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I'm A Rocket Man
287 abonnés
3 114 critiques
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2,5
Publiée le 8 octobre 2017
Bon et bien rien de nouveau sous le soleil ! Enième survival dans l'eau qui n'apporte rien de plus que ses prédécesseurs !! Prenez une bombasse blonde à forte poitrine (siliconée de préférence), mettez là en danger et blessez la à mort face à un requin géant et voilà The Shallows !! Que de courage, d'imagination et d’ingéniosité pour venir à bout d'un bestiau qui aurait du la bouffer dès la première scène !! Franchement c'est hyper gros !! Je pense notamment à la scène finale qui est complètement hallucinante !! Alors certes certaines scènes sont prenantes et bien foutues mais dans l'ensemble c'est trop gros pour être pris au sérieux !! Le seul point fort de ce film...c'est la mouette qui joue très bien son rôle !! Bien plus que Blake Lively !!! Un vrai coup de coeur !
Ensemble assez creux malgré un bon jeu de Blake Lively. L'éternel cliché du requin qui tue tout ce qui bouge ne marche plus. Les films de requin eux-mêmes ne marchent plus, il y en a beaucoup trop pour une qualité toujours plus médiocre et une histoire toujours plus répétitive. "Instinct de survie ne fait pas exception...
Encore un film qui ne va pas arranger la réputation des requins, laquelle a été ternie par le célébrissime « Les dents de la mer ». Or, loin de cette image de tueur d’homme vicieux qui s’acharne sur sa proie, le requin est surtout un prédateur opportuniste qui préférera toujours une proie blessée, voire récemment morte (comme la baleine du film) à une la poursuite de plusieurs jours d’une blonde maigrichonne, eut-elle comme Blake Lively une plastique de rêve. Le film table donc sur le vieux thème du naufragé en mer poursuivie par un prédateur des profondeurs, avec ici une certaine tenue. J’entends par là que ça fonctionne et que ce huis clos en pleine mer tient en haleine pendant cette heure vingt. Blake Lively démontre qu’elle est plus que la midinette new-yorkaise de « Gossip girl » et s’offre ici un rôle bien plus physique. Alors, tout cela n’a rien d’original, mais le suspense est suffisamment nourri pour tenir en main son spectateur et lui offrir un petit divertissement, accompagné de frissons, qui meuble efficacement un petit moment de détente. Pour le pur divertissement.
Une très belle lumière et des scènes de surf bien filmées,pour un film ma foi pas déplaisant.Il y a de la bonne tension,et même si on a l'impression que plus le film avance et plus le requin grossit,Instinct De Survie n'est pas ridicule!
On a franchement vu mieux en matière de requins, et ce film contemporain où l'héroïne est addicte de son smartphone m'a paru assez fade. Quand on pense que tout a été fait ou refait en numérique en plus, autant certains décors que le requin, on se dit que y a pas à admirer grand-chose, si ce n'est le jeu de l'actrice. L'histoire quant à elle reste on ne peut plus banale, et assez lente, l'ensemble me parait très moyen, voire assez mauvais.
c est pas mal mais je trouve que les séquences avec le requin sont des fois tres exagérées ( il saute , il hurle .... ) et on a l impression qu il grandit au fil du film ( apres ce n est peut etre qu une impression ) mais sinon on assiste a un divertissement correct sans vraiment de pretention
C'est bof, légèrement mou.2 ou 3 effets sympa mais le comparer au dents de la mer c'est une veritable insulte je préfère blake lively en adaline plutôt qu'en surfeuse neuneu Et que dire des scènes avec la mouette !? c'est un film pour enfants les dents de la mer un film d'hommes. .sérieux incomparables
Un bon film angoissant à souhait qui cache bien son jeu ! Sans prévoir trop de sursauts sur son sièges, on ressent vite la tension et l'appréhension de cette surfeuse (brillante Blake Lively) de voir surgir le requin effrayant... Quelques airs des Dents de la Mer qui s'estompent vite car le contexte n'est tout de même pas identique : la surfeuse est pourchassée et prisonnière de ce requin, les paysages n'ont rien à voir avec Amityville (le village de la saga où le requin blanc fait des ravages) et la fin est de même bien differente... La petite mouette qui est le substitut de la surfeuse (seule, blessée comme elle et donc immobilisée) est vraiment mignonne et l'on se demande avec angoisse à la fin si elle a survécu (spoiler: ce que le film confirme pour les amoureux des bêtes comme moi ! Une Miss Mouette qu'on n'oubliera pas !). Les différentes péripéties qui se succèdent pour le grand malheur de cette surfeuse permettent de renouveler le scénario jusqu'au bout et éviter ainsi le raccourci des résumés trop simplistes : "une fille sur un rocher, un requin, la mer monte"...comme on a pu le voir écrit parfois. De l'inventivité et une une actrice qui se donne les moyens de faire de ce film un bon long-métrage de premier plan malgré des effets spéciaux parfois un peu brouillons. Mais quand on voit ces décors splendides, on oublie ce détail. Une bonne surprise qui nous tient en haleine jusqu'au final !
