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    Les Frères Sisters
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    563 critiques spectateurs

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    129 abonnés 809 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 24 septembre 2018
    Les frères sisters est un bon petit western. Celà ne sera sans doute pas le film de l'année...mais il vaut le coup d'oeil. Les acteurs sont bons. Et le scénario est un peut différents de ce que l'on a l'habitude de voir.
    Guillaume C.
    Guillaume C.

    88 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2018
    Le Western étant mon genre de prédilection, c’est donc avec attentes et curiosité (Western à la française c’est assez unique pour être souligné) que j’allais voir ce « Frères Sisters ». Et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il n’est pas là où je l’attendais. En fait nous sommes plus sur un Audiard que sur un Western. Visuellement et sur la forme en général les codes sont respectés : grands espaces, fusillades, nature, longues chevauchées, etc… et c’est assez réussi. Sur le fond c’est beaucoup plus original, et on retrouve les sujets chers à Audiard : des hommes brisés, en quête de leur identité ou d’une certaine salvation, ou en tout cas d’un nouveau départ, avec un monde qui ne se soucie guère de leurs pérégrinations. C’est psychologique, fin (plusieurs degrés de lecture) et contemplatif.

    On contemple les magnifiques étendues hostiles de l’Ouest américain, mais surtout les errements et égarements de l’âme humaine, tantôt cupide, tantôt rêveuse, tantôt torturée, tantôt agitée. Mais que ce soit avec les meilleures ou les pires intentions, toujours il nous met face à la banalité du mal et à cette incapacité à mesurer la conséquence de ses actes jusqu’à ce que ces dernières surviennent, avec des personnages semblant tous perdus (exception faite de Warm) pour diverses raisons. Personnages campés par un quatuor de haute volée et plus particulièrement le duo Phoenix-Reilly, qui campent les frères Sisters que tout oppose et qui pourtant sont unis par ce lien puissant et indéfectible : celui de 2 frères. Chacun regardera ce lien de façon différente mais, Audiard à mon sens met le doigt sur qu’il est réellement, et ça ne rend les 2 frères que plus attachants, bien qu’ils soient aussi largement méprisables. Une ambivalence qui démontre toute la subtilité d’Audiard dans le traitement de ses personnages. Ce lien fraternel, plus qu’affectif, viscéral est d’une grande beauté et constitue la grande force de ce film.

    On contemple et on s’interroge sur ces frères, leur lien, mais aussi la nature humaine en général, Audiard traite en filigrane bien des sujets et nous laisse le temps pour nous en emparer. Peut-être même un peu trop. Parfois on trouve le temps un peu long. Car contrairement à un Sergio Leone qui étire le temps pour nous donner une impression de bout de souffle, ou plus récemment d’un Tarantino pour faire monter la pression, Audiard a du mal a géré cette longueur de temps. Il manque à ce Western, ce côté crépusculaire, sale, et surtout ces dialogues caustiques, corrosifs, ce sentiment que même les « bons » n’en valent pas la peine, ce côté d’une humanité et d’une société à bout de souffle et à la dérive, qui ne peut être sauvée qui fait le sel des plus grands chefs d’œuvre du genre, Audiard les effleure mais ne parvient jamais à réellement nous le montrer. Et c’est dommage, le temps n’étant plus un personnage à part entière mais juste une longueur un peu mal maîtrisée. Ajoutez à cela quelques petites facilités dans le scénario et l’on touche du doigt les limites d’Audiard dans cet exercice.

    Mais qu’importe, ce « Frères Sisters » sait se faire apprécier, et à plus forte raisons quelques jours après son visionnage, une fois qu’il a maturé dans notre tête. Audiard parvient à trouver son propre style en matière de Western, sans chercher à copier absolument les références du genre, ce qui est assez rare pour être souligné. Il donne aussi à voir ce lien fraternel dans sa définition la plus épurée (et peut-être la plus véridique à mon sens), ce qui est également assez rare pour être souligné. Avec finesse et beaucoup d’ambivalence Audiard nous transporte dans un comte fraternel qui vaut le détour.
    Jean-marc B
    Jean-marc B

