Film plat, ennuyant... l'histoire reste en surface.. c'est dommage ! Avec un tel scénario et avec cette BA alléchante je m'attendais à mieux... j'ai attendu 30mn, puis encore 30mn.. et au bout d'1h30 j'ai désespèré .. Je déconseille vivement ce film.. sauf si vous avez du temps à perdre
Avant toute chose, nous tenons à préciser qu’il faut aller voir Split dans l’optique d’aller voir un thriller. En effet, le côté épouvante est très loin d’être poussé au maximum, surtout lorsque l’on connaît l’historique de Manoj Shyamalan avec “The Visit”.
Une nouvelle fois le scénario est très recherché tout en restant plausible. Rien n’est laissé au hasard et chaque détail a son importance. Nous découvrons Kévin, interprété par James McAvoy, atteint d’un trouble du cerveau qui le divise en 23 personnalités différentes. Un jour, une des personnalités résidant en lui va décider de kidnapper trois jeunes filles pour nourrir “la bête”. Les adolescentes vont comprendre au fur et à mesure que leur bourreau n’est pas tout à fait normal. L’histoire est très captivante et on se prend rapidement au jeu en essayant de trouver le moyen de s’échapper et surtout de découvrir qui est “la bête” avant qu’il ne soit trop tard. Kévin rend visite tout au long du film au docteur Fletcher. Elle connaît le dossier de Kévin par coeur et va tout de suite comprendre qu’un problème s’est produit lorsqu’elle se rend compte qu’une des personnalités a pris le dessus… La plus malveillante. On remarquera le jeu d’acteur exceptionnel de James McAvoy qui interprète magistralement le rôle de Kevin et de ses 23 personnalités différentes qui l’habitent. Sa capacité à interchanger ces personnalités est juste époustouflante. La bande originale est peu présente mais efficace. En effet, elle accompagne parfaitement les moments de suspens. En ce qui concerne le dynamisme, on ne s’ennuie pas. Les plans rythmés et l’ambiance très bien pensée du film, font qu’on ne sent pas les deux heures passer.
Le suspens va perdurer jusqu’aux derniers instants du film et le réalisateur, de part la manière de conclure, se réserve la possibilité de tourner un deuxième volet… Afin d’éviter ce fléau qu’est le spoil nous ne nous éterniserons pas sur la fin bien qu’elle soit parfaite !
Film original et intriguant, split nous fait découvrir un être aux prises avec ses multiples personnalités qui sont elles-même divisées par des visions très différentes. L'acteur est remarquable, il nous embarque dans son jeu et est criant de réalisme dans chacune des personnalités qu'il fait vivre. Suspens, tension et même humour (si si!) sont au rendez-vous dans ce film hautement psychologique qui ne laisse pas indifférent et invite à la réflexion.
Vu ce jour. Tiré d'une histoire vraie,dans laquelle james mcavoy incarne un personnage qui souffre de troubles de la personnalité . 24 personnalités différentes "habitent "cet individu.La performance de l'acteur est impressionnante,et le reste du casting est solide.L'ambiance du film est suffocante,une tension règne tout le long du métrage.Il y a très peu d'action,ce qui n'a aucune importance en soit. Réalisation,mise en scène,photo,sont bien maîtrisé. Du très bon cinoche.
Kevin Wendell Crumb ("crumb" = "miette", en français... tout un destin à contrarier...) est un fracassé de l'identité. Son psy traitant, le Dr Karen Fletcher (fin de soixantaine), a en fait ouvert 23 dossiers à son nom, puisque son patient est un cas d'école de TDI. Elle est alertée par un nombre inhabituel de demandes de rdvs par mail, venant de certaines de ses personnalités (dans les 23 recensées : hommes comme femmes, d'âges divers, et même un petit garçon de 9 ans) - ce que nie cependant celui qui vient la voir alors, "Barry", un artiste "modeux". Elle pressent un drame.... ce que le spectateur pressent aussi, avec plus d'acuité encore, 3 étudiantes ayant été enlevées par Kevin en prédateur - spoiler: semblant préparer l'avènement d'une nouvelle entité, en quête de chair fraîche ! Ce "Split" ("Divisé" - comme a su le traduire le Québec !) opère comme le précédent opus de Night Shyamalan ("The Visit" - en 2015) en milieu clos essentiellement (la tanière de KWC, ou le cabinet du Dr Fletcher). Pas de grandiloquence, pas d'effets spectaculaires. Toute l'efficacité de la dramaturgie repose sur le personnage éclaté de Kevin - James McAvoy y excelle ! Notons que la charge psychiatrique se déplace cependant de Kevin à Casey Cooke, le "grain de sable" (spoiler: elle est en effet enlevée "en plus" - un concours de circonstances l'ayant fait monter dans la voiture des deux proies "élues", Claire et Marcia) , un portrait progressivement esquissé de la jeune fille nous familiarisant avec le "twist" final (prolongé même par les dernières images, avec caméo familier) - à mettre en net positif. Cependant, l'ensemble du film ne passionne pas, qui ne sait pas renouveler le postulat de départ, mais se contente d'en dérouler des développements convenus.
