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Un visiteur
5,0
Publiée le 22 août 2016
Super bien joué! Suspense tout au long du film ... Mais attention, après avoir visualisé le film, vous allez avoir du mal à retourner dans l'eau ... XD
bon film sans temps mort avec un climat pesant et stressant , Blake Lively tient le film à elle toute seule , décidément cette actrice ne finit pas de me surprendre tant elle joue bien !! très bons effets spéciaux !
Certaines scènes sont un peu impressionnantes mais globalement manque de crédibilité. Sans le pass illimité je n'aurai pas été le voir. Il y a des faux raccords, des incohérences .
Très réussi cet Instinct de survie qui rachète le nombre incommensurable de nanars sur les requins réalisés ces dernières années par la firme Asylum. Enfin une histoire qui respecte les instincts primaires de l’animal sans pour autant sacrifier au suspense nécessaire pour créer un survival digne de ce nom. Alors que la jeune femme interprétée avec justesse par Blake Lively est quasiment toute seule durant la totalité de la projection, le spectateur ne s’ennuie jamais et prend fait et cause pour cette victime involontaire. Les auteurs ont égrené les meurtres sanglants tout au long de façon à ne pas endormir le public, adjoignant même un compagnon d’infortune inattendu à la demoiselle (vous verrez par vous-même). Le tout est stressant, avec de belles poussées d’adrénaline. De quoi se sentir à nouveau une proie et ressentir par procuration l’angoisse primale d’être pourchassé. Efficace à défaut d’être original.
L'image est belle et c'est ce qui sauve ce film, on voit pas le temps passer (en même temps il ne dure que 1h27) mais il a rien de ouffissime !!! mais vraiment rien !!!
L'histoire est plus que bidon, c'est pas vraiment un huit clos mais presque
Niveau crédibilité on peut repasser ...
La fin .. ah ah ah j'en dirais pas plus
Si vous loupez la sortie de ce film au ciné c'est vraiment pas grave !!! c'est plus un film à matter en dvd pour moi
Depuis quelques années, on leur en a fait voir de toutes les couleurs à ces pauvres requins : on les a transformé en zombies, en fantômes ou en robots; on leur a ajouté plusieurs têtes pour affronter des créatures improbables; on les a mis dans des tornades géantes, dans le sable et aussi dans la neige; on en fera même les montures volantes de morts-vivants nazis (le futur "Sky Sharks"!)... Le n'importe quoi autour de ces créatures marines est devenu tel que l'on désesperait de revoir un jour un bon film les concernant. Jaume Collet-Serra opère heureusement un savoureux retour au sources du genre avec un requin dans sa forme la plus simple et dans ce qu'elle a de plus cinématographiquement terrifiante : une grande mâchoire aux dents pointues prête à croquer tous les membres d'humains qui passent à sa portée.
Une surfeuse blessée et coincée sur un rocher à 200 mètres de la terre ferme, un requin fou furieux qui s'est méchamment amouraché d'elle... Voilà, tout bête, tout bon, "Instinct de survie" part de cette idée minimaliste pour délivrer un film de suspense franchement haletant et à l'efficacité incontestable. Et le squale n'a pas mauvais goût puisqu'il choisit de s'attaquer à Blake Lively, actrice loin d'être vilaine à regarder et que Collet-Serra filme judicieusement comme un objet de fantasme dans un premier temps pour mieux appuyer sa lente dégradation physique par la suite. Surtout, Blake Lively, actrice un peu sous-exploitée -on peut imaginer que l'étiquette Gossip Girl/Mme Ryan Reynolds à la ville lui colle toujours à la peau mais c'est vite oublier ses très bons seconds rôles et sa prestation remarquable dans "Adaline"- est impeccable, son personnage n'est pourtant pas facile à faire exister au-delà de la confrontation maritime (aïe, ce passé émotionnel rempli de clichés et de bons sentiments !) mais elle s'en sort pourtant de manière convaincante et arrive à transmettre une véritable émotion au travers de séquences qui ont parfois un arrière-goût de passages obligés (le message vidéo).
Et, puis, il y a bien évidemment ce duel entre elle et la bête qui tient toutes ses promesses. Les confrontations ne font que monter en puissance sans jamais sombrer dans la répétition et usent avec parcimonie des apparitions toujours impressionnantes (et réussies niveau FX) du requin blanc ou de l'environnement maritime. Bien sûr, on pourra tiquer sur l'acharnement irrationnel de l'animal mais on peut le comprendre, ce bougre, vous feriez quoi, vous, si des gens s'amusaient à tourner autour de votre sandwich ?!
