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    Les Frères Sisters
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    561 critiques spectateurs

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    stanley
    stanley

    66 abonnés 756 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Le thème de ce film, aux allures de road movie du genre western, convoque la notion de la l'amitié et de la fraternité ainsi que la vision d'un monde en fin de vie. Ce dernier thème fait appartenir Les frères Sisters au genre du western crépusculaire, comme si le monde allait changer, basculer dans une autre époque. On remarque ainsi l'apparition du brossage de dent, des logements avec WC et bains. Pourtant, nous sommes en en 1851, et non pas à la fin du 19ème siècle génialement évoqué dans le chef d'oeuvre La horde sauvage où l'amitié était aussi évoquée, comme dans le film d'Audiard où les deux frères veulent changer de vie. Il faut attendre la dernière demi heure du film où le film, assez lent aux péripéties répétitives, prennent toute sa valeur en affirmant la relation d'entraide qui lie ces quatre hommes. Il faut attendre longtemps car si le film n'est jamais ennuyeux il est sans surprise. Le fin est d'ailleurs d'inspiration fordienne manifeste. Jacques Audiard, qui abuse de la pénombre, n'a pas toujours maîtrisé son scénario mais l'élégance de sa mise en scène sauve le film de même que l'interprétation de haute volée, avec une mention spéciale à John C. Reilly et Jack Gyllenhaal, très émouvant. Bref, le film est loin du chef d'oeuvre mais reste une oeuvre divertissante et une ode à l'amitié. La musique est belle.
    sebou36
    sebou36

    69 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 novembre 2018
    Beaucoup de bla-bla pour ne pas dire grand'chose. Audiard est clairement surestimé et ne sais pas raconter une histoire qui se tient. Je suis vraiment passé à côté du film.
    Sildenafil
    Sildenafil

    76 abonnés 1 028 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Formellement impeccable, Les frères Sisters est une nouvelle preuve qu’Audiard sait faire du cinéma, et du bon. Et si l’histoire est agréable à suivre, si l’immersion est réelle par la beauté des paysages, il parait toutefois manquer les clefs de compréhension d’un sens caché du film qui, pour sûr, va au delà de la simple apologie de la fraternité.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Le film démarre lentement, continue en douceur, et fini tranquillement. Le scénario est d'une décevante banalité : spoiler: deux gâchettes à la solde d'un homme d'affaires douteux dont on a aucune info (c'est pas comme si ça manquait de temps) sont envoyées pour buter un type après lui avoir dérobé sa recette de chercheur d'or (original dans un western). Finalement les deux vilains n'accomplissent pas leur mission parce qu’ils deviennent de bons gars, et cherchent à buter leur ex employeur. Merci, au revoir.

    Notez comme l'absence du personnage de Jake Gyllenhaal dans mon résumé, pourtant un des 4 personnages principaux, ne change rien à l'histoire.
    Les frères Sisters est noté 3,9/5 par les spectateurs, soit précisément la même note que "Mon nom est Personne". Effectivement, ce sont 2 westerns, et rien d'autre n'est comparable. Le second réussit l'exploit d'être plus intense dans ses scènes et ses dialogues, tout en étant drôle, doté d'une bande son entrée dans l'histoire, et d'un scénario à la fois original et beau.
    Je reconnais tout de même un talent pour Audiard à tirer le meilleur de ses acteurs. Ils méritent des éloges car ils portent le film presque à eux seuls. Ce qui vaut une première étoile
    Dans l'ensemble, je dois avouer qu'une certaine poésie émane du film, ce qui donne l'impression de lire un conte. Deuxième étoile. Trop d'ennui pour en accorder davantage.
    laurent T.
    laurent T.