Un film extraordinaire qui est passé un peu trop inaperçu à sa sortie à mon goût ! M. Night Shyamalan revient aux affaires après ses très décevants Les derniers maîtres de l’air et After Earth. Il retrouve les ingrédients qui avait fait son succès dans Sixième Sens, Signes où Le Village. Split a un scénario hyper intelligent, très intéressant et magnifiquement porté à l’écran. De plus, l’interprète principal, James McAvoy est incroyable dans ce rôle en or où il a l’occasion de montrer l’étendu de son talent. J’attends maintenant avec beaucoup d’impatience Glass, le cross over entre Split et Incassable, mon film préféré de Shyamalan.
Un film d'atmosphère doublé d'un thriller captivant. La mise en scène est épurée, comme pour mieux mettre en lumière la performance éblouissante de James McAvoy qui parvient à nous faire croire à chacune de ses personnalités.
Intrigue très intéressante et passionnante interprété par un acteur saisissant. Voici un film digne de son réalisateur avec une petite ouverture à la fin sur son prochain film avec Bruce Willis.
Shyamalan retrouve ici son cinéma et son écriture de grande qualité : des personnages bien brossés par touche impressioniste, des situations pleines de tension et allant crescendo, une touche de fantastique en filigrane. ...Et un (petit mais sympathique) twist final... Une performance d'acteur très très impressionnante pour James Mac Avoy Du très bon cinéma de genre(s)
M. Night Shyamalan signe enfin son grand retour après ses deux derniers film simplement catastrophique. Tout est parfait dans se film, le scénario, les acteurs et la bande son du très très bon avec un bon clin d’œil à un autre de ses très bon film et qui je l'espère annonce un futur projet très prometteur. A voir si vous avez aimer incassable, sixième sens, signe et the village. Split vient se rajouter à la liste de ses meilleurs film.
D'abord un préalable, Le trouble dissociatif de l'identité tel qu'il est décrit dans le film n'existe pas, Les dédoublements d'identité existent mais ne sont jamais multiples. Ceci dit on est au cinéma et le réalisateur a parfaitement le droit de faire un film sur une maladie mentale qui n'existe pas. Alors le film ? Ça démarre sur les chapeau de roues et laisse présager de bons moments, mais le soufflé retombe très vite, Ces demoiselles sont charmantes à défaut de savoir bien jouer et Betty Buckley a beaucoup de classe, mais c'est a peu près tout. On peut louer les efforts de James McAvoy afin d'interpréter les multiples facettes d'un rôle très difficile, mais je n'ai pas trouvé le résultat très convaincant. Ajoutons-y une réalisation planplan, des dialogues interminables et ennuyeux entre McAvoy et Buckley et un final WTF, on aura compris que je n'ai pas aimé du tout.
J'ai vu The Visit et Incassable assez récemment et ces deux films m'on fait forte impressions mais là ... Le film passe par toute sorte d'état et offre un suspense à la fois palpitant et suffocant ! Obligé de penser à Psychose d'Alfred Hitchcock. James McAvoy m'a fait flippé au même titre que Norman Bates, une prestation monumentale de sa part. Anya Taylor Joy que je découvre totalement m'a aussi réellement épaté, son échange avec Herwig là ou elle se confie sur les raisons qui la poussent à " se faire punir " m'a bluffé et remué. M. Night Shyamalan vient me bousculé encore une fois, il est vraiment temps que je me refasse quelque uns de ces films précédent !