    7 abonnés 22 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 septembre 2018
    La critique de Télérama m'avait donné envie de voir ce film. J'ai l'impression de ne pas avoir vu le même ou d'être passé à coté. Je suis assez décu par ce western annoncé comme une nouvelle facette du western traditionnel.
    Certes les acteurs sont crédibles, certaines parties de l'histoire sont attachantes mais globalement, trop d'imperfections à mon goût. La lumière est très souvent faible et même si de nombreuses scènes se déroulent la nuit, j'ai eu du mal à discerner la subtilité des décors et des mouvements. les musiques sont belles mais manquent d'unité.
    Je suis partagé entre le fait de revoir ce film pour tenter d'appréhender ce qui semble m'avoir échappé et le choix de le remiser dans ma bibiliothèque personnelle des films décevants.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 24 septembre 2018
    Ce film avait tout pour plaire mais de mon point de vue c'est raté la faute à un scénario sans fil conducteur, des personnages trop ternes, trop stupides et à un univers pas assez travaillé. Par ailleurs il y a vraiment trop de longueurs.
    Arnaud75016
    Arnaud75016

    7 abonnés 106 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 septembre 2018
    Les frères Sisters nous montrent un univers dur de western, une fratrie plus que soudée et une aventure humaine très riche. Le western est un peu lent mais il se déroule dans des décors somptueux; la fratrie est étonnante mais c’est dans l’évolution des 2 frères que réside la partie la plus intéressante du film. L’aventure humaine est dure, pleine de cupidité et de perversité.
    Au final, un film riche et intéressant, très esthétique et plein d’humanité (sombre). Bravo !
    Yves G.
    Yves G.

    1 518 abonnés 3 533 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 septembre 2018
    Les frères Sisters sont tueurs à gages. Dans l'Amérique de la ruée vers l'or, ils vendent leurs talents au plus offrant. Charlie le cadet (Joaquin Phoenix) est le plus insouciant des deux, qui boit et qui couche dès que l'occasion s'en présente. Eli l'aîné (John C. Reilly) est le plus sensible, qui peut abattre de sang froid un homme mais ne supporte pas de voir une bête souffrir.
    Leur donneur d'ordres, le mystérieux Commodore, leur a désigné leur prochaine cible : Hermann Kermit Warm (Riz Ahmed) un alchimiste auquel ils devront, avant de l'exécuter, arracher la formule qu'il a inventée. Un détective privé est déjà sur ses trousses : l'élégant John Morris (Jake Gyllenhaal).

    De tels tombereaux d'éloges se sont déjà abattus sur Les Frères Sisters qu'on sera bien hardi d'en dire ici du mal. On le sera d'autant plus qu'on tient Jacques Audiard pour le plus grand réalisateur français contemporain avec Abdellatif Kechiche : tous ses films, à l'exception peut-être de "Dheepan", qui ne méritait pas la Palme, sont des chefs d’œuvre inoubliables de "Sur mes lèvres" à "De rouille et d'os" en passant par "Un prophète" et "De battre mon cœur s'est arrêté".

    On lit qu'il tourne un "western crépusculaire". Expression ô combien galvaudée depuis que le western, genre éminemment daté, contemporain d'un âge d'or américain, qui n'en finit plus de connaître un long épuisement et dont on se demande diable ce que le réalisateur français est allé y chercher, dans des décors naturels espagnols ou roumains et avec des acteurs américains recrutés à prix d'or.

    On lit aussi qu'il raconte "un sublime récit de fraternité" en mettant en scène deux frères au patronyme déroutant. On n'y voit pourtant, comme on l'a vu mille fois, qu'un duo de cowboys, ici unis par les liens du sang, qui incarnent chacun à leur façon des caricatures : l'aîné incarne la voix de la raison laissant au puîné le rôle du débauché capricieux et immature.

    On lit enfin qu'il s'agit d'une "réflexion terrassante sur la banalité du mal", un sujet qui traverse l’œuvre de Audiard. C'est sans doute faire beaucoup de cas à ce quatuor de personnages dont l'histoire ne surprend guère, sinon par la scène, attendue pendant près de deux heures durant laquelle Warm teste enfin sa formule. Elle restera gravée dans les mémoires. Elle ne justifie pas à elle seule les éloges excessifs venus saluer cette odyssée américaine d'un réalisateur dont on espère le retour rapide à des horizons plus familiers.
    norman06
    norman06

    355 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 septembre 2018
    Jacques Audiard et son scénariste se meuvent avec bonheur et subtilité dans l'univers westernien, dont ils respectent les codes tout en greffant un univers et un style qui leur sont proches. Attachant.
    Joh83
    Joh83

    2 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 mars 2019
    Très bon film fait d'humour, de sensibilité et de tragédie. J'ai aimé voir les différents personnages, chercheurs d'or, s'affronter, s'allier puis s'ouvrir les uns aux autres pour entrevoir ensemble une notion éloignée du règlement de compte de western, la démocratie". Mais au fil de l'histoire, cette vision s'éloigne de la réalité des frères Sisters. Le banditisme est leur "gagne pain" et la folie pour trouver de l'or va finir par les perdre.
    Comme dans le Prophète, on trouve les qualités de l'antihéros lorsqu'il affronte les coups durs et qu'il cherche à s'en sortir.
    ANDRÉ T.
    ANDRÉ T.