    30 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    j'y ai trouvé peu de nouveauté et encore de bons sentiments ..rédemption...retour aux sources ...pas original tout ça
    Jorik V
    Jorik V

    1 267 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Même si Audiard aime à filmer les hommes qui se heurtent à de graves problèmes ou à eux-mêmes, réminiscence récurrente de sa déjà très riche filmographie, on ne s’attendait pas à le voir conquérir le genre balisé et devenu quasiment exclusivement américain du western pur jus. Mais, à la réflexion, quel genre incarne le mieux la virilité d’hommes en proie en conflit avec leurs semblables que celui-ci. C’est donc au XIXème siècle sur la côte ouest du pays de l’Oncle Sam que le cinéaste français tourne son premier film étranger. Américain donc, logiquement et pour être plus précis. Revolvers, chapeau de cowboys, duels, saloons et ruée vers l’or égrainent donc la trame d’un film qui, s’il ne révolutionne peut-être pas le genre comme on l’aurait secrètement espéré, le renouvelle à sa manière, par petites touches. « Les frères Sisters » n’est pas vraiment un hommage français au genre mais fait montre d’un beau respect tout se positionnant comme une belle déclaration d’amour envers lui.

    Le genre s’est fait plutôt rare depuis plusieurs décennies mais il nous offre régulièrement quelques beaux spécimens comme « 3h10 à Yuma » ou « Trois enterrements ». Cette année, Scott Cooper nous a tous mis à terre avec le magnifique et poétique « Hostiles » qui marquera les esprits pour longtemps par son côté définitif, presque le parangon tardif de tout un genre à priori moribond. « Les frères Sisters » est réussi. C’est indéniable. Cependant, il n’atteint pas la magnificence de son cousin de 2018. Le film d’Audiard est plus classique dans sa tonalité et son déroulement même si le scénario réserve régulièrement quelques saillies inattendues comme cette séquence où les frères arrivent sur une plage de l’océan Pacifique (vue très rare dans un western) ou celle de la piqûre d’araignée, quelque peu incongrue mais plaisante. De la même manière, le film réserve quelques personnages iconoclastes (comme Mayfield) et des notes d’humour bienvenues et probantes qui dénotent dans le cadre du western et même dans la filmographie d’Audiard. Le scénario est donc parfois surprenant sans pour autant être original non plus et reste dans le respect des codes du genre.

    On ne s’ennuie pas un seul instant sur les deux heures que dure le film entre beaux plans et fusillades musclées bien échelonnées. Le temps passe vite et on prend plaisir à suivre cette chevauchée de ses deux frères à la poursuite d’un chimiste et d’un détective. C’est d’ailleurs lorsque les deux groupes sont réunis que le film déploie ses meilleurs moments. Les scènes où les quatre personnages sont réunis sont belles et dégagent une agréable sensation d’apaisement. Et le choix de casting du metteur en scène pour incarner ce quartet de personnages relève du génie. En plus d’être prestigieux, ces quatre acteurs sont en osmose totale et très bons. Joaquin Phoenix au sommet de son art, John C. Reilly plus nuancé et grave qu’à l’accoutumée, Jake Gyllenhaal encore une fois parfait et étonnant et un Riz Ahmed qui apporte une touche de douceur à tout cela. Quatre acteurs brillants qui permettent de très beaux moments et auxquels on offre d’excellents dialogues. Si on attendait peut-être encore plus de cette rencontre au sommet entre cette distribution quatre étoiles, l’un de nos réalisateurs les plus renommés et ce genre si mythique, c’est tout de même du cinéma avec un grand C.

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    Barry.L
    Barry.L

    28 abonnés 136 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Des réalisateurs français qui font du western, soyons honnête, ça ne court pas les rues. Ça ne courait déjà pas les rues autrefois. Un Français qui a fait des westerns, il y en a au moins un. Lui aussi avait pour prénom Jacques. Jacques Tourneur avait réalisé ‘’Le passage du canyon’’ (1946) et ‘’Le Gaucho’’ (1952). Voilà donc un autre Jacques qui en 2018 s’essaie au western. Et même si on peut être dubitatif devant le cinéma de cet Audiard-là (son père était en revanche un génie), nul doute que ‘’Les frères Sisters’’ est tout simplement un excellent western. Jacques Audiard reçut d’ailleurs à juste titre le lion d’argent du meilleur réalisateur à la Mostra de Venise de 2018. Récompense amplement mérité, délivré par un festival qui lui ne récompense pas seulement des drames sociaux (n’est-ce pas Cannes?

