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Votre avis sur Split ?
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Ho la vache ! Ca c'est du film à suspens. Une tension qui monte en puissance jusqu'à un double twist (dont un clin d'oeil). McEvoy est juste énorme. Je pense que je n'avais pas vu de psychopate aussi spectaculaire depuis "dragon rouge" et "le silence des agneaux". M Night Shyamalan nous avait habitué à présenter du très bon (à commencer par "sixième sens") mais "split" est pour moi (pour l'instant, je pense qu'il peut encore me surprendre, le garçon n'a que 49 ans) son chef d'oeuvre. 5 / 5. Scotché j'ai été !!!!!
Le film qui réssucite la carrière de Shaymalan après une avalanche de médiocrité. Le film est hyper captivant avec l'histoire de Kevin Wendell Crumb qui est doté de 23 personnalités différente. James mcavoy est tout simplement incroyable dans ce role, il nous livre une excellent performance. Ana Taylor joy est aussi très talentueuse ainsi que Betty Buckley. La mise en scène est bien travaillée, les plans sont bien cadrés. On ne sennuie pas du tout, on est captiver du début à la fin. Le concept est intéréssant et bien exploité mais l'intrigue est assez banale et bordélique. La backstory de Kevin est à peine explorées contrairement à Casey qui sont bien développées alors que le film n'est pas centré sur elle. il y a des moments où on comprend pas grand chose.
spoiler:
Le kidnapping des filles
n'est exploité que pendant une seule scène dans le film à part ça rien, aucune recherche.... J'ai bien aimé l'alchimie entre Kevin et Casey. Le film possède de super scènes : spoiler: Le kidnapping, la première apparition de Hedwig, la scène avec Patricia, la danse d'Hedwig, le finale avec la bête et la scène de Bruce Willis qui nous montre que c'est la suite de incassable
en nous remettant la musique du film.Respect. Un très bon film et une superbe fin spoiler: qui annonce le crossover de incassable et split : glass.
n'est exploité que pendant une seule scène dans le film à part ça rien, aucune recherche.... J'ai bien aimé l'alchimie entre Kevin et Casey. Le film possède de super scènes : spoiler: Le kidnapping, la première apparition de Hedwig, la scène avec Patricia, la danse d'Hedwig, le finale avec la bête et la scène de Bruce Willis qui nous montre que c'est la suite de incassable
en nous remettant la musique du film.Respect. Un très bon film et une superbe fin spoiler: qui annonce le crossover de incassable et split : glass.
Cool!Bon film qui gère super bien le suspens!Le scénario est assez bien trouvé!Rien d'énorme mais pas mal!
Le film est pas mal du tout, c'est tendu, haletant et quasiment insoutenable à la fin.
Bref c'est très bien fait. Le réalisateur ne réinvente pas le genre mais fait ici un très bon film.
L'acteur principal, McAvoy, endosse le rôle du méchant d'une superbe manière, jonglant avec les différentes personnalités de son personnage.
Je n'ai pas donné plus de 3 étoiles car le léger côté fantastique vers la fin du film ne m'a pas trop plu.
Bref c'est très bien fait. Le réalisateur ne réinvente pas le genre mais fait ici un très bon film.
L'acteur principal, McAvoy, endosse le rôle du méchant d'une superbe manière, jonglant avec les différentes personnalités de son personnage.
Je n'ai pas donné plus de 3 étoiles car le léger côté fantastique vers la fin du film ne m'a pas trop plu.
Un bon thriller avec une fin surprenante, James McAvoy offre une très bonne prestation. Le film est assez stressant et tient le spectateur en haleine malgré qu'exception faite du personnage à plusieurs personnalités le reste du film est trop classique.
