Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Ce documentaire est une nouvelle merveille, qui vient compléter l’extraordinaire tableau composé par un des maîtres du cinéma d’aujourd’hui, Frederick Wiseman.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Sandrine Marques
Fidèle à sa méthode immersive, Wiseman capte les derniers instants d'un quartier cosmopolite du Queens. De son tissu associatif à la manière dont s'organise la résistance, l'humain est au cœur de cette nouvelle abstraction.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Sud Ouest
par Sophie Avon
Cela paraît simple, c'est d'une extraordinaire délicatesse et plein de charme. Trois heures au cœur d'un monde regardé avec la patience d'un artiste qui a passé sa vie à explorer notre société. Il a rarement eu autant de tendresse pour l'observer.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Cahiers du Cinéma
par Nicholas Elliott
"In Jackson Heights" continuera à nous parler de l’Amérique longtemps après que la mousse aura recouvert la tombe d’un Donald Trump.
La Septième Obsession
par Adrien Valgalier
C’est la réussite majeure du film que de promouvoir la parole comme acte sociétal politique.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Wiseman se monte certes moins féroce, moins "ironiste" et plus optimiste qu'à ses débuts. Mais cela ne doit pas pour autant faire écran à l'acuité, la cohérence, la pertinence politique d'un geste documentaire certes bien rodé, mais auquel on ne peut pas reprocher de n'avoir plus rien à prouver.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Mais pour ces moments qui témoignent d’une réalité, des valeurs politiques d’hommes et de femmes comme vous et moi, qui tentent simplement de vivre le mieux possible ensemble en respectant ce qu’est l’autre et en s’affirmant tels qu’ils sont, on remercie une nouvelle fois Frederick Wiseman : il a toujours foi en l’homme et nous le communique. C’est énorme. C’est l’un de de ses plus beaux films.
Libération
par Clémentine Gallot
Sans commentaire ni discours lénifiant, le sens advient alors tandis que la narration et la dramaturgie s’échafaudent peu à peu : plus qu’au terme d’une enquête minutieuse, c’est à force d’être au bon endroit au bon moment que le film dresse le tableau d’une inéluctable gentrification.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
L'éloge de la diversité est ici lucide et jamais niais.
Positif
par Laetitia Mikles
Combative, progressiste et antiraciste, la profession de foi du cinéaste me plaît.
Première
par Eric Vernay
Par la grâce d’un montage plein de musicalité, sans rien asséner (pas de voix off), le film laisse lentement affleurer correspondances poétiques et harmonies diffuses. À la fois complexe et léger.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
C'est beau, joyeux et triste. C'est du cinéma. Du grand cinéma signé par un passeur humaniste, espiègle et généreux.
Télérama
par Jacques Morice
Aurait-on assisté à un conte de fées ? Plutôt à un genre d'utopie urbaine réalisée. Rien de plus stimulant
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
Ce documentaire est une nouvelle merveille, qui vient compléter l’extraordinaire tableau composé par un des maîtres du cinéma d’aujourd’hui, Frederick Wiseman.
Les Fiches du Cinéma
Fidèle à sa méthode immersive, Wiseman capte les derniers instants d'un quartier cosmopolite du Queens. De son tissu associatif à la manière dont s'organise la résistance, l'humain est au cœur de cette nouvelle abstraction.
Sud Ouest
Cela paraît simple, c'est d'une extraordinaire délicatesse et plein de charme. Trois heures au cœur d'un monde regardé avec la patience d'un artiste qui a passé sa vie à explorer notre société. Il a rarement eu autant de tendresse pour l'observer.
Cahiers du Cinéma
"In Jackson Heights" continuera à nous parler de l’Amérique longtemps après que la mousse aura recouvert la tombe d’un Donald Trump.
La Septième Obsession
C’est la réussite majeure du film que de promouvoir la parole comme acte sociétal politique.
Le Monde
Wiseman se monte certes moins féroce, moins "ironiste" et plus optimiste qu'à ses débuts. Mais cela ne doit pas pour autant faire écran à l'acuité, la cohérence, la pertinence politique d'un geste documentaire certes bien rodé, mais auquel on ne peut pas reprocher de n'avoir plus rien à prouver.
Les Inrockuptibles
Mais pour ces moments qui témoignent d’une réalité, des valeurs politiques d’hommes et de femmes comme vous et moi, qui tentent simplement de vivre le mieux possible ensemble en respectant ce qu’est l’autre et en s’affirmant tels qu’ils sont, on remercie une nouvelle fois Frederick Wiseman : il a toujours foi en l’homme et nous le communique. C’est énorme. C’est l’un de de ses plus beaux films.
Libération
Sans commentaire ni discours lénifiant, le sens advient alors tandis que la narration et la dramaturgie s’échafaudent peu à peu : plus qu’au terme d’une enquête minutieuse, c’est à force d’être au bon endroit au bon moment que le film dresse le tableau d’une inéluctable gentrification.
Ouest France
L'éloge de la diversité est ici lucide et jamais niais.
Positif
Combative, progressiste et antiraciste, la profession de foi du cinéaste me plaît.
Première
Par la grâce d’un montage plein de musicalité, sans rien asséner (pas de voix off), le film laisse lentement affleurer correspondances poétiques et harmonies diffuses. À la fois complexe et léger.
Studio Ciné Live
C'est beau, joyeux et triste. C'est du cinéma. Du grand cinéma signé par un passeur humaniste, espiègle et généreux.
Télérama
Aurait-on assisté à un conte de fées ? Plutôt à un genre d'utopie urbaine réalisée. Rien de plus stimulant