    L’intrigue est tiré du livre de Patrick deWitt. Eli (John C. Reilly) et Charlie (Joaquin Phoenix) Sisters sont deux tueurs employés par le commodore. Ils sont chargés de retrouver Warm (Riz Ahmed) et de lui extorquer sa formule permettant de trouver facilement de l’or. Mais le détective John Morris (Jake Gillenhaal) qui devait les mettre sur la voie de Warm finit par se lier d’amitié avec ce dernier. L’affrontement puis le rapprochement entre les quatre hommes sera au centre de l’anecdote.

    Dans ses déclarations, Audiard avoue préférer le western des années 60-70 (qu’on serait tenté de qualifier d’anti-western) au western plus hollywoodien. Si cela l’amène à lâcher des aberrations (du style ‘’j’ai revu « Le train sifflera trois fois » de Fred Zinneman, 1953, c’est à peine regardable, très simpliste avec des méchants idiots’’, dans Telerama ), Audiard a néanmoins compris la leçon des années 60-70. ‘’Les frères Sisters’’ est en effet un western cynique avec un fort goût de dépravation. Propre à l’anti-western, il y a d’abord dans ce film un changement de personnages, par rapport à ce que Hollywood proposait avant la fin des années 60. Dans le western traditionnel (genre manichéen), le film suit les aventures du héros qui doit affronter un méchant. Au contraire, dans ‘’Les frères Sisters’’, Jacques Audiard embrasse le regard de tueurs dangereux, des ‘’méchants’’. Ce choix, qui est de suivre la canaille et la vermine est symptomatique de ce qu’est le western depuis les années 60. Et pourtant (c’est ce qui est magnifique dans le film), Audiard parvient à rendre follement attachant Eli et Charlie. Oui, ceux sont des tueurs sans foi ni loi. Oui, ils ne servent que leur propre intérêt. Partout où ils passent les Sisters laissent traîner un nombre considérable de cadavres. Mais Audiard est passionné par les marginaux. Il sait faire sortir l’Humain de l’humain. Et ça ne rate pas avec Eli et Charlie qui sont tous les deux profondément humains. Pour nous les faire aimer, et même adorer, Audiard montre à quel point les méchants peuvent être proches des héros. Dans ce film, on serait tenté dans un premier temps d’opposer Eli et Charlie Sisters (les méchants, des tueurs qui veulent l’or) à Jack et Warm (les héros, ils n’aiment guère la violence et veulent créer une communauté fraternelle). Il y a d’un côté les sales (Eli et Charlie) et les propres (John et Warm d’apparence plus distinguée). Mais cette opposition n’a finalement pas lieu d’être. Les similitudes entre ces deux couples sont flagrantes. Charlie et John sont des leaders, vouant une haine farouche à leur père (le premier a tué son père, le second a définitivement coupé les ponts avec le sien). Leur rencontre d’abord violente finit par se teinter d’un respect pour l’autre. Quant à Eli et Warm, ils sympathisent rapidement. Les deux sont des êtres doux, et ont un rêve à atteindre. spoiler: Il n’est d’ailleurs pas étonnant si, à la fin du film, Charlie est près de John pour l’aider à mourir, tandis que Eli est près de Warm. Toutes ses morts traduisent une nature (humaine ou non) d’une rudesse inouïe qu’Audiard capte via d’étonnantes scènes
