d'une justesse et d'une sensibilité touchantes.
" departure" est un joli film indépendant. en effet en dépit de quelques errances et facilité scénaristique, j'ai apprécié cette histoire sur le temps qui passe , la dépression, le désir la confusion des sentiments, l'amour et l'homosexualité.
Un petit film bien agréable à regarder, mais qui est vraiment très sage dans son fond et sa forme . Tout est trop léché et le scénario n'arrive pas à se lâcher, ainsi qui que la mise en scène qui ne semble pas assez oser. Dommage, rien d'exceptionnel !
Film plein d'émotion pourtant Je n'ai pas été convaincu. C'est le recit d'un ado à la sexualité naissante, et à l'espoir d'une vie rêvée et pleine, que promet l'existence. Le sens du film semble dire que si chacun s'en donne les moyens, et dépasse ses craintes et le poids social, alors cela semble possible. Le parallèle entre les renoncement que ses parents ont dû faire pour mener une semblant de vie heureuse ne m'a pas convaincu non plus. Voir m'a embarrassé! Discours appuyé, signifiant, et très métaphorique: l'automne la saison et l'automne d'un couple, la maison que l'on vend et dont on déménage et tri les affaires et meubles à garder ou jeter.... Alex Lawther qui incarne le jeune garçon a un regard de poupon à la fois naïf et plein de clairvoyance. Le sud ouest a inspiré le réalisateur Andrew Steegall dont c'est le 1ier long métrage. La photographie est soigné , et tres picturale. Il joue sur les contraste en permanence entre les lieux et les sentiments. La direction d'acteur est parfois très délicate et quelquefois maladroite . Le scénario est au final pas simple à suivre. Et insistant sur les émotions. Enfin la chute reste assez belle et tente d'ordonner le puzzle, c'est un passage vers un avenir prometteur. En toute humilité, selon moi, c'est l'œuvre d'un auteur en construction. À suivre. Idem le comédien Alex Lawther , à l'émotion contenu.
Que de poésie dans Departure ! La mise en scène, la lumière, les cadrages, tout est aérien dans cette succession de scènes toutes plus belles les unes que les autres. Le scénario est simple, déjà vu, mais l'intérêt est ailleurs, dans la grâce des mouvements des comédiens et de la caméra. Baignant dans une atmosphère musicale et sonore très travaillée, le spectateur se laisse porter par cette courte tranche de vie déterminante dans la vie de ce jeune homme homosexuel et de sa mère délaissée et dépressive. On pensera désormais à Terrence Mallick en voyant le nom de Andrew Steggall.