The Shallows aurait pu être très bon, mais le film souffre de nombreux défauts bien trop présents. Tout d'abord, il cumule les clichés de toute sorte comme sa fin hollywoodienne à souhait, et ces situations ou le requin est tout près, mais rate sa cible, montrant un manque d'originalité. De plus, la performance de Blake Lively, qui s'en sort habituellement bien, déçoit plus qu'autre chose ici, et c'est sa plastique qui fait tout son travail. Reste malgré tout des moments de tensions permettant de divertir le spectateur pendant 1h20 et une photographie de grande qualité , ce qui fait de ce long métrage un produit divertissant, mais raté sur tous les points cinématographiques classiques du film d'horreur (en l'occurence de requins). Une déception.
Pas toujours très habile ni très convaincant (le sadisme et l'obstination supposés des requins sont toujours un pur anthropomorphisme), pas toujours désagréable non plus. Un divertissement qui ne fera pas date dans le monde du survival mais plutôt plaisant à regarder dans son ensemble.
Dans l'ensemble le film et l'histoire sont assez bien ce qui aurai pu faire avoir une étoile de plus si le requin avait eu une taille réaliste et si les cascades n'était pas trop exagéré...!!!!! Parce que la franchement, c'est de l'abusement !! La taille du requin est juste irréaliste !! Et les cascades sont de même !! C'est vraiment dommage...
Pour une fois que je vois un film qui mérite sa note sur allo ciné film pas mal mais sans grand intérêt vu et revu la coup du naufrager qui lutte pour sa vie surtout que le requin lache pas l'affaire c'est elle qui veut manger pas otre chause pour la beauté du paysage et quelques bon plan sous l'eau 3 étoiles à voir une fois vite oublié
L’espagnol Jaume Collet-Serra, auteur d’un bon « Esther » et errant aux côtés de Liam Neeson dans de du thriller suffisant, sonne le come-back d’attaque de requin sur l’écran large et « sérieux ». L’intrigue a beau tenir sur quelques lignes, il y évoque bien plus qu’une simple traque sanguinaire. Derrière cette barrière horrifique qui entoure l’héroïne se dresse une profondeur plus humaine. Nancy, campée par Blake Lively, est loin d’être le cliché féminin que l’on rencontre bien trop souvent. Il ne suffit que de sa présence et sa performance pour convaincre. On peut douter sur quelques plans au début et à la fin qui sortent du lot, présentant essentiellement le décor du drame. Mais une fois la créature lâchée, elle s’agrippera à sa prise autant que le spectateur à son fauteuil. La dimension réaliste se relâche de temps en temps et on l’accepte. Autrement, l’intelligence de Nancy n’aurait pas lieu d’être. La tension qui l’accompagne est alors mise en scène avec manière. La relation qu’elle porte avec le passé de sa mère en dit long sur ce qui lui arrive ici. Une métaphore qui n’échappe pas aux attentifs et qu’on prendra la peine de déguster. Niveau technique, les plans illustrent aisément la proximité avec le danger de mort. Que ce soit la classique vue subjective de chaque personnage ou bien des vues d’ensemble imprenables, ils transmettent la nervosité nécessaire pour s’emparer du fil conducteur. A croire que les eaux de la mer n’appartiennent ni à l’homme, ni à ses hôtes… Dans tous le cas, chacun ne souhaite partager sa motivation. On ne pousse pas le propos au bout de son idée car il n’a pas lieu d’être. Cependant, il est toujours intéressant de pencher dans cette leçon de vie, indépendante de toute sa propre volonté. Ce qui est tout de même regrettable, c’est de finir sur un dénouement tenant de l’excès, car tout ce qui le précède est à apprécier. Le Carcharodon, d’un point de vue esthétique, ne joue pas dans la même catégorie que celui de Spielberg mais possède son charisme propre au rythme du récit, impitoyable soit-il. Cet « Instinct de Survie » ne se noie pas dans le piège à pop-corn movie. Il met en avant des valeurs scénaristiques surprenantes et relance une machine surexploiter depuis le succès monstrueux des « Dents de la Mer ». Un huis-clos qui ne lâche pas sa proie, autant dire nous autres spectateurs qui convoitons une sortie estivale en mer beaucoup plus reposante.