L’histoire est originale cependant la BA du film m’a raconté l’histoire avant même d’avoir vu le film... dommage car les effets sont très bien faits et le film est plutôt bon
Un bon film serie qui vaut pas mieux qui de passer un 20h30 sur la tnt. A voir pour la plastique de blake lively . Sinon le film est peu original on a déjà vu ce genre de film plein de fois avec ce mechant requin mangeur d'hommes. on est très loin des dents de la mer et de peur bleue.
Probablement l'un des plus mauvais films que j'ai vu depuis bien longtemps, tellement raté que j'ai beaucoup hésité à en écrire une critique. Un film qui ne vaut à mon avis que pour la plastique avantageuse et toujours magnifiée par les nombreux plans de Blake Lively et pour son montage frénétique qui confère à l'ensemble une certaine tension. A part ça, rien à sauver entre l'écriture incohérente, presque fainéante de bout en bout et ce personnage principal que j'ai cordialement détesté de jeune femme en deuil qui, coincé sur un rocher en pleine mer, va se découvrir une mentalité de guerrière capable de tenir tête à un grand requin blanc, victime ici des pires clichés diabolisants. Une ineptie aberrante qui, au contraire du récent "En eaux troubles" bourré d'auto-dérision, se prend trop au sérieux pour être digne d'intérêt.
Blake Lively pour incarner une surfeuse, c'est le choix parfait. Son look et visage s'y prêtent admirablement ! Après avoir fait ce constat, c'est bien beau mais c'est dépassé cette représentation du requin chasseur d'humains. En plus d'en bouffer 3, il nage frénétiquement et rode autour de la 4e, attendant la moindre erreur de sa part pour en faire son 4e repas en 2 jours... La fin, particulièrement, est d'un ridicule. A ne regarder que si vous êtes fan de la délicieuse Blake et adepte de paysages paradisiaques...
Plutôt réussi dans le genre "survivor". Mais on n'échappe pas aux poncifs du genre : des invraisemblances comme la nana qui devient de plus en plus forme au fil de l'histoire malgré la morsure, la faim qui n'arrive qu'au soir du premier jour, spoiler: la mort du requin, et enfin le fait qu'elle y retourne un an plus tard comme si on revenait sur la plage de l'année d'avant en famille ! , une fin prévisible spoiler: Happy end évidemment . De beaux effets spéciaux et des décors à couper le souffle. Bref, un avis mitigé.
Un film assez convenu mais bien réalisé et le suspens demeure spoiler: car s'il est annoncé épouvante-horreur cela vous laisse l'idée que l'on est pas sûr de l'issue. Ce n'est pas un film d'horreur mais davantage un film d'aventure, thriller ou l'on frissonne, on peut sursauter aussi sans que ce soit exagéré ni superficiel. Le film ne se termine pas bien pour tout le monde certes mais il se termine bien pour le personnage principal et même pour son amie la mouette. J'avoue que je me suis demandé si la mouette allait servir de dîner. Le film est minimaliste , il présente cependant de belles images de surf, mais suit une vrai progression et pour une fois je trouve le titre français bien trouvé, il résume de façon judicieuse l'histoire sans trop en dire.
Une jeune femme part se baigner seule dans un petit coin de paradis et se retrouve piégée par un requin. Voila le pitch de ce film plutôt moyen qui malgré de belles images n'a pas réussi à me passionner.
Si le début accroche le spectateur plus ou moins à son siège en nous suggérant l'horreur plus qu'en ne la montrant, le film s'épuise sur sa longueur en nous montrant une héroïne qui se bat pour sa survie, bien aidée des clichés que le réal à trouvé sur son passage et d'une ingéniosité un peu trop irréaliste vu l'état de tension dans lequel elle devrait se trouver. L'insertion d'un pseudo mélodrame dans ce thriller apparaît comme un cheveux sur la soupe, un peu comme la fin genre série b etspoiler: la mort du requin gonflable...
Bref un peu déçu par ce thriller plus que ce film d'horreur qui se sauve quand même avec son casting et avec une tension qu'on ne peut pas lui enlever, plus due au genre (huis clos) qu'al'inventivité du réal. À voir pour la curiosité, sûrement pas pour flipper où pour avoir les nerfs à vifs
Je veux bien que l'on fasse des films avec peu de moyens mais au moins qu'il y ait derrière un vrai travail d'écriture et un vrai travail de recherche. Là on surf littéralement sur le grand n'importe quoi, l'invraisemblable à outrance et l'incohérence à tout va! spoiler: 1. Quand on se fait happer et entrainer sous l'eau par un grand requin blanc on y laisse à minima un membre, pas une simple entaille à la cuisse. 2. Essayer d'enfiler le bras d'une combinaison de surf au niveau de la jambe et jusqu'à mi-cuisse. Moi je vois pas comment on peut faire, encore moins quand on agonise et quand on a une cuisse amochée. 3. Je passe sur la mouette handicapée. 4. Je passe sur le petit garçon et les deux potes surfeurs qui ne voient pas l'alcoolique découpé en deux sur la plage. A moins que ce dernier ait été malencontreusement oublié dans le script par la suite ou qu'il se soit envolé tout seul par magie. 5. Faudra m'expliquer scientifiquement comment on peut perdre autant de sang en 24h et être aussi en forme pour nager, plonger et vaincre un requin affamé et vengeur. 6. C'est fou tout ce qui peut se passer en si peu de temps sur un demi hectare d'eau. A faire bouffer son bonnet au commandant Cousteau et toutes ses expéditions. Je me demande finalement si l'instinct de survie ce n'est pas plutôt le téléspectateur devant ce film.