    83 abonnés 484 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 septembre 2018
    Oui, j'ai surtout aimé la forme, Jacques Audiard a peut-être rêvé toute sa vie de faire un western?
    Les comédiens sont irréprochables et John C. Reilly...est à deux doigts d'avoir un "premier rôle" !!!
    Pourquoi suis-je resté au bord de l'histoire ?
    Un ton décalé, une distance du réalisateur avec l'histoire ?
    Hervé L
    Hervé L

    81 abonnés 646 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 septembre 2018
    décevant et vite ennuyeux un faux western une intrigue insignifiante aucune surprise aucun rebondissements des dialogues convenus et une bande son atroce genre petite musiquette insignifiante
    les plutôt bons acteurs sauvent ce qu ils peuvent et quelques rares beaux paysages nous font regretter les vrais western
    Les chevaux eux sont bien
    c est peu pour un film!
    SuperJS
    SuperJS

    35 abonnés 220 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2018
    Remarquable. Western qui sort de l’ordinaire puisqu’il s’éloigne de la violence habituelle des revolvers (même si heureusement il reste bien quelques scènes sanguinolentes lol). Road trip psychologique formidablement bien joué par 4 acteurs.
    After D
    After D

    8 abonnés 246 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 septembre 2018
    Un des meilleurs westerns depuis "impitoyable", avec des acteurs au top. Il n'est pas exempt de défauts, notamment pas assez de prises de vue en champs larges, trop de scènes de nuit, des seconds rôles un peu carricaturaux, mais pour le reste c'est à l'image du chef-d'oeuvre d'Eastwood, les personnages principaux sont travaillés, on suit l'évolution de leurs rapports complexes au fil des évènements, sans s'ennuyer une seconde. Un très bon western.
    Théo S
    Théo S

