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Shemi Zarhin raconte ces souvenirs d'enfance qui remontent à la surface avec un cocktail d'humour et d'émotion savamment dosé. Dommage que la mise en route de son récit soit si longue et sa réalisation si plate.
C’est un récit amer et tendre, mélancolique et drôle que déroule Shemi Zarhin, d’abord trop lentement avant de trouver le bon rythme ; le réalisateur prend le temps de camper chacun de ses trois principaux personnages.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
S’il souffre de quelques passages à vide et de facilités scénaristiques, ce film où se côtoient rires et larmes, pesanteur et légèreté, aigreur et douceur, dépeint avec finesse l’incapacité de chacun à se délester de son passé, ainsi que les risques émotionnels courus lorsqu’on tente d’en percer les mystères.
Du quotidien au drame (quelques instants pris sur le vif, à l'hôpital), chaque scène, courte, sobre, sonne juste, interprétée par des comédiens inspirés.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Un regard tout en tendresse sur une quête d’identité qui, d’abord nébuleuse, finira par s’éclairer de tons chaleureux au fur et à mesure des découvertes de chacun.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Express
Shemi Zarhin raconte ces souvenirs d'enfance qui remontent à la surface avec un cocktail d'humour et d'émotion savamment dosé. Dommage que la mise en route de son récit soit si longue et sa réalisation si plate.
La Croix
C’est un récit amer et tendre, mélancolique et drôle que déroule Shemi Zarhin, d’abord trop lentement avant de trouver le bon rythme ; le réalisateur prend le temps de camper chacun de ses trois principaux personnages.
Le Dauphiné Libéré
Sur un scénario en forme de quête et d’enquête, une comédie souvent cruelle, autour de la judéité et de l’identité.
Le Journal du Dimanche
S’il souffre de quelques passages à vide et de facilités scénaristiques, ce film où se côtoient rires et larmes, pesanteur et légèreté, aigreur et douceur, dépeint avec finesse l’incapacité de chacun à se délester de son passé, ainsi que les risques émotionnels courus lorsqu’on tente d’en percer les mystères.
Studio Ciné Live
L'écriture est ici capable de distiller une joyeuse cacophonie dans des situations dramatiques.
Télérama
Du quotidien au drame (quelques instants pris sur le vif, à l'hôpital), chaque scène, courte, sobre, sonne juste, interprétée par des comédiens inspirés.
aVoir-aLire.com
Un regard tout en tendresse sur une quête d’identité qui, d’abord nébuleuse, finira par s’éclairer de tons chaleureux au fur et à mesure des découvertes de chacun.
L'Humanité
Une façon tout de même un peu facile et convenue d’évoquer le dilemme israélo-arabe.
Le Monde
Le résultat est aussi déconcertant qu’émouvant dans son refus des résolutions trop faciles et trop heureuses que le cinéma et la fiction lui tendent.