Pour les amateurs du genre thriller (à sensations fortes) c'est plutot une grande réussite grâce à un scénario assez efficace et une mise en scène simple mais maitrisée. On n'a qu'une hate, c'est de voir la chute et l'heure et demie pase très vite. "The Shallows" il en dit beaucoup aussi sur les rapports humains. La plastique avantageuse de Blake Lively est, en plus, souvent superbement mis en valeur et c'est surement un plus esthétique... J'avais adoré "Esther" dans un tout autre style (beaucoup plus esthétique et horrifique), Jaume Collet-Serra nous montre qu'il faut compter sur lui dans ce cinéma a suspens
Le temps passe plus vite à regarder le film que ne passe de temps Nancy coincée à 200m du rivage sur un bout de rocher, ne pouvant compter que sur elle-même. Car le requin tueur n'est jamais très loin. On ressent bien le caractère oppressant de la situation, et l'on se demande bien comment Nancy va s'en sortir... Le lieu choisi est juste magnifique avec sa plage de rêve et son eau bleu turquoise. Mais le rêve ne dure pas et se transforme rapidement en cauchemar. Nancy redouble de courage. Cela sera t-il suffisant ? Alors que des films de requins il en existe quelques-uns déjà depuis le mythique Dents de la Mer, celui-ci est différent et met plutôt en exergue le côté survie après l'attaque..Cela rappelle que des attaques de requins sur les surfeurs est un fait réel. Le rôle de Nancy est bien interprété par une Blake Lively que j'ai trouvé convaincante.
Une plage paradisiaque, la superbe Blake Lively, des paysages magnifiques... Et un requin terrifiant!!! Alors bien évidemment on passera sur le scénario (de l'épaisseur d'un timbre poste) qui ne surprendra personne, tant l'histoire est convenue; mais nous retiendrons plutôt la réalisation de J.Collet-Serra (qui fût parachuté sur le film après le désistement du français L.Leterrier) qui malgré des moyens limités a su instauré un climat oppressant dans ce huit-clos maritime. Utilisant intelligemment l'apparition de son requin, il a créé une angoisse permanente, qui tient le spectateur sous tension. Venons en maintenant à l'autre star du film, la sculpturale Blake Lively. Car il ne faut pas se voiler la face; si le film a pu se vendre et a attiré les spectateurs en salle, c'est avant toute chose sur la plastique de l'actrice... Qui la rend appétissante aux yeux du requin (forcément)!!! Mais pas que... Car j'avoue avoir été bluffé par sa prestation. Et moi qui m'attendais à un film mineur (tout juste divertissant); je me suis retrouvé à ses cotés, pour plonger avec elle, pour souffrir avec elle, à croire avec elle... Pour me battre avec elle !!! Au final, c'est un très bon divertissement...
L’audace première d’Instinct de Survie réside certainement dans sa démarcation quant aux modèles après lesquels il arrive – dixit Les Dents de la mer –, doublée d’une capacité à réinvestir la peur du requin loin des sentiers abâtardis par les productions Syfy. Il fallait Jaume Collet-Serra pour oser et réussir ce pari, pour graver la rétine du spectateur de scènes marquantes, de son esthétisme très voire trop appuyé par moment, de trouvailles par une mise en scène qui cultive remarquablement bien la tension liée au temps, au cycle solaire, aux cercles infernaux effectués par le prédateur. Choisir Blake Lively confirme l’intelligence du réalisateur : de l’actrice de Gossip Girl ne demeure que les traits physiques ; véritable performance dramatique, bouleversante par moments, tout à fait crédible dans sa lutte à mort mené au nom de la vie. Surtout, le film vaut pour sa longue métaphore filée du deuil d’une maternité qui se réincarne en paysage idyllique puis en monstre mangeur d’enfant ; la mouette sera l’orphelin rongé et meurtri qui, après quelques soins, étendra ses ailes et reprendra son envol à l’instar de notre héroïne ayant finalement enterré sa mère au fond de l’eau. La composition musicale signée Marco Beltrami porte à merveille la tension générale du métrage, proposant un thème principal discret mais efficace. En somme, Instinct de Survie constitue un très bon film, aussi puissant visuellement que symboliquement. Une œuvre intelligente avec un requin, ça fait du bien.
Bon, commençons tout de suite par mettre les choses au clair. Oui, le Requin "Mangeur d'hommes" est un mythe. Oui, le mal que lui fait l'espèce humaine à l'échelle mondiale est atroce et les massacres de ce magnifique géant des mers (la plupart du temps inoffensif) sont abominables. Partant de là, nous savons que ce que nous propose "Instinct de Survie" relève plus de la Fiction voire de la Science-Fiction. Se basant sur cet état de fait, ce film tient grandement ses promesses. Une actrice (Blake Lively) magnifique qui porte sur ses solides épaules la quasi totalité de l'intrigue. Elle arrive à nous faire passer tout un panel d'émotions dans une sorte de one-woman-show survitaminée auquel je ne m'attendais pas. On vit, on vibre, on respire, on s'angoisse, on se met à espérer tout autant que son personnage pour lequel on ressent une profonde empathie. Pour moi, une des grandes forces du film réside dans le fait que l'on est en rien submergé par la présence du Requin à grand coups d'effets spéciaux ridicules. Bien sur, il apparaît un certain nombre de fois mais très peu comparativement à la longueur du film (Environ 1H30mn). Sa présence est plus suggérée qu'affichée en dehors des dix dernières minutes (dénouement oblige) et sa réalisation dans ces moments là est plutôt bien fichue. En bref, un divertissement de qualité qui demande à faire abstraction de nos convictions écolos durant sa projection pour savourer pleinement le spectacle.