    9 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 23 septembre 2018
    Très bon film , à voir pour les fans de western !! Les acteurs sont dans leur rôle et la relation entre frère et très bien abbouti , les paysages sont à couper le souffle
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 366 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 octobre 2018
    Ah ! Un Western ! Le genre est tellement codifié (et surtout déjà tellement fourni) que je suis toujours surpris de constater qu’il puisse encore en sortir aussi souvent de nos jours. Seulement voilà, encore l’an dernier « Brimstone » avait su démontrer qu’il était possible de dire quelque-chose de neuf et de fort avec ce genre pourtant très pétri d’obligations formelles. Alors pourquoi pas ne pas se risquer à ces « Frères Sisters » après tout ? Quand il y a Monsieur Jacques Audiard aux commandes, il me semble que ça impose un détour… Et pour le coup – oui, il faut bien le reconnaitre – quelques minutes de film suffisent pour comprendre que, pour un curieux de cinéma, le déplacement s’imposait. Premier plan. Plan général. Echange de coups de feux soudain en plein milieu de la nuit. Echos. Brutalité. Explosions lumineuses qui fusent à travers le désert. Ah ça ! Pour le coup : oui c’est beau… Et quand on associe à cela tous les éléments de générique très élégamment amenés, on se dit forcément qu’on va avoir affaire là à une démonstration d’esthète. Et ce fut bien le cas… Seulement voilà, ce fut le cas pour le meilleur mais aussi pour le pire. Le meilleur parce que – oui – ce film est vraiment très beau formellement je trouve, du début jusqu’à la fin. Ma petite palme personnelle va pour la photographie que je trouve assez remarquable, notamment pour sa capacité à jouer parfois sur des couleurs parfois assez vives et tranchées sans pour autant perdre un certain équilibre d’ensemble. Cela donne un petit côté fantasmé à cet univers qui, selon moi, colle parfaitement à l'état d'esprit global du film. C'est quelque-chose que l'on retrouve aussi dans la composition des plans. il y a un souci du cadre très régulièrement esthétisant. Certains pourraient trouver ça un brin ostentatoire mais moi j'apprécie cet effort de recherche. Surtout que sur ce domaine là non plus, Michel Audiard n’en fait pas trop à mon sens. La cohérence globale de la forme est toujours ce qui prédomine. Donc vraiment, sur tous ces aspects là, ces « Frères Sisters » m’ont vraiment brossé dans le sens du poil. Mais le problème c’est qu’un film ne peut se réduire à sa seule forme. La forme, c’est ce qui vient donner chair au fond, au propos, à la démarche… Or là, en termes de fond, c’est encore une fois la soupe à la grimace me concernant. Et si je dis « encore » c’est parce que malheureusement, c’est quelque-chose que je vis assez souvent avec les westerns modernes. Trop souvent il s’agit d’exercices de style qui s’amusent à se réapproprier les codes du genre sans les transformer ni les adapter. Cela donne régulièrement des films sans personnalité et sans propos face auxquels je m’ennuie beaucoup. Ça a été par exemple le cas me concernant avec le récent « Hostiles ». Eh bah avec ces « Frères Sisters » j’ai envie de dire : « rebelote ». Rebelote parce que cette histoire de mercenaires à la recherche d’une prime à toucher, j’ai déjà vu ça cent fois. Et ce n’est pas le traitement des personnages qui va y changer quoi que ce soit à ce constat. Une fois encore, l’intrigue se limite à simplement suivre des âmes en peine qui discutent de leurs espoirs et de leurs fêlures, avec la bonne vieille réserve si typique de ces hommes de l’Ouest sauvage. Alors d’accord, il y a parfois quelques moments qu’on peut trouver singulier et face auxquels on peut s’émouvoir (je pense notamment à cette scène entre Eli et la prostituée à Mayfield), mais c’est trop rare et trop fragmenté. Les choses avancent en suivant un fil bien maigre, et le reste du temps, toutes ces considérations bavardes ne se réduisent malheureusement qu'à du cabotinage aussi vain qu'artificiel. Chaque pseudo-péripétie peine à animer ce tout bien flasque, démontrant même la plupart du temps que le film n'a rien de spécifique à dire. Tout cela finit d’ailleurs un peu en eau de boudin par rapport au déroulement de l’ensemble. spoiler: Un peu sorti de nulle part, on nous balance un discours sur le fait que l’Ouest naturel c’est chouette parce que ça incarne mieux la liberté que les grandes villes (…et en quoi les deux heures qui précèdent illustrent ce contraste ? Pour le coup : mystère.) Pire, il y a cette conclusion où finalement les deux frères décident de retourner chez maman. C’est certes assez beau et touchant, mais encore une fois il y a peu de choses dans l’intrigue d’ensemble qui permettent de vraiment donner du relief à cette conclusion. Ça tombe un peu comme ça, comme si Audiard nous sortait ça de sa chaussette à morales conclusives. « Bon bah, pour ce coup-ci ce sera "il nous a fallu voyager pour revenir au point de départ, mais différents." Adjugé vendu. » Le hic c’est que pour le coup c’est assez contradictoire avec l’autre message du film qui consistait à dire que le voyage c’était justement la liberté. Alors après, OK, ce film suivait le parcours de deux binômes, donc on peut très bien avoir deux conclusions différentes et contradictoires. Après tout pourquoi pas. Sauf que bon, pour comprendre où voulait vraiment en venir le film, ça devient tout de suite beaucoup plus compliqué.
    Mais d’un autre côté je me dis que toutes ces considérations de propos sont au fond bien secondaires, car pour le coup il apparaît assez manifeste que, dans ces « Frères Sisters », la finalité du film n’était pas dans le propos. D’ailleurs, en fin de compte, de ce titre ambigu et aguicheur, ce film n’en fait rien. Pour moi c’est tout un symbole au fond. Je pense que depuis le départ, Jacques Audiard voulait faire avec ce film ce que des John Hillcoat et autres Scott Cooper ont déjà fait dans le même genre : un pur exercice de style sans véritable propos ni fond. Alors soit. Il y en a à qui ça plaira. Moi, pour ma part, même s’il y a quelques très rares bons moments, je trouve quand même que ces « Frères Sisters » font un peu coquille vide. Et c’est bête, mais me concernant, cette impression de coquille vide me fait surtout l’effet d’un film fait à moitié. pas le meilleur moyen de me convaincre… Bon après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 23 septembre 2018
    Un mauvais Django ... une bonne interprétation mais un scénario vide une belle image mais rien d’extraordinaire .. ... des longueurs sans interruption qui nous plonge dans les meandres de l’ennui sans rien pour rattraper un spectateur perdu ....dommage
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