    . Dans cet Ouest sauvage, ni le climat, ni la faune et la flore (Eli gobe pendant son sommeil une araignée, ce qui le rend très malade) ni surtout les hommes ne sont positifs. Ce climat hostile et rude, Audiard l’a trouvé en Espagne et en Roumanie. Refuser de tourner aux USA est bien le signe que le western hollywoodien n’existe plus. Le jour lumineux d’Hollywood avait laissé sa place au crépuscule du Nouvel Hollywood et à la sécheresse du western spaghetti. Désormais, Audiard le sait, le western est soit crépusculaire soit ironique (à la Tarantino). Et Audiard choisit de faire un western crépusculaire et ironique. ‘’Les frères Sisters’’ tire sa noirceur de ces deux époques qui s’entrechoquent. Eli et Charlie incarnent une époque contrainte à disparaître : celle de l’Ouest sauvage qui va se heurter à cette modernité en marche. John et Warm eux représente une époque plus civilisé, plus érudite et surtout plus scientifique. Si il n’y a pas d’inéquation entre les hommes de ce quatuor (tous les quatre vont se lier d’amitié), il y aura inéquation entre les époque dans lesquelles vivent ces hommes. spoiler: Et Charlie dans sa précipitation à découvrir la technique si moderne de Warm pour trouver de l’or, provoquera la mort de John et Warm. En tuant leur porte de sortie pour l’avenir (c’est-à-dire John et Warm), Eli et Charlie ne peuvent trouver comme seul refuge leur passé (c’est-à-à-dire leur mère, vers qui ils retournent à la fin du film)
    . Ce changement d’époque est en plus illustré par petites touches. Il est par exemple illustré quand Eli découvre la brosse à dents et le dentifrice. Ou encore quand les Sisters découvre émerveillé San Francisco et ses infrastructures modernes… Mais ce qui fait aussi la beauté du film, c’est son côté décalé. Audiard jongle avec les tonalités avec une grande dextérité. N’hésitant pas à aller vers le comique, le film s’avère être constamment surprenant. Par exemple, on ne s’attend pas forcément à voir, le temps de quelques secondes dans un western… la mer ! L’humour et la surprise osent intervenir à la fin du film, spoiler: pourtant très dramatique quand Eli et Charlie s’en vont assassiner le commodore… et qu’ils le retrouvent déjà mort à leur arrivée !
    L’humour croise parfois la route de la violence, parfois extrême. On pense à cette scène, où l’un des deux frères rêve de son père. La scène n’est pas loin de certain film d’épouvante : un homme flouté semble se comporter comme une bête sauvage et découpe des morceaux de corps humain. La scène, glaçante vient confirmer à quel point Jacques Audiard est capable de manier plusieurs registre de cinéma (cette séquence renvoie clairement au cinéma de genre américain).