Film très original, l'acteur est excellent il arrive à jouer toutes ces personnalités.. J'ai moins accroché le 2nd volet
L'histoire d'un homme ayant 23 personnalités différentes dans un seul corps et dont les plus malfaisantes, Dennis et Patricia) viennent de prendre le pouvoir sur les autres pour avoir le contrôle de la "lumière" et ainsi mettre en oeuvre leur plan diabolique, révéler aux autres une 24ème personnalité extra-ordinaire : la Bête ! Pour préparer son arrivée, Dennis et Patricia kidnappent trois jeunes filles dans le but de les offrir en pâture à la Bête. James McAvoy est à créditer d'une prestation magistrale dans un rôle particulièrement difficile où il incarne tour à tour un enfant, une femme, un homme maniaque et bien d'autres personnalités dont la Bête. Il est impressionnant dans chacune de ces personnalités. Il faut aussi souligner le travail remarquable de Shyamalan, le réalisateur, qui nous offre une atmosphère sombre et anxiogène tout au long du film, qui fait qu'on se sent pris au piège avec les trois jeunes filles. Concernant ces dernières, si les deux lycéennes (dont j'ai oublié les noms) livrent une prestation quelconque, Anya Taylor-Joy (Casey) est remarquable, notamment par ses expressions faciales et son regard où l'on sent l'émotion mais également la maîtrise de soi, contrairement aux deux autres qui paniquent assez vite. Betty Buckley est également très convaincante dans le rôle du Dr. Karen Fletcher. Et concernant la bande son, j'avoue être un peu passé à coté tellement le fil m'a angoissé. Un excellent film !
La bande annonce m’avait fair rêver : plusieurs identités différentes cohabitent chez un déséquilibré qui séquestre de jeunes filles. Peut-être ai-je failli m’endormir, mais ce film était au mieux un cauchemar. Déjà pourquoi annoncer 23 personnalités si ce n’est que pour en montrer que quelques unes ? C’est la première déception. Deuxième déception, le ravisseur vient de temps en temps nous faire découvrir ou rejouer une de ses personnalités, sans que cela ne s’inscrive dans la continuité d’une histoire intéressante, ou une histoire au moins. Déjà qu’elles s’avèrent bien vite lassantes, ne dévoilant ni l’origine du trouble psychiatrique ni le lien logique qui les unit, on ne saisit plus au bout d’un moment l’intérêt de la chose. Enfin si, et ce n’est un secret pour personne (à part moi avant d’avoir vu le film), il existe une sorte de « bête », une 24ème personnalité qui va être révélée. C’est là que pendant 2h un roulement de tambours va continuer à retentir seulement et uniquement pour préparer son apparition. Tout ne fera plus que tourner autour de ça, au détriment de péripéties qu’on attend toujours. Troisième déception,
spoiler:
le film va virer au fantastique, un genre d’anti-héros puissant méchant pour rien
, bien loin de l’esprit d’« incassable », beaucoup moins subtil ni attrayant. En fait, ce film manque affreusement de personnalité.
, bien loin de l’esprit d’« incassable », beaucoup moins subtil ni attrayant. En fait, ce film manque affreusement de personnalité.
SPLIT (2017): Kevin, un homme habité par 23 personnalités, et d'une vingt-quatrième dont il ne sait pratiquement rien. Il sera poussé par certaines d'entre elles à enlever 3 jeunes filles afin de les offrir à une bête mystérieuse. La détermination de l'une de ses victimes lui compliquera la vie .SPLIT est un thriller d'une grande noirceur, étouffant, brouillant sans cesse les pistes sans jamais perdre le cap. Mélange d'action, de suspense, de drame, de fantastique, pour une fin assez surprenante. Ici, le trouble dissociatif de l'identité sera poussé très très loin. Un film Inspiré du cas réel de Billy Milligan, violeur arrêté à la fin des années 70 et présentant 10 personnalités différentes. ( Dans les années 80, James Cameron sera intéressé par cette histoire. Il entreprendra toutes les démarches nécessaires pour en faire un film.. Mais suite aux résultats décevants de son dernier long-métrage ( Abyss ), il modifiera ses plans de carrière et s'attèlera à Terminator 2 suivi de True Lies. Déçu, Milligan sorti de prison en 1988, ayant collaboré avec James Cameron sur le personnage principal, portera plainte . Devant cette procédure scandaleuse le réalisateur laissera tomber. Il aura fallut attendre le décès de Milligan en 2014, pour que Shyamalan s'inspire de ce fait divers pour le porter à l'écran).Split sera la suite d'Incassable..
Excellent et incroyable film. James Mc Avoy est extraordinaire ! Quelle performance !! Suspense et tension sont au rendez-vous. Je regrette comme un peu toujours dans les films les facilités scénaristiques. Mais très bon Shyamalan !