Il est juste dommage que Jaume Collet-Serra mette à mal le ton réaliste du film pour livrer un final certes plaisant à regarder mais tellement peu crédible. Cela reste sa signature en tant que réalisateur : cela passait bien pour des films comme "La Maison de Cire" et "Esther" mais, depuis, il se sent toujours obligé d'en faire des caisses pour en mettre plein la vue sur ses fins (cela dit, l'énormité de celle d'"Instinct de Survie" apparaît bien plus crédible que celle complètement ridicule de son "Non-Stop" par exemple).
Efficacité pourrait être le parfait synonyme d'"Instinct de survie", la meilleure preuve en est que les 1h27 du film n'en paraissent durer que le tiers. Bien sûr, ce survival en mer ne marquera pas autant les esprits des cinéphiles que "Les Dents de la Mer" mais, tout comme "The Reef", il prouve avec certitude que les VRAIS films de requins ont encore de belles heures devant eux. Une dernière mention spéciale à la mouette Steven "Seagull", compagne d'infortune de l'héroïne et sérieuse prétendante à l'Oscar du meilleur second rôle !
Scénario plus que basique, un ou deux sursauts en voyant le requin, une histoire tout sauf crédible, un drame familial en arrière plan totalement inutile, une fin tirée par les cheveux, de la pub en passant pour des équipements de plongée et des caméras embarquées, un joli maillot de bain ...
La peur du requin reste toujours efficace. Ce film également malgres une histoire pas trop credible et une fin un peu grosse mais bon le suspens fait bien passe ces défauts.
Ah ! l'instinct de survie !!! Dans "Seul au monde" Tom Hanks (lui) avait des idées. Dans "All is lost" Robert Redford s'en sortait bien et on y croyait (même si c'était tourné dans un bassin). Dans "119 jours" les 4 compères nous contenu en haleine dans l'espace confiné de cette true story. Mais là : Non. Même seule sur son bout de caillou (économie de budget du coup) elle ne fait pas du tout "seule au monde" et on attend que le requin (the only one, just for her...) abrège l'histoire de ce "Jaws" cheap revisited : pour gagner du temps et sortir plus vite de la salle. La pauvre bimbo est pathétique... mais heureusement elle a son portable... pour se rappeler et aimer les siens !
J ai bcp aimé suspense du debut à la fin. Le fait que Blake lively soit la seule vraie présence du film ce n est pas long du tout . Bref vraiment très bien
Le film démarre avec un côté esthétique publicitaire pour jeun's à portable ( et des surfeurs en primes ) . Mais Le cinéaste se sort du piège de la mièvrerie comme par miracle et comme son héroïne d'ailleurs . Même l'épilogue n'est pas lourdingue ( genre Happy end indigent ) . Une bonne surprise .
...Un film assez moyen quand on le compare à son concurrent In the deep, avec Mandy Moore, justement beaucoup plus profond! Correct dans l'ensemble, mais beaucoup trop prévisible. L'actrice se débrouille honorablement, mais l'histoire reste d'une effarante banalité.
Dans le genre de film de requins c'est incontestablement une réussite à plus d'un titre. Tout d'abord ce n'est pas un pastiche ou de ces nombreuses séries B aussi nulles qu'insipide que l'on a pu voir depuis longtemps et surtout depuis le film de Sir SPIELBERG. Une réalisation excellente avec des plans photos et caméras à tomber . Il est vrai que le film a été tourné dans un lieu très protégé et vraiement beau au grand large de Sidney. Mais outre le décor naturel, la façon de filmer presqu'en immersion réelle donne au film un réalisme à tomber. Et si on passe sur quelques invraissemblances (marées, timing ..); on se laisse vite prendre par le film. Ensuite Blake LIVELY car tout le film tourne autour d'elle est exceptionnelle . On peut dire qu'elle fait une prestation physique incroyable . Sans oublier sa plastique qui au début du film laisse plus à penser à une promo pour articles de sports, Go Pro et autres. Mais là aussi ça passe rapidement ! Et enfin le requin blanc qui plus vrai que nature pourtant entièrement numérisé est lui aussi d'un réalisme incroyable tant on dirait un vrai !