Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Bardé de sombres arguments (un couple vacille, usé par le train-train quotidien), le film pourrait être d'une monotonie infernale. C'est tout le contraire qui se produit. Un bijou de justesse.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Elle
par Florence Ben Sadoun
L'inertie du rude hiver canadien gagne la pellicule de ce drame psy- chologique où il ne se passe pas grand-chose à l'écran Et pourtant son intérêt se loge dans les interstices silencieux et dans sa lente nar- ration sur l'enneigementde la relation d'un couple
L'Obs
par La Rédaction
C’est beau, lent, distancié : si on se laisse prendre, c’est admirable. Sinon, c’est, comment dire ?, long.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Un film grave et intense, dans lequel la lenteur, la fatigue d'être soi et l'isolement personnel sont les éléments essentiels.
Transfuge
par Sarah Chiche
Si "Early Winter" n'a pas la puissance d'évocation de "Scènes de la vie conjugale" de Bergman, son contenu profondément moral ne laissera personne indifférent.
Critikat.com
par Benoît Smith
On aimerait ne voir dans ce film que l’intrigant portrait d’homme, la juste description du soupçon et de l’assèchement dans le couple, loin de tout soupçon d’affectation et d’arrière-pensée calculatrice de ses effets.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Mais plus qu’articulé sur une trame narrative, ce film fort à l’atmosphère âpre suit la chronique des jours et des nuits, saisie dans la rigueur de plans-séquences dénués d’artifices.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Scènes de la vie conjugale dans un Canada hivernal, à l’image d’un amour pris par la glace du temps qui passe.
Le Monde
par Noémie Luciani
Les deux acteurs créent avec presque rien : une phrase à demi convaincue, un léger mouvement d'épaule ou de sourcil, un regard égaré. C'est plus qu'il n'en faut à Suzanne Clément et Paul Dourcet pour donner à l'impossible tableau toute sa silencieuse ampleur.
Première
par Isabelle Danel
Parfois un peu trop conscient de ses effets (voire de leur absence), le film est une observation juste et cruelle du "tout le monde à ses raisons" de Renoir.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Déjà méticuleux dans Année bissextile, le cinéaste cerne implacablement le vide, le trouble, puis l'angoisse. Quelque chose va craquer, on le sent, entre ces deux morts-vivants. C'est ce suspense qui intéresse, même si, par moments, hélas, on sent trop les efforts de Michael Rowe pour rester ambigu à toute force.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Le triste sort des pensionnaires en fin de vie alourdit une ambiance déjà pesante et dépressive. Le charme lumineux de Suzanne Clément, l’héroïne de "Mommy" (Xavier Dolan), n’y fait rien.
Ouest France
par Pierre Fornerod
La mise en scène de Michael Rowe, qui aime les plans séquences, ne parvient pas à dynamiser le récit.
Positif
par Yannick Lemarié
"Early Winter" aurait pu être une vraie réussite, notamment grâce à l'art des comédiens, à la qualité des images et à l'étude subtile des déchirements intérieurs du couple. On regrette d'autant plus l'instance maladroite de la dernière demi-heure et l'accumulation inutile des ultimes coups de théâtre.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Le récit se révèle bien trop riche en pathos pour séduire.
TF1 News
par Romain Le Vern
On retrouve dans "Early Winter" cette capacité - pas si fréquente - à traduire par des moyens purement cinématographiques la complexité de personnages fâchés avec le monde, et on aime beaucoup cette humeur au cinéma. Mais l'exercice de style Bergmanien tombe un peu dans la démonstration.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Un drame conjugal flegmatique qui laisse froid...
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Franceinfo Culture
Bardé de sombres arguments (un couple vacille, usé par le train-train quotidien), le film pourrait être d'une monotonie infernale. C'est tout le contraire qui se produit. Un bijou de justesse.
Elle
L'inertie du rude hiver canadien gagne la pellicule de ce drame psy- chologique où il ne se passe pas grand-chose à l'écran Et pourtant son intérêt se loge dans les interstices silencieux et dans sa lente nar- ration sur l'enneigementde la relation d'un couple
L'Obs
C’est beau, lent, distancié : si on se laisse prendre, c’est admirable. Sinon, c’est, comment dire ?, long.
Les Fiches du Cinéma
Un film grave et intense, dans lequel la lenteur, la fatigue d'être soi et l'isolement personnel sont les éléments essentiels.
Transfuge
Si "Early Winter" n'a pas la puissance d'évocation de "Scènes de la vie conjugale" de Bergman, son contenu profondément moral ne laissera personne indifférent.
Critikat.com
On aimerait ne voir dans ce film que l’intrigant portrait d’homme, la juste description du soupçon et de l’assèchement dans le couple, loin de tout soupçon d’affectation et d’arrière-pensée calculatrice de ses effets.
La Croix
Mais plus qu’articulé sur une trame narrative, ce film fort à l’atmosphère âpre suit la chronique des jours et des nuits, saisie dans la rigueur de plans-séquences dénués d’artifices.
Le Dauphiné Libéré
Scènes de la vie conjugale dans un Canada hivernal, à l’image d’un amour pris par la glace du temps qui passe.
Le Monde
Les deux acteurs créent avec presque rien : une phrase à demi convaincue, un léger mouvement d'épaule ou de sourcil, un regard égaré. C'est plus qu'il n'en faut à Suzanne Clément et Paul Dourcet pour donner à l'impossible tableau toute sa silencieuse ampleur.
Première
Parfois un peu trop conscient de ses effets (voire de leur absence), le film est une observation juste et cruelle du "tout le monde à ses raisons" de Renoir.
Télérama
Déjà méticuleux dans Année bissextile, le cinéaste cerne implacablement le vide, le trouble, puis l'angoisse. Quelque chose va craquer, on le sent, entre ces deux morts-vivants. C'est ce suspense qui intéresse, même si, par moments, hélas, on sent trop les efforts de Michael Rowe pour rester ambigu à toute force.
Le Journal du Dimanche
Le triste sort des pensionnaires en fin de vie alourdit une ambiance déjà pesante et dépressive. Le charme lumineux de Suzanne Clément, l’héroïne de "Mommy" (Xavier Dolan), n’y fait rien.
Ouest France
La mise en scène de Michael Rowe, qui aime les plans séquences, ne parvient pas à dynamiser le récit.
Positif
"Early Winter" aurait pu être une vraie réussite, notamment grâce à l'art des comédiens, à la qualité des images et à l'étude subtile des déchirements intérieurs du couple. On regrette d'autant plus l'instance maladroite de la dernière demi-heure et l'accumulation inutile des ultimes coups de théâtre.
Studio Ciné Live
Le récit se révèle bien trop riche en pathos pour séduire.
TF1 News
On retrouve dans "Early Winter" cette capacité - pas si fréquente - à traduire par des moyens purement cinématographiques la complexité de personnages fâchés avec le monde, et on aime beaucoup cette humeur au cinéma. Mais l'exercice de style Bergmanien tombe un peu dans la démonstration.
aVoir-aLire.com
Un drame conjugal flegmatique qui laisse froid...