Je suis bluffée par James McAvoy, qui porte le rôle et donne à ce film un certain intérêt. Il incarne les personnalités à la perfection. Le début du film accroche, on traîne un peu à droite et à gauche sur des détails inutiles, mais au final, les ficelles ne tiennent pas, l’action attendue ne prend pas. Le tout semble réellement inachevé... on dirait le brouillon d’un bon film. Dommage....
Ce film marque le grand retour de SHYAMALAN, avec son futur crossover et l'apparition de David Dunn.
James McAvoy a fait un travail de fou pour jouer autant de personnages.
James McAvoy a fait un travail de fou pour jouer autant de personnages.
Split est de loin mon film préféré. Passionnée de psychologie, l'histoire de Kevin est incroyable et il est impossible de ne pas se poser des questions au générique de fin. De se dire que des êtres sont capables, par leur souffrance, de développer de telles pathologies. Le côté surnaturel donne un plus et vient appuyer l'opinion du psychiatre de Kevin. Est-ce là ce qu'on appelle le "surnaturel"? Tant de choses à dire sur ce film. L'interprétation de l'acteur principal est époustouflante. Dès le premier coup d'oeil, on sait tout de suite de quelle personnalité il s'agit. Et surtout, la référence à Incassable. Bien joué car on ne s'y attendait pas. Il est vrai qu'il faut l'avoir vu pour comprendre la subtilité de la scène de transformation. Ce film m'a inspiré dans ma vie et continuera de m'inspirer. Ce réalisateur est génial, on retrouve toujours l'esprit ingénieux qu'on a pu voir dans "Sixième sens". À la fin on tombe et on se dit : qu'est-ce qui vient de se passer ? Un bonheur.
Complètement déjanté, dérangeant. Une histoire extrêmement efficace. Un acteur qui joue merveilleusement bien, même à la perfection. J'ai rarement vu une prestation aussi parfaite. On frôle le chef d'œuvre.
Fêtons le cinéma
Avec Split, M. Night Shyamalan réaffirme la marginalité congénitale du super-héros et la propension de ce dernier à puiser sa force extraordinaire dans les troubles de son moi profond. Suivre Kevin Wendell Crumb dans les couloirs étroits du sous-sol zoologique revient à voir s’entrecroiser les fibres d’un cerveau aux linéarités aléatoires ; l’escalier de la psychanalyste reproduit, en perspectives cette fois, l’entrelacs de réseaux à l’intérieur du cortex, construction identitaire qui, seule, permet au jeune garçon de survivre. Pour l’incarner, un James McAvoy stupéfiant. Face à lui, une actrice tout aussi talentueuse, Anya Taylor-Joy, qu’une mise en scène pleine de subtilités prend soin d’isoler, en recourant notamment à l’architecture des lieux (les cloisons de la chambre, par exemple découpent l’espace en deux ensembles, à l’instar des deux hémisphères du cerveau). Des discours scientifiques et philosophiques, il y en a. Des idées de réalisation, à la pelle. Car Shyamalan recourt au cinéma de manière totale, il compose des images et des textes capables peu à peu de s’enrichir mutuellement jusqu’à aboutir à la vision du cinéaste, limpide et exigeante. Chaque cicatrice équivaut à une occasion supplémentaire d’éprouver la conscience d’être en vie et d’influer sur elle sans retenue. Faire des blessés d’hier des héros de demain trouve non seulement dans le cinéma de Shyamalan une résonance certaine – du Village au Dernier Maître de l’air, chacun de ses films aborde cette thématique – mais plus largement dans notre appréhension de la différence dans un monde où les images et le discours qui les habille suivent une même ligne interprétative. Véritable pied-de-nez aux superproductions actuelles, Split brise Hollywood et se galvanise des éclats d’héroïsme ainsi engendrés, éclats qui bénéficieront d’une soudure formidable dans la suite de ce triptyque, Glass. Récit d’une libération des traumatismes par l’expérience traumatique, récit de terreur où perce un humour léger, le film ose en outre réinventer le thriller sur fond d’escape game (très à la mode aujourd’hui). Œuvre immense, Split compose, à partir de parcelles sensibles, une somme artistique capable d’épouser l’humain dans sa polyphonie fondamentale. Un chef-d’œuvre, tout simplement.
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