    Plastiquement superbe (grâce à l’irradiante photographie de Benoît Debie), réalisé et scénarisé de main de maître par Audiard, et surtout interprété par des acteurs profondément attachants, ‘’Les frères Sisters’’ brille de ce feu qui détruit la grange au début du film. C’est une œuvre magnifique et inventive où se dégage de la part de ses personnages principaux une humanité sincère. A voir, qu’on aime où pas le cinéma de Jacques Audiard.
    LEDUC R.
    LEDUC R.

    3 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Pour moi, quasiment un chef d’œuvre du western.
    Tout y est: un scénario très original, des dialogues ciselés, de la psychologie et du sentiment (et il fallait les instiller avec le bon dosage chez ces deux brutes épaisses...!) de l'humour, de belles chevauchées, des paysages magnifiques et très bien filmés, la ruée vers l'or, la violence, la sonorité des coups de révolver qui donne un réalisme bluffant, bref : chapeau (de cowboy) bas !
    laurentcmoi
    laurentcmoi

    18 abonnés 240 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    On s'ennuie un peu... De très bons acteurs, un bon réalisateur mais une histoire assez plate et une réalisation souffrant d'énergie. Et une fin assez ridicule et bâclée...
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 7 octobre 2018
    La critique de ce film n'est pas chose facile du tout. Quand on touche à la fois le fond et la grâce, la vérité doit se trouver quelque part au milieu. Les 2 premiers tiers du film sont proprement catastrophiques. Audiard multiplie à l'excès les plans, ce qui n'a jamais été la preuve de beaucoup de maitrise. Une large proportion de ces derniers est insupportable, on pensera notamment aux nombreuses contre plongées en plein contre jour et aux plans obscurs où l'on peine à discerner les personnages. La photographie est immonde et pointe du doigt un maquillage très médiocre qui fait ressembler les acteurs à des clowns fardés. Les plans s'enchainent avec un lien narratif trop mince dans des décors un peu grotesques, le tout filmé avec une caméra qui bouge sans arrêt et qui ne convient pas au style western.
    Et puis tout change en une fraction de seconde quand les frères sisters retrouvent les fuyards. Le ton du film change, la caméra s'apaise, le nombre de plans diminue et le fond du film prend du sens. Audiard en livrant ce moment suspendu touche la grâce avec tendresse et justesse. On comprend alors l'enjeu humaniste du film. Hélas un peu tard et c'est bien dommage.
    dominique E.
    dominique E.

    5 abonnés 51 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Très grand film. Un Western a part. Jake Gillenhall est formidable dans son rôle de
    Voyageur du Far West à la solde du Comodore...
    Les autres acteurs sont aussi bluffant surtout John C. Reilly (Eli dans le film).
    qui nous montre un homme qui tue mais avec une conscience que l'on devine
    tout le long du film ...
    Beaucoup de coup de feu, de violence mais pas de "spectacle" comme
    On peu le voir dans les films de réalisateurs Américains.
    Jacques Audiard est vraiment un très grand réalisateur
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    Bonjour à tous le film les frères sisters comment ça sur une scène d'ouverture extrêmement violente... Puis on comprend pas ça devient mou et libidineux... Ok on est censé percer la psychologie des personnages mais quand on se rappelle la scène de départ on a du mal à croire qu'on parle des mêmes personnes le reste du film... Les images sont très belles c'est très bien tournée la bande-son est magnifique... Bon, es-ce même finalement un western ? pour ma part j'ai trouvé que ça se laisser regarder mais j'ai quand même aussi beaucoup regarder ma montre comme quoi les goûts et les couleurs...
    Michel C.
    Michel C.

    2 abonnés 4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 octobre 2018
    Une certaine déception...... pas facile finalement de se lancer dans un genre nouveau, qui plus est aussi noble que le western. Il manque beaucoup d'ingrédients pour faire de ce film un western acceptable. N'est pas crépusculaire qui veut, notamment... il ne suffit pas de filmer la nuit (ok c'est vrai on voit mieux les coups de feu!) ou le soir... il faut savoir manier les éclairages, ce qui n'est pas le cas. Voir l'immense Impitoyable de Eastwood pour prendre des leçons. La musique est complètement hors sujet et décribilise. Quant aux personnages, ils sont tout sauf attachants ou même odieux (ce qui aurait pu sauver l'intérêt); non ! ils sont quelconques. spoiler: Un bon passage toutefois, lorsque les 4 "héros" coopèrent pour extraire l'or de la rivière; de jolis duos en particulier
    et puis, chacun, dan son registre est bon voire très bon, mais, l'acteur ne fait pas tout. Bref! l'histoire se traine, s'enlise et ne sait pas trop comment finir, spoiler: en fait par calinothérapie chez la maman.

    Un sentiment global de plantage et une soirée d'ennui.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 novembre 2018
    Que dire de plus on voit presque tous de cette période, des paysages grandioses, tout du film de western. Je ne me suis pas ennuyé de ce film de western, le seul point négatif et la musique du départ. A recommandé
    Bill Happier
    Bill Happier

    2 abonnés 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 octobre 2018
    LA 1ere scène du film annonce la couleur
    Déconnecté de tout réalisme (comment viser une cible sans la voir ?)
    Violent (gratuit)
    Bruyant (au moins ca réveil)
    Gore (chevaux qui brûlent)
    Je ne taris pas déloges. :
    Dialogue aux banalités sans fin a faire mourir d’ennui un mort
    Des scènes mythiques (achat d'une brosse a dent, manger une araignée, pisser, se branler). On voit le niveau

    Je suis obligé d'inventer un nouveau concept inférieur au navet : vomitif
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